Les Adf-Nalu ont attaqués, une position des soldats loyalistes dans la partie Nord du térritoire de Beni, province du Nord-Kivu, àl'Est dela République Démocratique du Congo, dimanche dernier 06 novembre 2016 :
« Nous avons à faire à un adversaire que l’on dit asymétrique qui utilise toutes les méthodes, pour se cacher, pour se confondre parfois avec la population ou avec les FARDC et attaquer des innocents. C’est comme ça qu’il combat. Les rébélles du groupe des Adf-Nalu, ont attaqués de nouveau, une position des millitaires Fardc, situé sur le tronçon routier Eringeti Kainama, dans l'après midi du dimanche 06 novembre 2016, à 9 km àl'Est d'Eringeti, selon l'administrateur du térritoire de Beni Bernard Amisi Kalonda contacté, par la radio top congo fm de Kinshasa après cette attaque dans ce coin du Nord-Kivu : soulignons ici bas que, ça n'est suivi l'échange des tirs entre les deux conté, qui a interrompu dans quelques heures, le passage sur cette axe millitarisée pour cause dela présence prolongée des hommes qui térrorisent la population dans la rérion de Beni ! Le bilan provisoire pour le moment, reste deux rébélles tués, et 2 bléssés au conté civile selon la même source ! . La fois passé, une nouvel incursion, des rébélles Ougandais, du groupe Adf, a été signalé, au sud du térritoire d' Irumu, précisement, à Katabei non loin d' Eringeti, dans l' après midi du samedi 14 mai 2016. Bilan provisoire était de trois civiles tué, un Centre de Santé, et quelques maisons des habitants, incendiés, des biens dela population aussi emportés. Face à cette situation de térrorisme dans le térritoire de Beni, et Irumu, les combats contre les rébélles Ougandais des Adf-Nalu, va se poursuivre, au sud dela province del' Ituri, et dans le parti Nord du térritoire de Beni. «Comme vous le savez, depuis les derrières atrocités que des rebelles ADF ont fait subir aux populations des localités de KAMUNGU, KATABEI, NYAMULAGIRA en province voisine de l’Ituri, tous les habitants ont quitté leurs villages ; maintenant pour les autres villages voisins tels que TUNGUDU, LINZO et OPIRA c’est devenu automatique», explique Bravo Vukulu. Sachez que, pendant cette époque, la situation humanitaire été très préoccupante au nord du territoire de Beni et dans l’Ituri voisin.
Dépuis octobre 2014, plusieurs villages se sont vidés de leurs habitants en direction des centres urbains à l’instar de Komanda, Eringeti, Oicha, Beni, Butembo, et dans d’autres agglomérations où ils estiment être plus ou moins sécurisés.
Les premières victimes sont des civils !
Les premières victimes de la violence qui ronge la région sont des civils, hommes, femmes et enfants sans distinction. Des questions se posent cependant sur l’identité réelle des auteurs de cette série d’attaques meurtrières à Beni. "Sachant que les ADF ont été gravement affaiblis, selon la Monusco qui s'interroge sérieusement sur leur capacité aujourd’hui à mener ces massacres", confie un membre de la mission proche du dossier. La fois passé tout près dela localité d'Eringeti, des civils ont été tués dans une attaque dirigée par des hommes armés, vendredi 12 février 2016, près d’Eringeti, dans le territoire de Beni. Ce journale là, c'est au tour de 16 heures locales qu’un groupe des rebelles ADF ont attaqué la position des FARDC à LESE, une localité située à 5Km à l’Est d’Eringeti sur la route menant vers Kainama.
Selon les sources locales, pendant que les assaillants étaient entrain de s’affronter aux militaires Fardc, d’autres rebelles du même groupe étaient entrain de s’apprendre aux civils à Maisafi non loin du lieu d’affrontement.Le bilan provisoire été de 4 civils tués tous des hommes, 14 autres portés disparus, un militaire FARDC blessé et 24 habitations incendiées. Ces chiffres ont été confirmés par la société civile de Kainama et corroborés par les responsables militaires dans la région. Les corps des victimes, tous habitants de Eringeti, ont été exposés à la morgue du centre de santé de référence de la place.
Des sources non officielles parlait de deux autres corps de civils retrouvés dans la brousse près de Kainama no n loin du lieu d’affrontement. Qui sont donc réellement les auteurs de ces tueries ?
Personne ne peut aujourd’hui le dire avec certitude. "Des investigations sont en cours. Des suspects arrêtés continuent d’être interrogés", indique quant à lui un conseiller du ministère congolais de l’Intérieur. Mais "la piste d’une milice locale est aussi prise très au sérieux", ajoute-t-il. « Je suis Beni », une lettre ouverte pour stopper les massacres au Nord-Kivu. Dans le passé, face aux actes des tuerries en cours dans la région de Beni, le porte-parole des opérations Sokola1, le lieutenant Mac Hazukay s'est dit, ignorer jusqu’en présent l’identité des assaillants. «Leurs mode opératoire n’a pas ressemblé à celui des ADF et même la langue qu’ils utilisent est méconnue ici chez vous», a précisé à la presse le lieutenant Mac Hazukay.
Les FARDC et la Monusco ont lancé le 14 mai 2016, l'opération Usalama pour traquer les rebelles ougandais musulmans des ADF, responsables de nombreux massacres dans la région de Beni. Avec un certain succès où : 15 ennemis ont été déjà "neutralisés" par Fardc.
Dépuis octobre 2014, plusieurs villages se sont vidés de leurs habitants en direction des centres urbains à l’instar de Komanda, Eringeti, Oicha, Beni, Butembo, et dans d’autres agglomérations où ils estiment être plus ou moins sécurisés.
Les premières victimes sont des civils !
Les premières victimes de la violence qui ronge la région sont des civils, hommes, femmes et enfants sans distinction. Des questions se posent cependant sur l’identité réelle des auteurs de cette série d’attaques meurtrières à Beni. "Sachant que les ADF ont été gravement affaiblis, selon la Monusco qui s'interroge sérieusement sur leur capacité aujourd’hui à mener ces massacres", confie un membre de la mission proche du dossier. La fois passé tout près dela localité d'Eringeti, des civils ont été tués dans une attaque dirigée par des hommes armés, vendredi 12 février 2016, près d’Eringeti, dans le territoire de Beni. Ce journale là, c'est au tour de 16 heures locales qu’un groupe des rebelles ADF ont attaqué la position des FARDC à LESE, une localité située à 5Km à l’Est d’Eringeti sur la route menant vers Kainama.
Selon les sources locales, pendant que les assaillants étaient entrain de s’affronter aux militaires Fardc, d’autres rebelles du même groupe étaient entrain de s’apprendre aux civils à Maisafi non loin du lieu d’affrontement.Le bilan provisoire été de 4 civils tués tous des hommes, 14 autres portés disparus, un militaire FARDC blessé et 24 habitations incendiées. Ces chiffres ont été confirmés par la société civile de Kainama et corroborés par les responsables militaires dans la région. Les corps des victimes, tous habitants de Eringeti, ont été exposés à la morgue du centre de santé de référence de la place.
Des sources non officielles parlait de deux autres corps de civils retrouvés dans la brousse près de Kainama no n loin du lieu d’affrontement. Qui sont donc réellement les auteurs de ces tueries ?
Personne ne peut aujourd’hui le dire avec certitude. "Des investigations sont en cours. Des suspects arrêtés continuent d’être interrogés", indique quant à lui un conseiller du ministère congolais de l’Intérieur. Mais "la piste d’une milice locale est aussi prise très au sérieux", ajoute-t-il. « Je suis Beni », une lettre ouverte pour stopper les massacres au Nord-Kivu. Dans le passé, face aux actes des tuerries en cours dans la région de Beni, le porte-parole des opérations Sokola1, le lieutenant Mac Hazukay s'est dit, ignorer jusqu’en présent l’identité des assaillants. «Leurs mode opératoire n’a pas ressemblé à celui des ADF et même la langue qu’ils utilisent est méconnue ici chez vous», a précisé à la presse le lieutenant Mac Hazukay.
Les FARDC et la Monusco ont lancé le 14 mai 2016, l'opération Usalama pour traquer les rebelles ougandais musulmans des ADF, responsables de nombreux massacres dans la région de Beni. Avec un certain succès où : 15 ennemis ont été déjà "neutralisés" par Fardc.
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