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Plus de 31 millions de personnes ont été déplacées dernièrement, dans leurs propre pays à cause de guerres, de violences ou de catastrophes naturelles en 2016, surtout en Chine et en République démocratique du Congo (RDC), a rapporté lundi une ONG spécialisée, selon une source d'Agence France Presse, qui notre source. Chine et RDC pays les plus affectés par les déplacements intérieurs de population (ONG) : Parmi les 6,9 millions de nouvelles personnes chassées de leurs domicile par une guerre l’an dernier, 922.000 ont été recensées en RDC, davantage qu’en Syrie (824.000 déplacés) et en Irak (659.000), selon l’International Displacement Monitoring Centre du Norwegian Refugee Council (NRC). L’Afghanistan s’est hissé au quatrième rang (653.000), suivi par le Nigeria (501.000) et le Yémen (478.000). Quelque 2,6 millions de personnes ont été déplacées en Afrique sub-saharienne à cause d’un conflit social et inter-éthnique dans plusieurs pays d'Afrique Noir, jusqu'aujourd' hui :

Chine et RDC pays les plus affectés par les déplacements intérieurs de population (ONG) Mais les catastrophes naturelles ont déplacé trois fois plus de personnes que les guerres, avec 24 millions de personnes affectées par des inondations, des tempêtes, des incendies ou la neige. La Chine a compté le plus grand nombre de nouvelles personnes déplacées l’an dernier par des intempéries (7,4 millions), suivie par les Philippines (5,9 millions), l’Inde (2,4 millions) et l’Indonésie (1,2 million). Ces déplacements liés aux intempéries sont susceptibles d’augmenter à l’avenir en raison du changement climatique, a souligné le NRC. Ces chiffres montrent la nécessité de se pencher autant sur les personnes déplacées au sein des pays que sur les réfugiés qui franchissent les frontières, a insisté le chef du NRC Jan Egeland. «Le nombre de personnes déplacées dépasse celui des réfugiés par deux contre un. Il est donc urgent de remettre les déplacements intérieurs au centre des agendas mondiaux»,...

Privé de titre de champion d'Espagne depuis mai 2012, le club de footbal Real Madrid a remporté, la Liga en battant Malaga ( 2-0), le dimanche 21 mai 2017. C'est la 33e fois qu'il la gagne, dans l'histoire. Il n'y a eu aucun suspense puisque les hommes de Zidane n'ont eu besoin que de 97 secondes de jeu pour ouvrir le score face à ceux de Michel. Après un erreur de Luis Hernandez, Isco a trouvé Cristiano Ronaldo en profondeur et le Portugais a gagné son duel face à Kameni. Le Ballon d'Or a inscrit 14 buts lors des neuf dernières journées ! Navas a empêché Sandro d'égaliser à la 21e sur un coup franc bien placé puis Kameni a été vigilant devant CR7 (34e). C'est Benzema qui a inscrit le deuxième du Real, après un cafouillage (55e). Chori Castro a échoué sur la barre de Navas à la 90e. En 18 mois en tant que technicien du Real, Zidane a gagné une Ligue des champions (et peut-être une de plus dans quelques jours), une Liga, un Mondial des Clubs et une Supercoupe d'Europe :

Dans le championnat de foot Espagnol : Zidane et le Real Madrid sont, les rois, d’Espagne ! Le Real Madrid du jeune entraîneur français a remporté dimanche son 33e titre de champion d’Espagne en battant Malaga grâce à Ronaldo et Benzema. Les Madrilènes, qui pouvaient se contenterd’un nul à Malaga, n’ont mis que deux minutes à ouvrirle score sur un but de Ronaldo, idéalement lancé dans l’espace par Isco (2e). Le 25ebut du quadruple Ballon d’Or portugais en Liga cette saison, et son 40etoutes compétitions confondues. Zinédine Zidane s’est assis dimanche 21 mai sur le trône du footballespagnol en conduisant le Real Madrid vers son 33e titrede champion en Liga, le premier depuis 2012, grâce à sa victoire 2-0 lors de l’ultime journée. Il n’a fallu que 97 secondes à Cristiano Ronaldo pour mettrefin au suspense lors de cette dernière journée, alors que le FC Barcelone remplissait son office dans le même temps contre Eibar (4-2). Karim Benzema a conforté la victoire madrilène en deuxième pér...

La CENI doit organiser, le plus vite tout les élections en République Démocratique du Congo, au plus tard, àla fin du 2017, en cours : dans un communiqué signé par le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga ce compte-rendu précise Joseph Kabila a souhaité que, soit associé au prochain conseil des ministres le président cette institution d’appui à la démocratie pour faire « le point sur l’état des préparatifs de l’organisation de ces élections« . Parce que l’organisation de ces élections dépendent de la sécurité du toute l’étendue du territoire national, le président Kabila «a noté qu’il y a des défis sécuritaires dans 4 provinces et i territoires sur les 145 que compte le pays » alors que le pays a 26 provinces. Au cours de cette réunion, « le Chef de l’État a insisté sur la première mission du gouvernement qui est d’appuyer la Commission électorale nationale indépendante (CENI) dans sa charge d’organiser les élections démocratiques, transparentes et non chaotiques le plus tôt possible« , renseigne le compte-rendu de cette rencontre :

Au gouvernement : Kabila dit vouloir des élections « le plus tôt possible » Le président de la République, a présidé le premier Conseil des ministres extraordinaire du gouvernement Tshibala, ce samedi à l’immeuble du gouvernement. Kabila aux ministres : « Vous êtes nommés pour être au service de la nation et non au service de vos partis» Joseph Kabila a appelé, 20 mai 2017, les membres du gouvernement à travailler pour la nation et non pour leurs partis politiques. Le pays ne pouvant plus continuer à fonctionner sur base des crédits provisoires, le Chef de l’État « arappelé au gouvernement l’impérieuse nécessité » d’élaborer la loi budgétaire avant de la soumettre au Parlement. Il n’a pas manqué d’exhorter les ministres à éviter le népotisme dans la composition de leurs cabinets « car ils sont au service de la nation et non de leurs partis ». Selon des sources de la primature, Joseph Kabila a rappelé à l’équipe gouvernementale sa mission première d’appuyer la CENI dans son mandat d’...

Le gouverneur dela province du Nord-Kivu Julien Paluku Kahongya accuse un certains acteurs politique d' opposition, en République Démocratique, d'avoir intoxiqués, une partie dela population HUTU Congolais qui monte aujourd' hui au créneau, contre Julien Kahongya, ou celui ci, il lance un avertissement contre tous les extrémistes de toutes les communautés qui s'adonnent à amener des innocents manifester devant ses bureaux.... Pour lui la note qui suspendait les mouvements des populations inconnues est issue de l'assemblée provinciale le 27 Mai 2016 et non venant de lui. LES DÉCISIONS DE JULIEN PALUKU Il va créer une commission mixte qui va aller en ITURI pour identifier tous les compatriotes du Nord-Kivu qui se sont rendus à Boga dans le Irumu. Cette identification est de savoir si ils sont de quels villages, quelles circonscriptions et de quelles familles: Cette commission reviendra vérifier si l'identification est conforme à la réalité sur terrain. Julien Paluku pense déduire la complicité car il y a des Rwandais qui cherchaient les cartes d'enrôlement pour aller en ITURI :

L'actuel gouverneur du Nord-Kivu dit que, il n'est pas été nommé, mais élu démocratiquement, par les députés provinciaux, à Goma, chef lieu dela province. À lui d'ajouté, que, il avait gagné, le gouvernorat, contre un autre membre de sa communauté. Il dit n'avoir jamais ravi la province à quiconque d'une autre communauté et personne ne peut se lever pour dire que les ''Nandes" leur ont ravi la province car lui, comme gouverneur a été élu comme indépendant par les députés de toutes les obédiences. Julien Paluku dit qu'il faut mettre en garde pour tous les acteurs politiques qui veulent entrainer toute une masse, toute une jeunesse...car une communauté ne peut mettre en garde un État et ne veut plus écouter une intimidation et un délai car on verra entre les extrémistes des communautés et l’Etat qui peut l'emporter. Le Nord-Kivu démocratique est loin du Nord-Kivu des rébellions avec ses anciennes sensibilités sociologiques. LES PRÉCISIONS DE JULIE...

Après l'invasions massive des plusieurs prisoniers, dernierememt à Kinshasa, et dans le Kongo-Centrale, le ministre dela justice en République Démocratique du Congo, honorable Alexis Thambwe de son état, a fournie une longue explication aux députés nationaux , le vendredi dernier, à Kinshasa, à l’occasion d’une question d’actualité, qui lui a été adressée, au sujet des évasions massives au Centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa (CPRK) ex-Makala, le 17 mai 2017. Affaire cinquentaine d’évadés : Thambwe Mwamba admet avoir menti, ce dernier temp, envers les congolais « Je vous ai proposé, de donner les statistiques au bureau [de l’Assemblée nationale] parce que, nous ne cachons pas la vérité, mais nous devons non plus créer la panique au sein de la population ou créer de réflexes d’auto-défense qui feraient que chaque citoyen de Bumbu, de Selembao de Camp-Luka qui apercevrait un prisonnier à la suite de ce que je pourrais donner comme éléments, appelle pour dire: nous allons le lyncher, venez voir« , a justifié le ministre congolais au sujet de son refus de publier les chiffres officiels des évadés :

Devant la représentation nationale vendredi à Kinshasa, le ministre congolais de la Justice et garde des Sceaux Alexis Thambwe Mwamba admet avoir fourni des faux chiffres des évadés. Le ministre de la Justice, Alexis Nthambwe Mwamba et le procureur général de la République, Flory Numbi Kabange, ont annoncé l’ouverture d’une enquête sur l’attaque et les évasions au Centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa le 17 mai dernier, en Afrique centrale. « À lui d'ajouter que, ils ont de film de l’attaque ou certains des évadés, nous ont appelés indirectement pour nous dire qu’ils étaient contraints à s’évader, et voudraient retourner, dans la prison. Pendant ce temp là, nous leurs disons que, nous tiendrons compte du fait qu’ils se soient volontairement rendus« , a indiqué, Alexis Thanmbwe jeudi dernier, lors de sa visite sur le lieu. Dans le même régistre, Alexis Thambwe promet, aussi d’être « compréhensif » à l’égard des évadés, qui regagneront la prison. Le ministre congolais...

Depuis plusieurs jours en travers le monde, le DG du Facebook teste auprès d'une poignée d'utilisateurs une fonctionnalité permettant denaviguer plus facilement entre le réseau social, la messagerie et le service de partage de photos et vidéos. Confirmé par Facebook au magazine TechCrunch, ce test se matérialise par une menu affichant les différents comptes de l'utilisateur en haut à droite de l'application Facebook. Tout se passe désormais dans le fil d'actualité de Facebook. L'utilisateur n'a plus besoin d'ouvrir et de refermer chaque application. Les notifications sont centralisées dans ce nouveau menu où un simple clic sur une bulle matérialisant l'une d'entre elles permet, de passer d'une application à une autre :

Plus des notifications de Facebook, Messenger et Instagram bientôt réunies. Facebook teste actuellement une fonctionnalité permettant aux utilisateurs de jongler plus facilement entre les trois applications. Cette nouvelle fonctionnalité pourrait permettre à Facebook deretenir davantage l'attention des utilisateursles moins attachés aux notifications en les entretenant dans un état d'anxiété permanent relatif aux alertes manquées afin qu'ils restent connectés plus longtemps à ses services. "Nous menons un petit test afin de permettre aux gens de découvrir et se connecter plus facilement aux personnes, ainsi qu'aux choses dont ils se soucient. Nous cherchons à apporter des solutions à nos utilisateurs afin qu'ils puissent plus facilement passer de Facebook à Messenger et Instagram", a expliqué un porte-parole de Facebook. Avec respectivement 2 milliards, 1,2 milliard et 700 millions d'utilisateurs, Facebook, Messenger et Instagram sont les têtes de go...

« On entend beaucoup parler dépuis des années, d'ici et là, de la MONUSCO, sur toute étendu dela République Démocratique du Congo, comme étant un partenaire incontournable des autorités locales même ici dans la région de Beni, sortie des massacres, des civils, vols et autres. Mais, finalement, nous ne savons pas très bien quel est le mandat de la MONUSCO. Il y a beaucoup de confusion parmi les étudiants », ont confié Nicolas et Zacharie, représentants des étudiants de l’ISC et de l’UOS. Dernièrement, les membres dela MONUSCO présent en Ville de Beni province du Nord-Kivu en République Démocratique du Congo, ont échangés, avec les étudiants de Beni sur la Résolution 2348, le 10 mai 2017 courant - C’est à l’invitation des étudiants de l’Université Officielle de Semuliki (UOS) et des étudiants de l’Institut Supérieur de Commerce (ISC) que la MONUSCO est venue échanger avec 100 étudiants de ces deux universités de Beni :

Autant que l’on pouvait s’y attendre, les étudiants de l’UOS et de l’ISC ont démontré par leurs questions variées et sans complaisance leur curiosité, leur intérêt ainsi que leur esprit critique. « Quelle est la différence entre la résolution 227 et la résolution 2348 ? Que fait la MONUSCO pour l’application de l’accord de la Saint-Sylvestre ? Avec l’accalmie actuelle en territoire de Beni, des opérations militaires sont-elles toujours lancées ? Les enfants séropositifs anciennement associés avec des groupes armés sont-ils accompagné par la MONUSCO et ses partenaires dans le processus de réinsertion ? Comment la MONUSCO favorise-t-elle la liberté de la presse et prévient-elle les détentions arbitraires ? » : Voilà quelques questions posées par ces étudiants et qui ont toutes trouvé réponses. A la sortie, les étudiants étaient très enthousiastes de ces trois heures d’échange libre et sans tabous. Ils ont d’ailleurs exprimé leur désir de voir de telles activités être renouvelées, notam...

La remise et reprise entre Samy Badibanga et Bruno Tshibala a eu lieu, ce jeudi 18 mai 2017 autour de 15 heures locale de Kinshasa en République démocratique du Congo. Le premier ministre Tshibala est officiellement entré en fonction. Ses services rassurent que, de travailler « afin de faire avancer les grands dossiers notamment celui des élections conformément à l’accord du 31 décembre dernier ». *Investi mardi 16 mai dernier au Palais du Peuple, en dépit des élucubrations des Députés de la nouvelle coalition du Rassemblement de Limete qui, grâce à une motion incidentielle, s’y opposaient, Bruno Tshibala Nzenzhe a, tout de même, réussi son examen de passage. La Majorité aura tout fait, pour peser dans la balance et lui donner, coûte que coûte, le feu vert. Engagements Cerise sur le gâteau, l’ex-bras droit de Tshisekedi, passé au Rassemblement de Kasa-Vubu, pour juguler la descente aux enfers du Franc congolais, stabiliser le cadrage macro-économique, mobiliser et maximiser les recettes et restaurer l’autorité de l’Etat :

Samy Badibanga a rémis, le tablier ce jeudi 18/05/2017, au main sur le cœur, Bruno Tshibala, a rappelé qu’il se battrait également, pour la tenue des élections dans les délais prévus par l’Accord de la Saint Sylvestre, d’ici fin décembre 2017, mais aussi, d’organiser des obsèques dignes en hommage à Feu Etienne Tshisekedi, son mentor, d’il y a plus de trente ans. Du reste, tout au long de son discours-programme, il a promis de ne point entreprendre des actions de nature à désaxer sa collaboration, ainsi établie, avec Joseph Kabila, l’Autorité Suprême du pays, et, lui, le tout nouveau Premier Ministre, nommé le 7 avril 2017 et son gouvernement de 58 membres issus de la Majorité, du Rassemblement de Joseph Olenghankoy made in Kasa-Vubu, de l’Opposition Républicaine de Léon Kengo wa Dondo, de l’Opposition signataire de Badibanga, Kamerhe et autres et, enfin, dans une fraction congrue, de quelques membres de la Société civile signataire et non signataire. Puisqu’en plus, tous deux,...

20 ans après ou sont passés, les congolais après la chute du maréchal Mobutu Sese- Seko ? En effet, l'histoire dela fin du règne d'ancien homme fort du Zaïre, nous raconte que, ce dix sept mai 2017 aujourd'hui, vingt ans sont passés, depuis que, l’Alliance des Forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL) prenait le pouvoir à Kinshasa, en République Démocratique du Congo, dans l'ex Zaïre. Avec l’AFDL de Laurent-Désiré Kabila qui en était, le porte-parole prenait les rênes du pouvoir depuis Lubumbashi, ville qui était tombée entre les mains de la rébellion plusieurs mois plus tôt. Le 17 mai 1997, les soldats de l’AFDL entraient triomphalement dans la capitale du Zaïre qui sera rapidement rebaptisée République démocratique du Congo. 32 ans de pouvoir Arrivé à la tête du pays par un coup d’Etat en 1965, Mobutu Sese Seko aura passé 32 ans au pouvoir. Un pouvoir marqué notamment par l’hégémonie d’un parti le Mouvement populaire de la Révolution (MPR) créé en 1967 et qui sera imposé comme parti unique puis parti-Etat. Allié des puissances occidentales, Mobutu consolide son pouvoir au cours de deux décennies suivantes. En pleine guerre froide, le Zaïre de Mobutu est un allié de poids notamment pour les Etats-Unis, la France et la Belgique. Le Maréchal, comme il finira par se faire appeler, se pose en rempart contre le communisme. Mais au fil des années, le pouvoir autoritaire de Mobutu couplé avec une situation économique de moins en moins bonne (effondrement des cours du cuivre, effet de la Zaïrianisation) crée des mécontentements. A l’intérieur du pays, une opposition se forme au cours de la décennie 1980. Un parti d’opposition est constitué par d’anciens cadres du MPR conduits notamment par Etienne Tshisekedi. L’entrée de l’AFDL à Kinshasa mettait fin à 32 ans d’un régime dictatorial. Les soldats de l’Alliance sont entrés à Kinshasa à pied dans sa partie Est. L’affrontement tant redouté dans la capitale entre les rebelles et les forces loyales à l’ancien régime n’eut pas lieu. Samedi 17 mai 1997 au matin, les habitants des communes de Masina et Kimbanseke s’étaient massés le long du Boulevard pour voir de plus près ces petits soldats chaussés des bottes en caoutchouc qui avaient réussi à chasser du pouvoir le président Mobutu. 16 mai 1997.Après l'échec des négociations de l'Outenika et sous la pression grandissante des forces rebelles qui sont aux portes de la ville de Kinshasa, Mobutu quitte le pouvoir. Il s’envole pour Gbadolité d’où il se rendra au Togo puis au Maroc. Les troupes rebelles entrent dans la capitale le 17 mai. Laurent Désiré Mobutu se proclame président de la République. Fin de règne La conférence nationale souveraine organisée dans la foulée de l’annonce de la démocratisation permet d’élire l’opposant historique Etienne Tshisekedi Premier ministre. Il ne gouvernera pas longtemps. D’autant que Mobutu revient sur une partie des concessions annoncées au mois d’avril. La transition amorcée en ce début de la décennie 1990 va être plus longue que prévue. Elle sera marquée par une opposition politique de plus en plus forte et une détérioration de la situation économique de plus en plus prononcée. « Notre scénario avait été minutieusement mis au point afin que les règles du jeu soient modifiées dans l’ordre. Mais, en reprenant d’une main ce qu’il avait accordé de l’autre, Mobutu a tout bouleversé. La partie s’est déroulée dans la confusion, il n’y avait plus ni chef ni arbitre », commente Nkema Liloo, ancien conseiller de Mobutu cité par Colette Braeckman dans « Le Dinosaure ». La succession des Premiers ministres ne mettra pas fin à cette confusion. En octobre 1996, une rébellion soutenue par des pays étrangers comme le Rwanda, le Burundi et l'Ouganda et conduite par Laurent-Désiré Kabila va conquérir peu à peu tout le territoire national face à une armée nationale en débandade. Malade, Mobutu passe le clair de son temps en Europe pour se faire soigner. Fatigué, usé par le pouvoir, lâché par ses soutiens occidentaux et rejeté par une grande partie de l’opinion, Mobutu est obligé de quitter le pouvoir ce matin du 16 mai 1997 quand il accepte bien malgré lui de monter dans l’avion. Les nouveaux maîtres du pays font leur entrée à Kinshasa le 17 mai. La fin d’un régime incarné par un homme qui, aux dires mêmes de son dernier de cabinet, a fini par se convaincre qu’il était « une incarnation du Zaïre ». C’est finalement le changement du contexte international avec la chute du mur de Berlin qui va contraindre Mobutu a changé de fusil d’épaule. En avril 1990, il annonce la démocratisation. « Je prends congé du MPR », lance Mobutu en larmes :

Ce mercredi 17 mai 2017, la République Démocratique du Congo commémore, le 20ème anniversaire de la fin, au régime dictatorial, de l’ex-président Mobutu, qui est l’arrivée au pouvoir de l’Alliance des forces... Il y a 20 ans, des rebelles dirigés par Laurent-Désiré Kabila prenaient d’assaut la capitale de l'ex-Zaïre, Kinshasa, poussant l'homme fort du pays, le maréchal Mobutu, à s’enfuir. C'est la fin de la dictature de l'homme aux toques de léopard. A l’occasion du vingtième anniversaire de cette date historique, retour sur les ambiguïtés du personnage Mobutu, à travers une biographie complète du dictateur qui paraît ces jours-ci. Ce 16 mai 2017 est une journée historique pour la République démocratique du Congo, l’ex-Zaïre. Il y a deux décennies jour pour jour tombait le régime du maréchal Mobutu au terme de 32 années de règne sanguinaire. Ce jour-là, les Zaïrois attendaient avec impatience la chute de l’homme aux invariables toques de léopard. Sous la pression des ...

LES DIFFÉRENTS PROGRAMES DU GOUVERNEMENT NATIONAL SONT CONNUS, EN RDCONGO : ET APRÈS, L'OPPOSITION ET LA MAJORITÉ, NE PARLENT PAS, LES MÊMES LANGUAGES AVEC UNE LONGUE DURÉ, DES PATIENTENCES, ET PYSCAUSES QUI S'OBSERVAIENT D'ICI ET LÀ, AU SEIN DES ACTEURS POLITIQUE CONGOLAIS : MAIS DÈS LE MARDI, LA PLUS PART DES GENS SAVENT, LES GRANDS AXES DES PROGRAMMES DU GOUVERNEMENT CENTRAl DE BRUNO TSHIBALA, DÉPUIS LE MARDI 16 MAI 2017, EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO SELON PLUSIEURS SOURCES DES JOURNAUX, À PARTIR DE KINSHASA, LA CAPITAL DE CE PAY, D'AFRIQUE CENTRALE : Dès lors, le programme du gouvernement s’articule autour de 4 missions provinciales, à savoir : 1. Œuvrer pour l’organisation des élections crédibles, libres, transparentes et apaisées dans le délai convenu 2. Arrêter la dégradation de la situation économique du pays 3. Améliorer les conditions de vie de la population 4. Restaurer la sécurité des personnes et de leurs biens sur l’ensemble du territoire national ÉLECTIONS Sur le chapitre des élections, le prévoit : – La mobilisation des ressources internes et externes nécessaires pour financer le budget des élections * La constitution d’une provision trimestrielle au profit de la CENI pour financer l’ensemble du processus électoral * L’exploration des voies et moyens de rationalisation du système électoral pour la réductions des coûts des opérations :

La détermination de l’impact technique et financier, sur les élections et du mode de scrutin actuel et éventuellement envisager sa rationalité en instaurant un seuil d’éligibilité de 5% à 10 % * L’étude de faisabilité technique et la fiabilité du vote de la diaspora congolaise au regard de la grande dispersion de celle-ci aux quatre coins du monde, des coûts financiers et des délais courts prévus pour l’organisation des élections. * D’éviter que l’aide matérielle et financière d’appoint qui viendrait des partenaires extérieurs pour l’organisation des élections ne soit une occasion pour certains de s’ingérer dans les affaires intérieures de la RDC en violation des règles pertinentes de droit international et de la charte des Nations unies qui protège la souveraineté de chaque État ECONOMIE S’agissant de l’état de l’économie, le gouvernement relève avec un taux de croissance en chute libre (6,9% en 2015 contre 2,4% en 2016) est à la base de la dégradation de la situation économique ...