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RDC JOSÉPH KABILA SUR LE TRACE DE MOBUTU ? Aujourd' hui, il y a quinze ans, c’est un Joseph Kabila mystérieux et timide qui prenait la place de son père, assassiné. Beaucoup ont alors cru au réveil congolais. Mais aujourd’hui, le chef de l’État marche sur les pas de ses deux prédécesseurs et règne sur un pays sinistré, miné par la corruption et la violence. Retour sur un espoir déçu. dans ce dossier Kabila : Mobutu La RDC n'est pas une république bananière ! Quand les ambassades portent le fardeau de l'Etat RDC : chronique d'un isolement diplomatique avancé. L’énigme Joseph Kabila n’en est plus une. Longtemps, le jeune homme timide qui prêta serment le 26 janvier 2001 à l’Assemblée nationale congolaise sous les yeux incrédules des députés, de ses compatriotes et de la communauté internationale, a su faire du mystère un allié. Dans un pays habitué depuis quatre décennies à être dirigé par des personnalités écrasantes, charismatiques et dictatoriales, ce gamin de 29 ans qui écoutait plus qu’il ne parlait, suggérait plus qu’il ne s’exprimait, était à la fois un risque et une chance. Risque d’être rapidement balayé par l’un de ses mentors. Chance d’être enfin le chef moderne, modeste et avisé qui saura faire progresser la République démocratique du Congo (RDC)de l’état de satrapie vers les rivages de la bonne gouvernance. Dix ans plus tard, le masque est tombé. La chrysalide qui inspirait à Jacques Chirac, George W. Bush, Kofi Annan et au roi des Belges un irrépressible désir de protection, au point de le porter à bout de bras sur le tipoye de l’élection présidentielle de 2006, est devenu un papillon solitaire et autocratique, de la famille de ces lépidoptères tropicaux connus sous le nom de monarques, lesquels se nourrissent du suc des plantes vénéneuses – en l’espèce, ici, du pouvoir. Aujourd’hui, alors que la RD Congo se dirige tout droit vers un scrutin à la magistrature suprême prévu pour novembre prochain et taillé sur mesure pour sa reconduction (un seul tour), Joseph Kabila Kabange règne sur un pays sinistré, gangrené par la corruption, miné par l’injustice, l’impunité et les scandales financiers. Pourquoi et comment un homme qui incarna tant d’espoirs et fut à un moment si populaire, en est-il venu à s’inscrire dans la désespérante lignée des Bula Matari, ces « casseurs de pierres », surnom donné par les Congolais à tous ceux qui, de Léopold II à Kabila père en passant par Mobutu, les ont gouvernés pour le pire ? Chronique d’une métamorphose avortée… Acte I : Joseph entre en scène Kinshasa, le 17 janvier 2001. Réunis d’urgence autour de la table du Conseil national de sécurité, les ministres ont les yeux fixés sur un fauteuil vide : celui du président Laurent-­Désiré Kabila. Tous savent déjà que, grièvement blessé la veille par l’un de ses gardes du corps, le « kadogo » Rachidi Minzele Kasereka, le « Mzee » a été évacué à la hâte en direction d’Harare, au Zimbabwe. Mais tous ignorent que ce transfert chez Robert Mugabe est en réalité un maquillage. La mort du tombeur de Mobutu a été constatée la veille en fin d’après-midi par les urgentistes de la clinique Ngaliema, où son chef d’état-major particulier, le colonel Eddy Kapend, l’a fait transporter dans les minutes qui ont suivi l’assassinat. Et pour cause : afin que soit maintenue pendant quelques heures la fiction d’une agonie réversible, la totalité du personnel de la clinique a été embarquée de force avec la dépouille en direction du Zimbabwe. Nul ne doit parler, le temps que se règle la succession. Chuchotements, regards en coin, bouffées d’angoisse, les ministres n’ont qu’une seule question en tête : qui va s’asseoir dans le fauteuil présidentiel ? L’attente est interminable. Tout à coup, le directeur de cabinet du « Mzee » fait son entrée, accompagné d’un jeune homme en uniforme, les yeux baissés, le béret sagement plié sur l’épaulette, que chacun reconnaît aussitôt : « Le chef de l’État a été blessé. Il est en soins intensifs à Harare. Le ­général-major Joseph Kabila a été désigné pour assurer l’intérim.Je vous demande de l’applaudir. » Le fils du défunt se pose un bref instant dans le fauteuil du chef. Applaudissements debout. Fin de la séance. Il n’a pas dit un mot. Aux yeux de tous ceux qui assistent à la scène, ce personnage fragile, visiblement tétanisé par ses nouvelles responsabilités, arrivé la veille à minuit sous une pluie battante depuis Lubumbashi, où son père l’avait relégué pour le punir de la déroute de Pweto face aux troupes rwandaises, est une solution bâtarde et éphémère de compromis. Ils n’ont pas tort. En coulisses, le Zimbabwe et l’Angola, les deux parrains du régime de Kinshasa, poussent leurs pions sans que l’on sache encore aujourd’hui pourquoi le colonel Eddy Kapend, qui eut alors tous les pouvoirs pendant près de vingt-quatre heures, ne les a pas utilisés à son profit. Le problème, pour les faiseurs de rois d’Harare et de Luanda, c’est qu’ils ne parviennent pas à s’accorder et que leurs efforts s’annihilent.

De ce point de vue, le silence du président Kabila peut être révélateur de deux aspects. Soit il est conscient de l’échec cuisant de sa politique militaire, soit il connaît à priori, les tenants et aboutissants de l’enfer kivutien et en serait alors un des « complices » comme aiment à le dire ses détracteurs. Sans oublier que le plus grand vice du silence. « La parole est d’argent, mais le silence est d’or » dit-on. En politique, c’est souvent le contraire qui est présumé : « le silence serait d’argent et la parole d’or ». Plus encore dans un monde qui subit de profondes mutations avec les nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication. Imaginez que des obus tombent sur Bordeaux, et qu’à Paris, François Hollande reste de marbre. Imaginez que des obus tombent sur Atlanta, New York et que le président Obama, comme si de rien n’était, reste plongé dans un mutisme ahurissant. On imagine aisément la détresse et la colère qui peuvent envahir les habitants de Goma face à des o...

RDC HISTOIRE POLITIQUE ET LA GUERRE À L' EST DU PAY DÉPUIS DES ANNÉES JUSQU' EN CE JOURS : En juillet 1999, l’Accord de Lusaka a été signé par les six pays en état de guerre (la République démocratique du Congo, l’Angola, la Namibie, le Zimbabwe, le Rwanda et l’Ouganda) et les groupes rebelles, dans une tentative de mettre fin à la guerre civile. L’Accord de Lusaka prévoyait un cessez-le-feu, le déploiement de soldats du maintien de la paix de l’ONU et le désarmement et le rapatriement de tous les groupes armés étrangers. L’Accord de Lusaka prévoyait également la création du Dialogue inter-congolais pour créer un gouvernement provisoire avant les élections de 2005. Malheureusement, toutes les parties n’ont pas mis en vigueur le traité uniformément. En July 2001, Laurent Kabila a été assassiné pas ses gardes du corps et son fils de 29 ans, Joseph Kabila, lui a succédé. Joseph Kabila a convoqué de nouveau le Plan d’action de Lagos et les factions en guerre se sont rencontrées à Sun City (Afrique du Sud) en 2002. Les pourparlers de paix ont fait face à de nombreux problèmes étant donné que les plus petits groupes se sentaient marginalisés et déclenchaient périodiquement des combats. Finalement, les négociations ont pris fin et Kabila a signé un projet de constitution en mars 2003. Le gouvernement provisoire, dirigé par Kabila et comprenant quatre vice-présidents, trente-six membres du Cabinet, vingt-cinq sous-ministres, une assemblée de 500 membres et 120 sénateurs, a été assermenté en septembre 2003. Bien qu’il y ait officiellement un cessez-le-feu depuis 2003, des combats continuent de manière intermittente sur le terrain. En mars 2004, il y a un coup d’état manqué contre le gouvernement à Kinshasa. Au cours de la guerre, un grand nombre de pays et de sociétés multinationales ont exacerbé le conflit en exploitant les richesses de la RDC pour leur propre profit. Si on analyse les dernières ou premières déclarations du Facilitateur dépêché par l’Union Africaine, la semaine dernière, à Kinshasa, pour consulter les différents acteurs politiques, on arrive à la conclusion selon laquelle, il tente de remettre le processus électoral au centre du débat politique. Edem Kodjo, c’est de lui qu’il s’agit, a manifesté des inquiétudes après avoir suivi l’exposé du président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI). Il y a encore beaucoup de choses à faire pour débloquer le processus électoral. L’Opposition anti-dialogue l’accuse de recourir à la même rhétorique que le pouvoir en place à Kinshasa, pour justifier la nécessité du dialogue. En effet, les anti-dialogue continuent à affirmer que le déblocage du processus électoral peut s’obtenir dans le cadre institutionnel. A la CENI, par exemple, lors d’une Tripartite incluant l’Opposition et la Majorité. Une position que ne partage pas le diplomate togolais. Il estime, par contre, que si on ne dialogue pas au plus vite, il sera difficile de respecter le délai constitutionnel. Faut-il en déduire qu’il défend le pouvoir de Kinshasa, que les opposants accusent d’avoir mis en place et exécuté méthodiquement la stratégie du glissement ? Libre à chacun d’en tirer des leçons. Une chose est, pourtant, vraie. Edem Kodjo, dans l’accomplissement de sa mission, doit se montrer méticuleux. Il n’a pas droit à l’erreur. Surtout, il est appelé à prendre de la hauteur et devrait se placer au dessus de la mêlée. Ses déclarations seront examinées à la loupe. Selon certains éditorialistes, le Facilitateur de l’Union Africaine doit avoir des repères. Le délai constitutionnel en constitue un. S’il faut faire le procès de la CENI, il serait important de savoir fixer les bornes à ne pas dépasser. Une question vient à l’esprit. Le communiqué de Madame Zuma nommant Edem Kodjo comme Facilitateur dans la crise congolaise ou alors l’ordonnance présidentielle instituant le dialogue suffisent pour bouleverser l’ordre institutionnel en RDC ? Tout dépend de quel côté de barrière on se situe. Si l’on en croit une certaine opposition pro-dialogue, un Gouvernement de transition serait nécessaire pour traduire en actes les résolutions qui en résulteront. On a difficile à faire la différence entre les défenseurs du pouvoir et les personnes, qui se réclament de l’opposition politique, alors que les idées développées sont en parfaite harmonie avec la majorité. Difficile, dans ces conditions de démêler le vrai du faux. Comme on peut s’en apercevoir, Edem Kodjo a mis le doigt dans un panier à crabes. Plutôt que de tancer les anti-dialogue, il ferait œuvre utile en invitant aussi les autres à respecter les règles de jeu. Comment, en effet, expliquer, dans un même pays, que des fanatiques exaltés, pro-pouvoir, soient encouragés à manifester librement et que les mêmes avantages soient interdits aux opposants ? Il y a aussi un autre phénomène qui ne contribue pas à détendre l’atmosphère politique en RDC. Le dédoublement des partis politiques en allant à plus de quatres-cents serait il la cause ?

La République démocratique du Congo (RDC) est située au centre de l’Afrique et partage ses frontières avec neuf autres pays : la République du Congo, la République centrafricaine, le Soudan, l’Ouganda, le Rwanda, le Burundi, la Tanzanie, la Zambie et l’Angola. L’abondance des ressources naturelles de la RDC, dont les diamants, l’or, le coltan, le cobalt, le cuivre et le bois d’œuvre, a contribué à une histoire de colonisation, d’exploitation et de violence qui ont conduit à un des conflits les plus désastreux de l’histoire contemporaine de l’Afrique. Le roi Léopold II de Belgique a entrepris la colonisation de la RDC en 1878 et a établi l’État libre du Congo. Léopold a utilisé le travail forcé des Congolais pour exploiter l’ivoire et le caoutchouc, accumulant ainsi une vaste fortune. On estime que dix millions de personnes ont été tuées dans ces camps de travail. Ce n’est qu’en 1960 que la RDC a obtenu son indépendance. Joseph Kasavubu fut le premier président élu de la RDC. Il etait d...

RDC BENI TÉRRITOIRE : Un calme s'observe dans la soiré, après une nouvel tententive d' attaque des Adf-Nalu signalé vers May Moya localité situé à 12 km au nord dela commune rurale d' Oicha sur le troçont routier Beni Eringeti, dans le groupement de Bambubha-Kisiki Sécteur de Beni Mbau, aujourd' hui samedi 23 janvier 2016. Cela arrive après l' arrêstation d' un élément de ce même rébélles Adf par les Fardc à Tandibho une rivière qui sépare la commune rurale d'Oicha à celle du chef lieu dela colléctivité de Mbau vers 23:00 heures locale jeudi 21/ 1/2016 Aujourd' hui les Fard ont bien, travaillé dans le combat contre les térroristes des Adf qui tuent la population inocente. On en entendu des coups des balles, les armes légère selon les habitants de cette parti du térritoire. Mais que disent les autorités millitaire ? Il nous infornent, que ces rébélles des Adf-Nalu ont encore attaqué une position des Fardc àl' entrer de May-Moya. Bilan, quatres morts et quelques capturées selon le porte parole d' opération sukula 1 le LTN MIKE HAZUKAYE qui le confirme. Mais des sources locale signalent que les forces loyalistes ont résisté avec force contre ces aventuriers qui troublent encore. Dans ces jours, les rebelles des ADF-Nalu attaquent les localités, des grandes aglomerations de Beni térritoire, ou une position des FARDC, dans l'objectif de trouver des munitions, et de s'enprovisioner en nourritures, médicaments, chèvres ,poules ,canards des habits et autres. La société civile de de Beni térritoire déplore la situation et demande une plus grande implication des autorités en vue de sécuriser la population. Selon de source millitaire le Fardc, continue de traquer les inciviques avec le ratisage. Mais jusqu'en présent c'est l'armée nationale Fardc qui contrôlent la situation sur térrain, après la fuite des Rébélles Ougandais, des Adf-Nalu dans la brousse du parc Nationale des Virunga. Toute les millitaires qui sont basée dans cette parti étaient bien positioné dans leurs camp. Mais cete tentative a echoué grâce àl'intervation musclé des Fardc qui ont réagie avec des armes lourde et automatique. La fois passée, deux personnes ont été grièvement blessées à la machette le samedi 14 novembre dernier au cours d’une attaque des cinq villages de la chefferie de Walese Vonkutu dans le territoire d’Irumu en Ituri (à la limite avec le Nord-Kivu), ont rapporté lundi 16 novembre les représentants de la société civile locale. Plusieurs biens des villageois ont par ailleurs été emportés par les assaillants, ont-ils précisé. Au regard de leurs modes opératoire, la société civile d’Irumu attribue cette attaque aux rebelles ougandais des ADF, actifs dans la région. Les assaillants portaient des fusils et des machettes. Selon Daniel Erabo Sezabo, président de la société civile locale, les mutins auraient profité du déplacement des FARDC du 905e régiment vers le Nord-Kivu pour opérer dans la quiétude. Ils ont ciblé particulièrement les villages de Madibe, Masomé, Apinzi 1, 2 et 3, situés tous à environ 100 kilomètres au sud de Bunia. Ils ont pillé notamment des chèvres, des cochons, des poules et des vivres, ont précisé les mêmes représentants de la société civile. Cette attaque a provoqué des déplacements importants de la population vers les brousses environnantes. Quel est l'objectif des rébélles Adf-Nalu ? Selon mon point de vue, c'st forcé le déplacement des populations en vue d’occuper progressivement leurs terres et d’exploiter les ressources naturelles, l’installation des foyers d’intégristes religieux et des bases d’entrainement terroristes dans la zone. alors que ce sont des véritables terroristes qui s’assignent pour mission islamiser de force toute la région et créer un Etat Islamiste dans la Région de Grand-Lac. Pour sa part, la société civile de Beni ville et térritoire encourage l’armée régulière congolaise de démanteler le centre international de terrorisme. L’extrême nord du Territoire de BENI, dans le Parc de VIRUNGA et la Vallée de la rivière SEMULIKI ont abrité jusqu’il y a peu des CENTRES d’Instruction pour former ces terroristes. Leurs essais de bombes artisanales ont fait par plus de 4 fois des victimes en Ville de BENI au cours du premier Trimestre de 2014. Partant du mode opératoire des combattants, des armes dont ils ont fait usage. Sachons tous qu’à BENI il y a plutôt des Terroristes, sans objectif militaire. A ce sujet, au 1ersemestre 2013 nous avons par exemples documenté de cas de recrutements des jeunes dans des mosquées au N-Kivu, Sud-Kivu, Maniema et ITURI, le kidnapping des plus ou moins 894 civils en Territoire de Beni convertis de force en musulmans (selon les témoignages de plus de 383 civils libérés, des combattants-Adf rendus ou capturés par les FARDC). Il faut absolument arrêter ce cycle des violences qui perturbent non seulement la quiétude de paisibles citoyens de Beni mais constituent bien plus un véritable frein aux multiples projets de développement entrepris par le Gouvernement tant nationale.

Donc aujourd' hui la population de Beni térritoire vivent dans l'insécurité totale des Adf-Nalu qui nous térrorisent. Celle d'Oïcha a eu lieu le 08/10/2014 donc plus d'une année jours ou jours nos frères du chef-lieu du térritoire de Beni ont étaient tué àla machette, hache, couteau, par les rébéles Adf-Nalu 1. Du 04 au 05/10/2014 : En village MUKOKO, situé à plus ou moins 5 kilomètres d’Oïcha du côté gauche de la route principale nationale n° 4. Ce jour 2 personnes ont été tuées, par des hommes armés identifiés comme ADF, 3 autres avaient été enlevées avant d’être libérées par les FARDC. 2. Le 06/10/2014 : Au village LINZO-SISENE,sur l’axe Oïcha-Eringethi. 7 personnes tuées,12 blessés par machette et haches, 8 personnes portées disparues jusqu’à présent. 3.Du 5 au 06/10/2014 : Dans les villages MAYIMOYA, MAIBO et KISIKI tous situés sur l’axe Oïcha-Eringethi: 9 personnes tuées. 4.Le 08/10/2014 : En Cité d’Oïcha, Quartier BAKAIKU, Cellule Aliaki/MAMIKI, 9 personnes tuées...

RDC : DIALOGUE NATIONALE DIVISION AU SEIN DELA CLASSE POLITIQUE D' OPPOSITION : Pour sa par, le président Joséph Kabila pourrait briguer un troisième mandat et être toujours le maître politique du pay avec l' appui de ses alliés des grandes puissance. Mr Kabila accepte d'ouvrir un dialogue politique avec l'opposition alors que les grands partis politiques consultés restent divisés sur l'agenda de ces nouvelles négociations. En 2013, Joseph Kabila avait convoqué des concertations nationales dans le but de rechercher la cohésion nationale, qui ont abouti, entre autre autres, à la formation d'un gouvernement d' union nationale, élargi fin 2014 à quelques membres de l' opposition. "Ces nouvelles négociations ne risquent-elles pas de nous amener vers le même schéma de partage des postes ministériels, alors qu'il y a nécessité de préparer de manière consensuelle des élections libres et transparentes dans un climat apaisé" s' interroge un député national de l'opposition. Pour l'heure, c'est le calendrier électoral global qui constitue le point de discorde majeur entre la Majorité présidentielle et l'opposition dans son ensemble. D'où, le président Joseph Kabila a envoyé un émissaire dans les états-majors des principaux partis d'opposition, ainsi qu'auprès d' un Groupe parlementaire des Libéraux démocrates et socialistes, pour discuter de l'organisation d'un éventuel dialogue national. Après les contacts préliminaires qu'il avait pris le 2 mai 2015 avec le secrétaire général de l'UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social), Bruno Mavungu, le président de l'UNC (Union pour la Nation Congolaise), Vital Kamerhe, et la secrétaire générale du MLC (Mouvement de Libération du Congo), Eve Bazaiba, l' administrateur général de l'ANR (Agence Nationale des Renseignements), Kalev Mutond, a reçu cette semaine les mémorandums de ces trois partis de l'Opposition en rapport, disent- ils, avec "la crise politique née à la suite des élections présidentielle et législatives controversées de novembre 2011, dont la résolution devrait passer par un Dialogue national inclusif". L'un de ces documents, celui de l'UDPS, réitère la demande d' Etienne Tshisekedi publié dans un communiqué, depuis Bruxelles, le 8 mai 2015. "L'UDPS exhorte le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies en RDC et le Collège des envoyés spéciaux en RDC et dans la région des Grands Lacs, de jouer pleinement leur rôle diplomatique de médiation en prenant, de toute urgence les contacts avec les parties congolaises afin de définir le cadre d' organisation effective du dialogue dans un court délai", souligne le communiqué, qui juge la démarche de Joseph Kabila "de manoeuvres dilatoires visant à contourner les exigences constitutionnelles régissant les échéances électorales et à favoriser un éventuel glissement.." Certes, la démarche de Joseph Kabila est diversement interprétée par la classe politique. "Ce dialogue n'a pas véritablement sa raison d'être pour l' instant. Pourquoi faire un dialogue maintenant, parce que nous sortons de concertations nationales. Et tout le monde sait que ces concertations ont abouti à des résolutions, mais qui ne sont encore appliquées jusqu'aujourd'hui", estime José Makila, président du Groupe parlementaire des Libéraux démocrates et socialistes. M. Makila "est contre le glissement du calendrier politique susceptible de permettre aux députés et au chef de l'Etat actuels de rester au pouvoir au-delà de leurs mandats". "Nous devons aller aux élections pour sortir les députés provinciaux, les sénateurs et les gouverneurs. Par après on ira tous en 2016 pour élire le président de la République", a-t-il ajouté. Un son de cloche un peu différent chez Mwenze Kongolo, le président du Parti Patriotique Kabiliste. "Le dialogue national entre l'opposition et la majorité présidentielle doit aboutir à la tenue d'une table-ronde au format réduit pour ne discuter que du calendrier électoral global", affirme-t-il. "Si nous allons parler avec le pouvoir, nous devons parler du calendrier. Tel qu'il est, il n'est pas réaliste. Nous avons fait une contre-proposition et c'est cette contre-proposition que nous voulons discuter. Si elle est mauvaise pour la population, on verra ce qu'on pourra faire", précise-t-il. Pour M. Kongolo, la table-ronde ne devrait pas être un lieu de partage du pouvoir entre l'opposition et la majorité et "devrait surtout éviter tout glissement pour le prolongement du mandat de l'actuel chef de l' Etat." L'UDPS partage la même opinion. "Nous avons dit à M. Kabila que le respect de la Constitution reste de stricte application", indique Bruno Mavungu. L'UNC de Vital Kamerhe exige la tenue de ce qu'elle appelle " vrai dialogue" et qui serait conforme à l'esprit de la résolution 2098 du Conseil de sécurité des Nations Unies et de l'Accord-Cadre d'Addis-Abeba. Ce que rejetterait la majorité présidentielle.Selon le porte- parole de la MP, Sébastien Luzanga Shamandevu, la démarche du chef de l'Etat est encourageante.

À la division de la classe politique répond le silence du président. Les différentes plate-forme de l’opposition politique congolaise se réunissent en convention depuis lundi 31 mars 2015 à Kinshasa dans l’objectif de consolider l’unité de l’opposition face aux questions de l’heure , telles que la révision de la constitution et la feuille de route de la Ceni. Mais dès l’ouverture des travaux de la convention, des voix se sont faites discordantes. Pour le Parti travailliste de Steve Mbikayi, ces assises virent à des attaques individuelles oubliant l’essentiel : le combat politique. Steve Mbikayi pense que la Coalition « Sauvons la RDC » vise plutôt des individus. Ce qui n’est pas l’idéal pour son parti, a-t-il affrimé. « Presque tous les partis qui composent la CVD ne seront pas là. Parce que nous nous sommes dits qu’on devait d’abord voir clair dans toutes ces démarches, éviter de confondre l’agitation avec l’efficacité politique, éviter de rendre le combat politique en combat ind...

Prions pour la paix partout dans le monde mais aujourd' hui chez nous c'est un peu calme malgré l'insécurité. Un Adf-Nalu a était arrêté hier jeudi le 21 janvier 2016 par les Fard vers la rivière Tandibho tout près dela commune rurale d' Oicha à 23:00 passé selon les autorités millitaire dela place à Oicha. Qui sèment la téreur dans la région de Beni dépuis des année ? Les auteurs de ces actes odieux de térrorisme en Beni ville et térritoire ne sont pas encore bien identifiés. A ce sujet, des opinions divergent. Les structures officielles de l’Etat congolais et la société civile accusent les ADF-NALU d’être à la base de ces massacres. Ce que ne partage pas une certaine opinion du Nord-Kivu qui voudrait que l’on scrute aussi la piste de complicité des FARDC. Sur le plan politique, des voix s’élèvent pour imputer ces tueries à certaines personnalités politiques. Pour avoir une certaine lumière sur cette question, la société civile du Nord-Kivu a initié un débat social qui devrait débuter le mercredi 17 décembre dans la ville de Beni. Les notables et élus de cette partie du Congo ainsi quelques officiels congolais y sont invités pour un débat de clarification. La question que l’on est en droit de se poser est celle de savoir à qui vraiment profitent ses massacres. Les ADF-NALU ? Une certaine opinion, notamment celle de certains officiels congolais, pointe du doigt accusateur les ADF-NALU. Ces rebelles ougandais sont sur le sol congolais depuis plus de 20 ans. Toutes les guerres dites de libération qui sont passées par Beni-Lubero n’ont jamais réussi à les y démanteler. Le gouvernement Congolais appuyé par la Monusco s’époumone encore pour les éradiquer. Sont-ils les auteurs de tueries de Beni ? Les habitants de l’espace Beni-Lubero ont cohabités avec ces rebelles ougandais pendant plus de 20 ans sans vivre ce genre des massacres à grande échelle. Les ADF-NALU sont plutôt connus pour des enlèvements, pillages de villages et autres viols des femmes. Leurs incursions dans des villages et autres villes avaient pour principale motivation leur approvisionnement en vivres et autres produits de première nécessité. Qu’est-ce qui peut alors pousser ces ADF-NALu à changer subitement leur mode opératoire ? Des spéculations ne manquent pas à ce sujet. L’on croit savoir que pendant leur long séjour en RDC, quelques ADF-NALU auraient tissé des relations d’affaires avec certains natifs du milieu. Traqués par les opérations conjointes FARDC-MONUSCO, ils chercheraient à se venger contre ceux qui n’auraient pas respecté les engagements d’affaires conclus avec eux. Aussi faudra-t-il souligner que plusieurs jeunes congolais peuplent les rangs des ADF-NALU depuis un certain temps. Peuvent-ils pousser leur cynisme jusqu’à massacrer leurs propres frères et pour quel but ? En principe les ADF-NALU devraient avoir pour objectif la déstabilisation du pouvoir ougandais. La complicité des FARDC ? La région de Beni est une zone opérationnelle, sur-militarisée. Tous les services de renseignement militaire y sont représentés. A eux, s’ajoutent aussi les contingents de la Monusco. Comment peut-on comprendre que tous ces services ne soient pas en mesure de prévenir pareille massacre et encore moins de déceler leurs véritables auteurs ? En réponse à cette question des commentaires vont dans tous les sens. Les uns estiment que soucieux de gain facile, certains chefs militaires de Beni-Lubero tiendraient à retarder l’éradication des ADF-NALU en vue de continuer à recevoir des « fonds noirs » en provenance de Kinshasa. Ces massacres rentreraient dans le cadre d’une « diversion ». Aussi, pensent d’autres personnes, se massacres rentreraient dans la ligne droite d’une stratégie visant à déstabiliser cette région pour justifier, au moment opportun, la prolongation des échéances électorales. Dans l’une de ses interventions sur les ondes de la RFI, monsieur Mbusa Nyamwisi n’avait pas hésité de réclamer que l’on puisse examiner la piste de la complicité des FARDC dans ce qui se passe à Beni. Ce leader politique de l’espace Beni-Lubero avait même souhaité qu’une enquête internationale soit urgemment diligentée. La confusion qui régnerait dans le commandement militaire de cette région pourrait pousser les uns et les autres à se tendre des pièges. Les politiques ? Dans un point de presse tenu à Goma, le Gouverneur du Nord Kivu avait fait allusion à l’implication de certaines personnalités politiques dans le malheur qui s’abat sur le territoire de Beni. Julien Kahongya est allé jusqu’à annoncer la gestation d’une nouvelle rébellion dans sa province. Qui donc peut, pour s’attaquer au régime en place à Kinshasa, se résoudre à massacrer ses propres populations ? Ce serait vraiment se tromper de cible. Le pouvoir congolais à des symboles auxquels on pouvait s’attaquer en lieu et place de s’en prendre aux innocentes et paisibles populations. Toutes les rébellions qui sont passés par Beni-Lubero s’attaquaient aux symboles du pouvoir et non aux populations.

L’insécurité à Béni : le peuple doit se prendre en charge ? Beni : le général Mushale appelle les policiers et les militaires à protéger les civils. Le commandant de la 3e zone de défense de l’armée congolaise, le général-major Léon Mushale, a appelé mercredi 14 octobre 2016 les militaires et policiers à protéger et défendre la population civile à Beni. Il a lancé cet appel au cours d’une parade militaire organisée deux jours après l’attaque contre deux villages du territoire Beni par des présumés rebelles. Une attaque qui a fait huit morts, selon la société civile. Au cours de cette parade à laquelle ont notamment pris part les commandants de grandes unités de la garnison de Beni, le général Mushale a appelé ses hommes à protéger les civils dans le strict respect des droits de l’homme et du droit international humanitaire. «J’ai parlé de la mission qui nous incombe, qui consiste à protéger, à défendre la population et ses biens. J’ai rappelé aussi la notion de la vigilance, parce qu...

BENI TÉRRITOIRE ÉCHEC D'UNE NOUVEL ÉCCURSION DELA PAR DU GROUPE ARMÉE DES ADF-NALU, ENCORE À KOKOLA AUJOURD'HUI MERCREDI 20 janvier 2016 VERS 11 HEURES : Bilan un millitaire Fardc blessé à la jambe et on nous signale que la situation est sous contrôle des Fardc basé dans cette parti du térritoire cela arrive tout après une attaque de ce même rébélles enrégistré le 17 janvier del'année encours dans la même localité de Kokola ou, un Taximan a était fusié, ce jour la deux boutiques, des poulles, chèvres, pharmacie, un kiosque et une partie dela maternité pillé et incendié, c'est resultat de l'incurssion des ADF-NALU à Kokola, localité, situé à plus de vingt km au nord dela commune rurale d'Oicha sur le troçon routier Beni Eringeti, dans le groupement de Bambuba-Kisiki, Sécteur de Beni-Mbau Route N¤4. Informé dela présence de ces térroriste dans cette parti du térritoire, Les FARDC et la Monusco ont commencé à tirer des coups des balles contre ce groupe d'homme armée qui se sont rétraché dans la brousse après leurs forfait de térrorisme. Les ADF/NALU sont donc bel et bien de retour et ont signé leur come-back en lettres de sang. Ce qui change toute la donne militaire et la cartographie des Fardc dans le Nord-Kivu. Il faut tout revoir radicalement. Car ces attaques des ADF/NALU et des prises d’otages qui ont commencé, donnent raison aux experts de l’Onu qui, dans leur dernier rapport publié après le démantèlement des ADF/NALU à Kamanga, estimaient que leur chaîne de commandement était restée intacte. Les événements actuels leur donnent raison. Les ADF/NALU se sont reconstitués à peu de frais et en peu de temps. Ce qui veut dire qu’ils n’étaient pas loin. On revient à la case-départ : la reprise de toutes les opérations contre ces rebelles ougandais. Mais comment et c’est cela la question fondamentale car il n’y a pas de doute que la stratégie utilisée jusqu’à ce jour par les Fardc appuyées par la Monusco a montré ses limites. C’est donc tout l’échafaudage de la doctrine d’attaque qu’il faut revisiter. En attendant, la population doit faire avec la réapparition des ADF avec leur psychose terrible des tueries aveugles, des enlèvements, d’esclavage humain, des pillages, des viols, sur de vastes étendues qui échappent à l’armée et sur lesquelles ils imposent leur loi. L’insécurité sera effective à chaque coin de rue dans des villages même dans Beni-ville où ils ont plusieurs fois réussi des attaques-surprises. LA MORT DE DEUX HEROS DE LA GUERRE. On est sur le qui-vive partout. Comment mener des activités économiques dans ces conditions de peur-panique ? 17 personnes enlevées déjà en moins d’une semaine, cela donne le vertige et l’idée de ce que sera la vie de ces populations de Beni-Territoire. Il faut tout de suite stopper les ADF/NALU. Mais qui va les stopper ? Dans la nouvelle organisation des Fardc, la traque contre les ADF est attribuée à un général, le général Muhindo, basé à Beni. Il remplace pour cette charge, le général trois étoiles Jean-Lucien Bahuma, foudroyé par un AVC (accident vasculaire cérébral) il y a un peu plus d’un mois. On peut noter que la résurgence de l’activisme des ADF/NALU intervient dans un contexte particulièrement difficile au Nord-Kivu. La province a perdu, en 9 mois, deux de ses fils les plus dignes, deux héros de la guerre, deux braves combattants qui ne reculaient devant rien sur la ligne de front. Il s’agit du colonel Mamadou Ndala, l’homme qui a mis le M23 à genoux. Il est tué un certain 2 janvier à Beni-ville alors qu’il est en train de se rendre à Eringeti, 70 km de Beni, pour préparer les opérations de traque contre les ADF/NALU. C’est ainsi que dans un premier temps, cet assassinat est attribué à ces islamistes ougandais qui étaient informés de ces préparatifs et qui ont tout de même fêté la mort de Ndala même si ils n’en sont pas des commanditaires. Aujourd' hui l'insécurité cree un climat de psychose généralisée à Oïcha chef lieu du térritoire de Beni dans la province du Nord-Kivu la population victimes des massacres, pillages, viols, etc. Depuis plusieurs semaines, la population dela commune rurale d' Oïcha est la cible de pillages et d'attaques répétées, commises selon la population par des hommes armés en uniforme. Ce n'est pas la première fois que la ville connaît de telles poussées d'insécurité. Devant ces hommes déterminés et bien organisés, la population a peur, explique Lewis Saliboko, un représentant de la société civile. Dans l'après midi d'hier Dimanche 18 octobre 2015 les rébélles Adf-Nalu ont attaqué l'une des celules situé àl'est d'Oïcha vers 16h 30. Bilan deux enfants disparus,un décè d'une vieille femme et quelques maisons incendiés par ces même rébéles qui sont très actif dans la région de Beni,dépuis près de 30 ans jusqu'aujourd'hui. La population del'est d'Oïcha se sont déplacée vers ouest dela commune rurale à 99.9%. Dépuis le matin jusque présent beaucoup des gens fuient vers d'autres algomérations comme Beni ville,Mutwanga,Mangina,Butembo et autres.

Les habitants du territoire de Beni passent des moments les plus troubles. Dans l’espace de deux mois, cette partie de la RDC a enregistré plus de 250 cas de tueries. Les auteurs de ces actes odieux ne sont pas encore bien identifiés. A ce sujet, des opinions divergent. Les structures officielles de l’Etat congolais accusent les ADF-NALU d’être à la base de ces massacres. Ce que ne partage pas une certaine opinion du Nord-Kivu qui voudrait que l’on scrute aussi la piste de complicité des FARDC. Sur le plan politique, des voix s’élèvent pour imputer ces tueries à certaines personnalités politiques. Pour avoir une certaine lumière sur cette question, la société civile du Nord-Kivu a initié un débat social qui devrait débuter le mercredi 17 décembre dans la ville de Beni. Les notables et élus de cette partie du Congo ainsi quelques officiels congolais y sont invités pour un débat de clarification. La question que l’on est en droit de se poser est celle de savoir à qui vraiment profitent ...

RDC BENI TÉRRITOIRE : UNE NOUVEL ATTAQUE DES PRÉSUMÉES ASSASSINS DES RÉBÉLLES OUGANDAIS DES ADF-NALU SIGNALÉE À KOKOLA LE LUNDI 18 JANVIER 2016 VERS 17 PASSÉ. Bilan, un Taximan tué, deux boutiques, des poulles, chèvres, pharmacie, un kiosque et une partie dela maternité pillé et incendié, c'est resultat de l'incurssion des ADF-NALU à Kokola, localité, situé à plus de vingt km au nord dela commune rurale d'Oicha sur le troçon routier Beni Eringeti, dans le groupement de Bambuba-Kisiki, Sécteur de Beni-Mbau Route N¤4. Informé dela présence de ces térroriste dans cette parti du térritoire, Les FARDC et la Monusco ont commencé à tirer des coups des balles contre ce groupe d'homme armée qui se sont rétraché dans la brousse après leurs forfait de térrorisme. Cela s'ajoute à, une autres attaque de ce même présumés rebelles ougandais des ADF enrégistré, le mercredi 13 janvier après-midi par les FARDC et les casques bleus de la Monusco à Opira un village situé à environ 50 kilomètres au nord-est de la ville de Beni (Nord-Kivu). Selon des sources militaires, les assaillants ont attaqué une position des FARDC et une autre des casques bleus dans la région. D’après des sources locales, l’action des FARDC et des casques bleus ne s’est pas faite attendre. Ces derniers auraient repoussé les rebelles, après une quarantaine des minutes de violents affrontements. Selon les sources militaires, ces assaillants avaient pour objectif de se ravitailler en vivres et minutions, sans y parvenir. Dans cet combat, quatre militaires congolais ont été tués mercredi 13 janvier au cours d’une attaque simultanée d’une position de l’armée et des casques bleus de la Monusco par des présumés rebelles ADF à Oipra dans le territoire de Beni. Selon le porte-parole des opérations Sokola 1, lieutenant Mak Hazukay, sept militaires étaient grièvement blessés au cours de l’attaque. Quatre ont succombé à leurs blessures ce jeudi dans la matinée. Pour le lieutenant Mak Hazukay, deux assaillants ont été tués. Les Forces armées de la RDC (FARDC) seraient à la poursuite des autres assaillants. Jusque-là aucun bilan n’est disponible côté casques bleus de la Monusco. «Pour l’instant, la situation à Kokola est sous contrôle de la coalition FARDC-Casque bleus de la Monusco», ont précisé ces sources. La fois passé, la localité d'Eringeti situé, à 55 km au nord dela ville de Beni sur la RN¤ été aussi sous contrôle des Adf-Nalu le dimanche 29 novembre 2015. Pour la CRDH, les rébélles sont venus pillé et tué la population innoncente car ils ont crépité les coups de balles pendant plusieurs heures tout en etant en train de tuer, pillé, emporté des biens dela population, de brûlé aussi le centre hospitalier de Eringeti en territoire de Beni à l'Est du pays. Ceci intervient après l'attaque du camp de l'armée congolaise par ces rébelles, dimanche soir dernier. Cela a crée un climat de psychose généralisée entre la population victimes des Adf. Les malades et infirmiers seraient déjà brûlés et sont les ADF qui ont contrôlé dans quelques heures Eringeti. Plus de 15 boutiques sont pillées et plusieurs autres maisons réduites en cendre. (Ce matin, des pauvres hélicopts de l'UN survolent les champs de cultivateurs de Beni sans rien appércevoir du mal), se désolent les victimes qui ont passées nuit en brousse avec de serpents. Beni térritoire Nord-Kivu : les ADF-Nalu sèment la terreur. Au moins 22 personnes ont été tuées et plusieurs blesés dans une attaque d’une extrême brutalité, des Adf-Nalu a rapporté la société civile de Beni ville et térritoire dans un communiqué publié ce lundi 30 novembre 2015. Parmi les disparus on compte 11 Adf-Nalu tué, 7 civiles, et 4 millitaires tombé dans le combat Selon la société civile, cette attaque porte la signature des ADF-Nalu, l’un des groupes rebelles les plus secrets et le plus redoutés en RDC. Depuis des années, les ADF-Nalu terrorisent des dizaines de milliers de civils dans la région de Beni, dans le Nord-Kivu. Aujourd’hui, plus qu’hier, bien que l’échec de la pensée et la montée d’une nouvelle barbarie nous mettent en face de la banalisation de la vie humaine en territoire de Beni, à l’Est de la République Démocratique du Congo, j’ai tout de même un rêve. Mais devant tant des massacres, faudrait-il rêver ou serait-il impérieux d’agir? Certes, on peut choisir d’agir mais on ne choisit pas de rêver. Sinon, j’aurais choisi d’agir plutôt que de rêver. Le rêve, cependant, peut avoir une origine. Pour ce qui me concerne, il s’agit d’une histoire récente. Aussitôt, je mis La Peste d’Albert Camus de côté et courus partager l’angoissante nouvelle des massacres à mon Supérieur, le Père Jean-Marie Meso Paluku. Le lendemain, nous eûmes une messe en mémoire de toutes les victimes en priant pour tous ceux qui meurent et pour la conversion des auteurs de ces crimes. Que d’innocents! Tués en arme blanche! Que d’instabilité sécuritaire pour une seule région! Le territoire de Beni est plongé dans une spirale de chaos, de barbarie.

Aujourd' hui les ADF-Nalu sèment la terreur dans la région. Au moins 22 personnes ont été tuées et plusieurs blesés dans une attaque d’une extrême brutalité, des Adf-Nalu a rapporté la société civile de Beni ville et térritoire dans un communiqué publié ce lundi 30 novembre 2015. Parmi les disparus on compte 11 Adf-Nalu tué, 7 civiles, et 4 millitaires tombé dans le combat Selon la société civile, cette attaque porte la signature des ADF-Nalu, l’un des groupes rebelles les plus secrets et le plus redoutés en RDC. Depuis des années, les ADF-Nalu terrorisent des dizaines de milliers de civils dans la région de Beni, dans le Nord-Kivu. Reportage ici du président d'une ONG connu sous le non de CEPADO. Plusieurs biens des villageois ont par ailleurs été emportés par les assaillants, ont-ils précisé. Alors que ce sont des véritables terroristes qui s’assignent pour mission islamiser de force toute la région et créer un Etat Islamiste dans la Région de Grand-Lac. Pour sa part, la soci...

RDC SOUVENIR DU 55IÈME ANNIVERSAIRES DEL'ASSASINAT DE PATRICE EMERY LUMUMBA CELUI CI, A ÉTAIT TUÉ LE 16 JANVIER 1961 AUJOURD' HUI NOUS SOMMES LE 16 JANVIER 2016 : 1er Premier ministre congolais 24 juin 1960– 14 septembre 1960 (2 mois et 21 jours) Président Joseph Kasa-Vubu Prédécesseur Fonction créée Successeur Joseph Ileo Biographie : Nom de naissance Patrice Émery Lumumba Date de naissance 2 juillet 1925 Lieu de naissance à Onalua, Kasaï-Oriental ( RDC) Date de décès 17 janvier 1961 (à 55 ans aujourd'hui) Lieu de décès Élisabethville, Katanga( RDC) Nationalité Congolaise Parti politique MNC/L Conjoint Pauline Lumumba EnfantsFrançois Lumumba Guy Patrice Lumumba Juliane Lumumba, Patrice Lumumba, et Roland Lumumba Religion Catholique. En juillet 1960, il devient secrétaire d'État du gouvernement indépendantde Patrice Lumumba. Il profite du désaccord entre les différents hommes politiques et du fait d'être l'un des seuls lumumbistes à avoir une quelconque expérience militaire pour évoluer très rapidement dans la hiérarchie militaire. C'est ainsi en tant que chef d'état-major, et sous l'influence de l'ambassadeur de Belgique, qu'il fait arrêter et assigner à résidence Lumumba en 1960. Ce coup d'état comptera beaucoup dans les relations entre les Belges et Mobutu. Il met en place un gouvernement temporaire, le Collège des commissaires généraux. COMPLOT CONTRE PATRICE LUMUMBA : Devant les caméras, Mobutu accuse ensuite Lumumba de sympathie pro-communiste pour s'attirer le soutien des États-Unis. Informé de cela, Lumumba tente de s'enfuir à Stanleyville, mais est rattrapé en chemin par les soldats. Mobutu le fait mettre en prison, où il est maltraité et torturé. Il est ensuite envoyé au Katangade Moïse Tshombe, où il est assassiné le 17 janvier 1961, son corps perdu « en brousse » selon les documents officiels. Sous la direction de Pierre Mulele, des rebelles partisans de Lumumba partent en guerre contre Mobutu. Ils occupent rapidement deux-tiers du Congo, mais avec l'aide des États-Unis, Mobutu parvient à reconquérir l’ensemble du territoire. Il est, avec Joseph Kasa-Vubu, l'une des principales figures de l'indépendance du Congo belge. Patrice Émery Lumumba est considéré au Congo comme le premier « héros national». Le rôle des puissances occidentales et celui des États-Unisen particulier a été fortement évoqué dans la mort de Lumumba. Ils craignaient une dérive du Congo vers l' URSS. En effet, Lumumba a fait appel aux Soviétiques lors de la sécession du Katanga, car l' ONUne répondait pas à ses demandes d'aide militaire pour mettre fin à la guerre civile. Les archives de la CIA déclassifiées depuis le 21 juin 2007 indiquent que la CIA a monté un plan d'assassinat de Lumumba 10, 22: En novembre 1962, Monsieur (classé) a informé M. Lyman Kirpatrick qu'il avait, à un moment, reçu la consigne de M. Richard Bissel de porter la responsabilité d'un projet incluant l'assassinat de Patrice Lumumba, alors premier ministre de la république du Congo. Selon (classé) la méthode devait consister en l'empoisonnement, puisqu'il a mentionné avoir reçu l'ordre de rencontrer le docteur Sidney Gottlieb afin de se procurer le mode d'administration 23 Ce plan était connu de la commission Church. Elle affirmait que le poison choisi pour éliminer Lumumba ne lui avait jamais été administré. Elle affirmait également qu'il n'y avait aucune preuve que les États-Unis aient été impliqués dans la mort de Lumumba 24. Les États-Unis de Dwight Eisenhowervoulaient éliminer Lumumba — pas forcément physiquement — pour éviter un basculement du géant africain dans le communisme et la Belgique voyait en lui et ses thèses d’indépendance économique une menace pour ses intérêts économiques notamment dans le secteur minier. Ces deux pays ont soutenu l’effort de guerre de Mobutu contre les Maï-Maï. Les mercenaires belges ont organisé, l’opération Omegang exécutée en liaison avec une intervention des parachutistes belges pour écraser la résistance Maï-Maï au Kivu. Si le meurtre de Lumumba paraît avoir été élucidé, c'est sous l’impulsion de François Lumumbaqui a estimé en savoir assez pour porter plainte contre X sur la base des affirmations du sociologue belge Ludo De Witte. Le gouvernement belge a d'ailleurs reconnu, en 2002, une responsabilité dans les événements qui avaient conduit à la mort de Lumumba : :À la lumière des critères appliqués aujourd'hui, certains membres du gouvernement d'alors et certains acteurs belges de l'époque portent une part irréfutable de responsabilité dans les événements qui ont conduit à la mort de Patrice Lumumba. Le Gouvernement estime dès lors qu'il est indiqué de présenter à la famille de Patrice Lumumba et au peuple congolais ses profonds et sincères regrets et ses excuses pour la douleur qui leur a été infligée de par cette apathie et cette froide neutralité.Le 23 juin 2011, la famille de Patrice Lumumba a déposé plainte, à Bruxelles, contre une dizaine de Belges qu’elle considère comme impliqués dans l’assassinat 25.

Alors pour un Congo uni, se distinguant en cela des autres leaders indépendantistes dont les partis constitués davantage sur des bases ethniques sont davantage favorables au fédéralisme 2. L'historien congolais Isidore Ndaywel E Nziemprécise : « Lumumba, à cause de son identité de Tetela, avait son électorat "naturel" dispersé dans l'ensemble du pays, ce qui l'obligeait à jouer une carte nationaliste unitaire » 3 Il ne plaide pas pour une indépendance immédiate, d'autant plus qu'il a pris conscience que les frontières du Congo belge et des colonies françaises, anglaises et portugaise voisines sont arbitraires, fixées par les puissances coloniales, ce qui posera un jour la question de répartir les richesses entre les futurs pays africains indépendants. En 1955, il crée une association « APIC » (Association du personnel indigène de la colonie) et aura l’occasion de s’entretenir avec le roi Baudouinen voyage au Congo, sur la situation sociale des Congolai...

RDC QUINZIÈME ANNIVERSAIRE DELA MORT DEL'ACIEN PRÉSIDENT DELA RÉPUBLIQUE SON ÉXELENCE MZE LAURENT DÉSIRÉ KABILA : Celui ci est considéré par les congolais, comme le héro nationale. Aujourd' hui presque toute la RDC, on commémore ce samedi 16 janvier 2016, comme chaque année, la mort de Laurent-Désiré Kabila, brutalement assassiné le 16 janvier 2001 par l’un de ses gardes rapprochés. Au-delà des cérémonies d’hommage à l’homme d’Etat, cet anniversaire est aussi l’occasion de revenir sur un dossier judiciaire qui n’est toujours pas bouclé depuis 15 ans. Une soixantaine de personnes ont été condamnées à mort ou à la perpétuité en 2003. Toutes clament leurs innocence et demandent à être rejugées ou amnistiées. Le 16 janvier 2001, vers 13h30, Laurent-Désiré Kabila est abattu dans son bureau de trois balles par l’un de ses gardes du corps, Rachidi, Il sera lui-même tué quelques minutes plus tard par l’aide de camp du président, un certain Eddy Kapend. Le principal complice, qui attendait le meurtrier dans une voiture à l’extérieur du palais présidentiel, réussit à prendre la fuite. S’ensuit alors une gigantesque rafle dans l’entourage du président défunt. En 2002, 120 prévenus sont jugés en neuf mois dans un procès express devant une cour militaire. Certains ont subi de la torture. Trente personnes sont finalement condamnées à mort. Parmi elles, le fameux Eddy Kapend, qui a pourtant neutralisé l’assassin de Kabila père. Vingt-six sont condamnées à perpétuité et six à vingt ans de prison. Le principal complice, lui, a pris la fuite vers l’Europe et n’a jamais été jugé. Idem pour les commanditaires de l’assassinat. Tous ceux qui se sont penchés sur le dossier doutent que ceux qui sont en prison à Kinshasa soient les véritables coupables. Pourtant, 14 ans après, 43 personnes sont toujours derrière les barreaux. Car certaines ont réussi à fuir. En 2003, le juge déclarait lui-même que le dossier n’était pas clos. Depuis dix ans, les avocats et les organisations de protection des droits de l’homme demandent donc à ce que ces personnes soient rejugées dans un procès équitable au nom du droit à la défense ou, étant donné que les faits sont vieux de 14 ans, qu’elles soient tout simplement amnistiées. Sept condamnés morts en détention En 2005, une loi d’amnistie pour faits de guerre, infraction politique et délits d’opinion a été adoptée. En 2014 aussi. Mais à chaque fois les condamnés pour l’assassinat de Kabila père ont été exclus de ces amnisties. Les gouvernements se succèdent et rien ne se passe. Pendant ce temps, les détenus continuent de croupir en prison. Sept déjà sont morts en détention. En 2013, une ONG congolaise l’Asadho (Association africaine de défense des droits del’homme) saisit cette fois la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, une institution de l’Union africaine dont la RDC fait partie. Pour la première fois, une instance internationale prend position sur ce dossier délicat de la justice congolaise. Sa décision rejoint en tout point ce que disent les ONG congolaises depuis des années. Pour elle, le procès n’a pas été équitable et les droits des prévenus non respectés. Les 43 détenus encore vivants doivent donc être immédiatement libérés. Ils doivent être indemnisés par l’Etat congolais. Enfin, la cour militaire congolaise doit être mise aux normes d’un Etat de droit pour qu’un procès équitable puisse être rouvert. La Commission africaine des droits de l’homme donne 180 jours (6 mois) à ses Etats membres pour mettre en application ses recommandations. Mais plus d’un an après cette décision qui date de novembre 2013, rien. Aucune mesure n’a été prise. Le ministère de la Justice que nous avons contacté jeudi n’a pas été en mesure de réagir à ce nouvel élément. Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mendé,a dit de son côté que son Etat refusait les injonctions. Les ONG congolaises réfléchissent à d’autres voies de recours au niveau de la justice internationale. Mort de Laurent-Désiré Kabila: le dossier judiciaire toujours ouvert. « Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ? ». C'est le titre d'un documentaire diffusé ce 27 avril 2011 sur la chaîne de télévision, France O. Une chaîne disponible, partout dans le monde, sur le bouquet Canal Satellite Horizon.Depuis le 16 janvier 2001, jour de l'assassinat du président Laurent-Désiré Kabila, l'énigme persiste. On ne sait pas toujours pas qui est derrière la main de Rachidi, l'assassin du président. Dans ce documentaire, de nombreux Congolais témoignent. Le mystère commence à s’éclaircir. L'un des deux auteurs du film, Arnaud Zajtman, répond aux questions de RFI. Depuis le 16 janvier 2001, c'est une énigme. On ne sait pas toujours pas qui est derrière la main de Rachidi, l'assassin du président Kabila. Dans ce documentaire, de nombreux Congolais témoignent. Le mystère de ce complot commence à s’éclaircir. L'un des deux auteurs du film, Arnaud Zajtman, répond aux questions de RFI. RFI : Arnaud Zajtman, dans le documentaire que vous avez rémpondu.

Qui a réellement tué Laurent-Désiré Kabila ? Des contextes peut être selon mon... Dans ce reportage exclusif qu’offre notre rédaction, le sénateur Abdoulaye Yerodia, le député national Mwenze Kongolo, le général Faustin Munene et le combattant Léonard Mulopwe apportent leurs témoignages avec des révélations accablantes sur la mort du président Laurent- Désiré Kabila. un film belge soulève un coin du voile.Le 16 janvier 2001, vers 13 h 30, Laurent-Désiré Kabila est abattu de trois balles dans son bureau présidentiel du palais de Marbre, situé sur les hauteurs de Kinshasa. En RDC, ce samedi 16 janvier marque les 15 ans de la mort de Laurent-Désiré Kabila, arrivé au pouvoir en 1997 en renversant Mobutu. Après quatre ans à la tête du pays, il est tué à Kinshasa par un kadogo, «encore petit» en swahili, ces jeunes soldats qui l'avaient aidé à conquérir le pouvoir. Suite à son assassinat, des dizaines de personnes ont été arrêtées, inculpées et condamnées. Certaines sont décédée...

RDC BENI TÉRRITOIRE INSTABILITÉ SÉCURITAIRE DANS CETTE PARTIT DU NORD-KIVU DÉPUIS DES ANNÉES JUSQU' AUJOURD' HUI : Dimanche le 27 DÉCEMBRE 2015 une nouvel embuscade contre un véhicule dela marque fuso été enrégistré au nord dela commune rurale d'Oicha, sur le troçon routier Beni Kisangani dans le groupement de Bambubha-Kisiki sécteur de Beni-Mbau. Bilan, 4 morts et quelques blessé grave. Ce groupe des Adf-Nalu ont attaqué l'engin roulant par de roquette qui a endomagé complètement le véhicule. Cela arrive après la découverte des 6 corps des civiles sans vies à Mavivi le jeudi 24 décembre 2015 a Anzuma, Avemba et Tepiomba. Ces citoyens ont étaient tué ce jour là par les faux Adf-Nalu par machette. Le 25 décembre de ce mois, ces même groupe des rébélles présumé assassin ont fait un nouveau éccursion au village de MAYANGOSE, tout près de la ville de Beni où, ils ont encore tué les habitants dans cette parti du térritoire de Beni. Bilan, plus des 8 morts des civiles, des maisons dela population, incéndiées, des poules, canards, chèvres, et autres biens des civiles emporté par les rébélles du groupe armée des Adf-Nalu. Donc aujourd' hui la population de Beni ville et térritoire, vivent dans l'insécurité totale des Adf-Nalu qui nous térrorisent. Celle d'Oïcha a eu lieu le 08/10/2014 donc plus d'une année jours ou jours nos frères du chef-lieu du térritoire de Beni ont étaient tué àla machette, hache, couteau, par les rébéles Adf-Nalu 1. Du 04 au 05/10/2014 : En village MUKOKO, situé à plus ou moins 5 kilomètres d’Oïcha du côté gauche de la route principale nationale n° 4. Ce jour 2 personnes ont été tuées, par des hommes armés identifiés comme ADF, 3 autres avaient été enlevées avant d’être libérées par les FARDC. 2. Le 06/10/2014 : Au village LINZO-SISENE,sur l’axe Oïcha-Eringethi. 7 personnes tuées,12 blessés par machette et haches, 8 personnes portées disparues jusqu’à présent. 3.Du 5 au 06/10/2014 : Dans les villages MAYIMOYA, MAIBO et KISIKI tous situés sur l’axe Oïcha-Eringethi: 9 personnes tuées. 4.Le 08/10/2014 : En Cité d’Oïcha, Quartier BAKAIKU, Cellule Aliaki/MAMIKI, 9 personnes tuées dont 5 d’une même famille. L’opération avait fait 2 blessés. 5.La nuit du 15 au 16 octobre 2014 : incursion d’hommes armés dans les cellules de Ngadi et Kadou dans les périphéries de Beni. Plus ou moins 30 morts et plus de 10 blessés. Rappellons que, le 08/10/2014 la cité d'Oïcha, été attaqué par ce même rébélles Adf-Nalu présume assasin précisement dans une célule Mamiki. Ce jour là 9 personnes ont etaient tuées à Oïcha, dans une attaque des des rebelles ougandais des ADF-Nalu dans la soirée du mercredi 8 octobre en chef lieu du territoire de Beni,dans la province, du (Nord-Kivu). Des sources locale dans la région ont rapporté que les habitants d’Oicha et d’Eringeti se sont déplacé abandonnant leurs localités et se sont dirigé vers les villes voisines de Beni et Butembo. Pour sa part la société civile locale, avec le président Lewisi Saliboko a témoigné que ces rebelles ougandais ont jeté deux jours avant des tracts à Eringeti, une localité voisine d’Oicha, promettant de venger leurs camarades tués pendant les opérations militaires menées par l’armée congolaise. D'autres sources ont indiqué que les rebelles se sont introduits dans plusieurs maisons avant d’abattre plusieurs personnes. Pour se venger de la complicité de villageois des environs de Beni-centre,dont la collaboration avec le Gouvernement aurait facilité aux FARDC de mettre les ADF-NALU en déroute et de réussir à détruire tous leurs camps,au cours d’une opération-éclair connue sous le nomde code terrible de“SOKOLA” (signifiant : nettoyer,en langue lingala) « Antithèses »1. Ça ne tient pas du tout la route car, la plupart des jeunes gens engagés dans les rangs de l’ADF-NALU, sont des fils et petits-fils de ces villageois qui sont massacrés depuis Août 2014 jusqu’à ce jour. Le 08/10/2015 mr Paluku, Jean Paul Ngahangondi le président nationale d'une ONG, Convention pour le respect des droits de l'homme CRDH en sigle, vient de publié un communiqué sur son compte facebook en disant que , mes chers amis : JUSTICE INTERNATIONALE: Le Procureur de la Cour Pénale Internationale ( CPI) vient d'accuser la réception du rapport pubier fin Septembre 2015 par l'Organisation de défense des droits humais "Convention pour le respect des droits de l'homme" CRDH en sigle. Dans ce rapport de 16 pages intitulé MASSACRES DE LA POPULATION DE BENI VILLE ET TERRITOIRE, COMPLOT BIEN ORCHESTRER, votre Organisation avait demandée au Procureur de la CPI d'ouvrir les enquêtes internationales indépendantes pour identifier les vrais auteurs , leurs complices, et les bénéficiaires ultimes de cette campagne de tueries. Cette ong souhaite l'arrestation des personnes complices, en traduisant dévant la justice et le faire condamner. Compte tenu du manque de crédibilité des autorités Congolaises nous avions demandés l'implication personelle de la CPI et il vient d'accuser reception de nos rapport.

Aujourd’hui, plus qu’hier, bien que l’échec de la pensée et la montée d’une nouvelle barbarie nous mettent en face de la banalisation de la vie humaine en territoire de Beni, à l’Est de la République Démocratique du Congo, j’ai tout de même un rêve. Mais devant tant des massacres, faudrait-il rêver ou serait-il impérieux d’agir? Certes, on peut choisir d’agir mais on ne choisit pas de rêver. Sinon, j’aurais choisi d’agir plutôt que de rêver. Le rêve, cependant, peut avoir une origine. Pour ce qui me concerne, il s’agit d’une histoire récente. Aussitôt, je mis La Peste d’Albert Camus de côté et courus partager l’angoissante nouvelle des massacres à mon Supérieur, le Père Jean-Marie Meso Paluku. Le lendemain, nous eûmes une messe en mémoire de toutes les victimes en priant pour tous ceux qui meurent et pour la conversion des auteurs de ces crimes. Que d’innocents! Tués en arme blanche! Que d’instabilité sécuritaire pour une seule région! Le territoire de Beni est plongé dans une spirale ...