Le RCD/KML réagi, après la citation, d'Antipas Mbusa Nyamwisi, ce dernier temp, dans les procès des ADF-NALU, en cours, en Ville de Beni, d'où, le président national de ce parti politique del'opposition en République Démocrtique du Congo, a été accusé, par son ancien proche officier, qui est dévenu aujourd' hui, le générale major del'armé nationale Fardc, qui a précisé, dévante la cour que, Mbusa Nyamwisi a une main noir dans les derniers massacres des civils, qui a coûté, la vie à des milliers des personnes, à majorité des hommes, femmes, et enfants, dans la région de Beni : dans le même, dossier, voici, les déclarations des membres du RCD/KML : Au sujet de Mbusa Nyamwisi, un vérité reste à préserver, c’est qu’il est la personne qui fut le premier à réclamer une enquête internationale et indépendante sur les massacres de Beni. Voilà tout ce qui indispose le pouvoir en place à Kinshasa, commanditaire de l’exterminationdes citoyens qu’il est sensé protéger. Le régime de Joseph Kabila aux abois devrait cesser de se comporter comme un buffle blessé. David Lusenge est un de ces marionnettes que le régime de Joseph Kabila et son acolyte Julien Paluku ont forgées pour décimer les habitants du grand Nord-Kivu. Sa valeur dans l’acutel procès relève justement à la fois de son appartenance à la communauté et de son passé comme ancien haut cadre militaire de l’Armée du Peuple Congolais, APC en sigle, qui fut la branche militaire de l’ancienne rébellion du RCD/K-ML. Le gouvernement congolais, ou mieux le régime de Kabila, estime que de telles personnes sont des objets précieux à utiliser pour convaincre les opinions à faire croire à son mensonge qui stipule que des fils Nande sont en train d’exterminer leurs frères à Beni. Mais, une fois de plus, le colportage du général major MUKUTU et de tout le Ministère public conduisant le « procès de l’histoire » à Beni manque de cohérence en sautant de coq à l’âne, lorsque ce tribunal s’attèle à perdre sciemment les opinions dans des confusions des faits, de façon qu’on ne saurait situer s’il s’agit d’un procès sur le phénomène du M23 ou sur le phénomène ADF ou encore s’il s’agit simplement d’un acharnement contre la personne, pourtant inoffensive, d’Antipas Mbusa Nyamwisi :

– Pourquoi quand un prévenu cite le nom Antipas MBUSA NYAMWISI, les responsables judiciaires ne donne aucune chance d’investigationpour prouver la véracité de fait, pendant que pour les cas qui impliquent les ouailles du pouvoir des efforts acharnés de défense sont aussitôt entrepris (exemple vécu avec le cas de Nyonyi Bwanakawa et du général Mundos)?
– N’y-at-il que les ex-APC qui puissent avoir le monopole de vérité et eux sont vaccinés contre la manipulation visible qu’il y a dans ce procès pour le moins complaisant ?
– Lorsque le Colonel EVA dirigeait une expédition fructueuse contre les INYELE en ex-Province de l’Équateur, pourquoi n’a-t-on jamais attribué cette victoire à Antipas MBUSA NYAMWISI s’il a encore la maîtrise sur les éléments donnés à l’armée unifiée déjà en 2002 ou 2003 ?
– Mbusa Nyamwisi n’a fait que trois ans avec le colonel Lusenge, tout comme avec tous les autres ex-APC qu’il a volontairement cédés au gouvernement congolais.
Le Ministère public instruisant le procès des présumés partisans aux massacres de Beni a cité un accusation contre l’Honorable Antipas Mbusa Nyamwisi, d’après les déclarations qu’il prétend avoir tirées du colonel David LUSENGE, un prévenu poursuivi pour association des malfaiteurs avec des sujets ougandais. Le général Major Mukutu Kiyana stipule que David Lusenge a révévélé que Mbusa Nyamwisi fomentait un complot pour attaquer les villes de Beni et de Bunia en 2012, en collaboration avec le M23 qui assiégeaient à cette époque la ville de Goma. Cet Officier supérieur et avocat général des FARDC au procès contre les ADF a stigmatisé le fait en tentant par tous les moyens d’y donner une couleur et un poids susceptibles de convaincre les opinions.
Or, pour mieux comprendre la tournure dilatoire que le procès actuellement en cours contre des présumés ADF et leurs complices à Beni, il est impérieux de lire minutieusement l’heure de révélation sur l’assassinat du Père Vincent Machozi et sur les massacres de Beni, précisément sous le titre « Le mystère de la reddition du colonel David Lusenge ».
Dès lors, tous les secrets de machination du pouvoir en place contre le peuple Nande et leurs leaders politiques et sociaux ont été mis à nu. David Lusenge est un de ces marionnettes que le régime de Joseph Kabila et son acolyte Julien Paluku ont forgées pour décimer les habitants du grand Nord-Kivu. Sa valeur dans l’acutel procès relève justement à la fois de son appartenance à la communauté et de son passé comme ancien haut cadre militaire de l’Armée du Peuple Congolais, APC en sigle, qui fut la branche militaire de l’ancienne rébellion du RCD/K-ML. Le gouvernement congolais, ou mieux le régime de Kabila, estime que de telles personnes sont des objets précieux à utiliser pour convaincre les opinions à faire croire à son mensonge qui stipule que des fils Nande sont en train d’exterminer leurs frères à Beni.
Mais, une fois de plus, le colportage du général major MUKUTU et de tout le Ministère public conduisant le « procès de l’histoire » à Beni manque de cohérence en sautant de coq à l’âne, lorsque ce tribunal s’attèle à perdre sciemment les opinions dans des confusions des faits, de façon qu’on ne saurait situer s’il s’agit d’un procès sur le phénomène du M23 ou sur le phénomène ADF ou encore s’il s’agit simplement d’un acharnement contre la personne, pourtant inoffensive, d’Antipas Mbusa Nyamwisi.
L’emportement du Ministère public et des autorités qui le téléguident contre Mbusa Nyamwisi trahissent mal l’évidence d’un complot des intéressés contre cette victime avec toute la communauté dont il fait partie. Ici se trouve la justification de toutes les calomnies ternissant l’image de la population du grand Nord-Kivu, en l’occurrence les Yira-Nande, telle qu’elle actuellement déshumanisée devant le monde entier.
Dans l’entretemps, les coupables sont blanchis, graciés par toutes sortes de manœuvres de défense, et les victimes incriminées. La couverture que le Ministère public a appliquée en faveur du Maire de la ville de Beni, Monsieur Nyonyi Bwanakawa est une éminente pièce en conviction au sujet du plan machiavélique du régime Kabila contre sa propre population.
Sinon, il y a urgence que le gouvernement congolais fournissent des réponses immédiates aux interrogations suivantes:
– Toutes les maisons de télécommunications sont sous le pouvoir et contrôle de cet Avocat du roi (le Ministère public), pourquoi n’a-t-il pas produit les relevés téléphoniques démontrant la mobilisation qu’a faite Mbusa pour engager une nouvelle rébellion contre Beni et Bunia, au lieu que cet éminent juriste s’illustre par une « preuve par commune renommée » (le colportage) pour le moins ridicule surtout en matière pénale ?
– Même les petits savent que les militaires ne se déplacent jamais sans feuille de route, comment seul les anciens officiers de l’ex-APC ont eu la possibilité de se déplacer irrégulièrement, sans être inquiétés par les services de sécurité, jusqu’à venir exécuter des massacres à Beni ?..

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