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Beni térritoire : la FEC appelle à l’incivisme fiscal pour dénoncer la multiplicité des taxes sur le tronçon routier Mavivi Kainama. D' après la même source, quelques membres dela Fec ont décidé, à partir du lundi 04 avril 2016, la suspension de paiement des taxes, impôts, redevances et autres perceptions aux différentes barrières officielles parce que la population du secteur de Beni-Mbau et ses environs ne peut pas continuer de payer pendant qu’elle est en train d’être massacrée et tuée». Pour eux, le tronçon routier Mavivi Kainama avait eté declaré zone sinistré par le président Joséph Kabila lors de son passage dans la région de Beni au mois de décembre dernier. Cette décision a été prise, à l' issue d'une assemblée extra-ordinaire tenue, samedi le 02 avril 2016 dernier dans la salle de réunion de la FEC/OICHA. Le mouvement de grève paralyse également les activités commerciales. Boutiques, magasins, écoles et petits commerces sont fermés. Par ailleurs, les radios communautaires « Moto » et «Muungano » d’Oicha ne fonctionnement plus comme d’habitude faute d’électricité. La plupart des agents de la SNEL ont répondu à l’appel de la société civile et ne se présentent pas à leur lieu de service. À l' hôpitale générale de référence d' Oicha quelques service des santé restent suspendu. Cette structure sanitaire de la cité d’Oicha et tous les centres hospitaliers de la région fonctionnent au ralenti. Seuls les malades dont l’état de santé est très précaire sont pris en en charge, indiquent des sources locales. Les autres malades se rendraient à la ville de Beni, située à une trentaine des kilomètres de la cité d’Oicha, à la ville de Bunia en Ituri pour se faire soigner.

Véritable contradiction entre l’administrateur de territoire et les opérateurs économiques qui ne veulent plus payer les taxes et impôts ! Un jour seulement après la mesure des commerçants de l’axe Beni-Eringeti de ne pas payer les taxes, l’administrateur de territoire de Beni répond. « Il n’est pas quéstion qu’une telle mesure soit mise en application », indique Amisi Kalonda expliquant qu’il n’a jamais reçu d’instruction de ce genre. Et donc, refuser de payer les taxes et impôts est un signe d’incivisme fiscal. AMISI KALONDA indique que si cette zone est réellement déclarée sinistrée, il n’y a pas de raisons convaincantes de se précipiter. Attendons ce que feront les autorités, a conseillé l’administrateur de territoire de Beni. D’où tous les commerçants devront continuer de s’acquitter de leurs devoir. La réaction des opérateurs économiques est aussi claire : la mesure du chef de l’Etat a force de loi. Pour sa part, l' adminstrateur du térritoire de Beni à Oicha accuse un group...

Génocide et massacres dans la région de Beni le député nationale Paul Muhindo Vaumawa demande au ministre congolais, de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba, d’user son pouvoir d’injonction et d’ordonner aux magistrats de mettre en état tous les dossiers des présumés coupables dans les massacres de Beni. Ces personnes arrêtées au motif d’avoir participé aux différents massacres de Beni ne sont toujours pas encore présentés au juge. Il y a urgence, estime Paul Muhindo Vaumawa, car certains de ces prévenus ont trouvé la mort avant le procès. «Le fait que ces gens ne sont pas transférés au niveau du tribunal, la confusion reste entretenue. Voilà pourquoi nous demandons au ministre de la Justice d’instruire les magistrats ; parce que nous voulons savoir qui sont réellement ceux qui ont été arrêtés. Ils doivent être punis et les populations de Beni doivent être rétablis dans leur justice», insiste le député national. Pour le ministre de la Justice, tous les cas de massacres ont été répertoriés.

Dans un rapport de novembre 2014, un groupe de parlementaires originaires du Nord-Kivu avait révélé des disfonctionnements dans la chaine de commandement de l’armée qui dissimulaient à peine une complicité active avec l’ennemi. On peut y lire qu’un Major(dont le nom a été tu) « contacté par un enfant rescapé alors que les tueries étaient en cours et que les cris des victimes parvenaient à la position qu’il contrôlait, a menacé de fusiller tout élément de son unité qui oserait intervenir et a même arraché les chargeurs de certains des éléments préoccupés d’intervenir» [7]. Un autre officier a carrément fait fermer les deux numéros verts mis en place par la Monusco privant la population, qui se faisait massacrer, de la possibilité d’appeler au secours. Ces officiers ne seront ni arrêtés ni poursuivis en justice. Bien avant le rejet de la version officielle par les experts de l’Onu, la journaliste belge Colette Braeckman avait, dans son article du 21 octobre 2014, émis le doute que les m...

Le nouveau mandat dela monusco : la société civile de Beni ville et térritoire au Nord-Kivu se dit satisfaite du renouvellement du mandat de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en RDC (Monusco) et du maintien de ses effectifs militaires par le conseil de sécurité de l’Onu. Son président, le révérend Pasteur Gilbert Kambale, l’a fait savoir ce vendredi 1 avril à Radio Okapi. Il estime que la situation sécuritaire qui prévaut dans les territoires de Beni et Lubero nécessite encore la présence des casques bleus dans la zone. Gilbert Kambale plaide également pour la reprise des opérations conjointes FARDC-Monusco pour neutraliser définitivement les rebelles ougandais de l’ADF et rwandais des FDLR.

La Monusco avait suspendu, début février 2015 dernier, sa coopération dans la traque des FDLR à cause de la présence dans la chaîne de commandement de deux généraux congolais soupçonnés de graves violations des droits de l’homme. Selon Charles Bambara, le porte parole dela Monusco a dit que, « Pour l’instant, nous avons effectivement mis une pause dans la coopération avec les FARDC en attendant qu’on puisse clarifier cette situation », a déclaré mercredi 11 février le porte-parole de la Monusco, Charles Bambara, confirmant l’annonce, la veille, par un porte-parole des Nations Unies à New York d’une « pause » de la coopération de l’Onu dans les opérations contre les rebelles rwandais des FDLR. Cette décision fait suite à l’implication présumée de deux généraux de l’armée congolaise qui participent à ces opérations dans des atteintes aux droits de l’homme. Cette reprise de la coopération était demandée depuis à maintes reprises par le Conseil de sécurité des Nations unies. C’est aujourd’...

Justice Internationle : le Procureur de la CPI et Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme : Une enquête internationale sur les massacres de Beni et de Lubero (RD Congo) Pourquoi c'est important La population dans l'Est de la République Démocratique du Congo et en particulier dans les territoires de Beni et de Lubero, est la cible d’une campagne de massacres. Depuis octobre 2014, des hommes, des femmes, des enfants et des vieillards sont tués en masse, de façon particulièrement cruelle, à coups de machette, de hache, de couteau, de douille de houe, de marteau. La gravité des crimes et leur répétition trahissent l’intention génocidaire de leurs auteurs. Le gouvernement congolais attribue ces massacres aux rebelles islamistes ougandais, les ADF, mais plusieurs sources mettent cette version en doute. Vous pouvez contribuer à mettre fin à ces massacres en exigeant l’ouverture d’une enquête internationale devant permettre d’identifier leurs auteurs, ainsi que leurs commanditaires et leurs complices.

Milices et criminalité Mbusa Nyamwisi disposait d’une petite armée, l’APC, mais dont les hommes n’ont pas vraiment profité de l’environnement créé par la réunification du pays en 2002-2003. Il a toutefois réussi à les gérer tant qu’il était dans les bonnes grâces du régime de Kinshasa. Mais depuis sa rupture avec Kabila, et son alliance avec Vital Kamerhe, Mbusa assiste impuissant au calvaire de ses hommes, parfois victimes d’une chasse aux sorcières. Le groupe s’est dispersé et on peut retrouver ses membres dans toute sorte d’activité, y compris criminelles. Dans leurRapport S-2012-843de novembre 2012, les experts de l’ONU croient savoir que les hommes de Mbusa Nyamwisi opèrent derrière la FOLK[1]du chef maï-maï Bana Sultani Selly, alias « Kava wa Selly » dans la vallée de la Semliki[2]. Un climat politique local exécrable Les tueries de Beni se produisent dans un environnement politique assez exécrable marqué par un vieux conflit de leadership dans le Grand Nord (le Pays des Nande...

L’HEURE DES REVELATIONS, SUR L’ASSASSINAT DU PÈRE VINCENT MACHOZI, ET LES MASSACRES DE BENI : Dans l’annonce aux lecteurs de Benilubero.com publiée le 25 mars 2016, il a été promis de rendre la lumière sur l’assassinat du Révérend Père Vincent MACHOZI, ce vaillant combattant de la paix et de l’unité. Aussi, le service d’enquête et recherche de Benilubero.com s’est déployé avec détermination en vue de collecter le maximum de données qui pouvaient aider à fixer les esprits sur ce meurtre sauvage, et à éclairer les opinions tant locales qu’extérieures sur la tragédie qui règne dans Béni-Lubero, tragédie dont cette mort n’est qu’une illustration parmi tant d’autres cas. D’emblée, eu égard à cette considération, chercher à identifier les responsables de la mort du Père Vincent Machozi revient ipso facto à fouiller les cachettes du secret qui voile l’identité des bourreaux qui ont peu à peu transformé les territoires de Béni-Lubero en une boucherie humaine.

Or, sur terrain, le RDC/K-ML, avant d’intégrer l’armée et la politique nationale n’a cessé de traquer les ADF/NALU sur toute l’étendue du territoire qu’il contrôlait. Il n’a jamais tenté un rapprochement avec cet ennemi de son allié, voire parrain, qui était le gouvernement de Kampala, et ce, jusqu’à la dernière minute de son occupation dans Béni-Lubero. Les enquêtes de Benilubero.com auprès des services de renseignement ougandais ont découvert que l’audace du RCD/K-ML contre l’ADF/NALU l’avait conduit à capturer au moins cinq hauts cadres de cette rébellion dont Yusuf KABANDA, le Secrétaire Général de l’ADF/NALU, et un certain LYAVALA, un autre membre du Quartier général de cette rébellion. Ces prisonniers furent officiellement remis au gouvernement ougandais par l’intermédiaire du général GOA de l’UPDF à Nyaleke et leurs procès furent organisés en Ouganda. Bien plus il est un fait bien connu jusque dans les opinions. En effet, qui aurait-il osé affirmer sans remord que « des fils d...

Des élections en République Démocratique du Congo le député nationale Gaston Musemene, s’est confié à Politico.cd sur la désignation de Moïse Katumbi comme candidat Président de la République. Il s’est également penché sur l’organisation des élections. « Nous prenons acte de cette désignation de Moise Katumbi par le G7. Nous n’avons pas un jugement particulier sur les ambitions des uns et des autres. Nous sommes tous congolais. Le Congo c’est un Etat de droit. Lorsqu’un groupe ou une famille politique estime présenter son candidat à l’élection présidentielle, nous ne pouvons qu’être fier de la démocratie dans notre pays et commencer déjà à monter des stratégies pour identifier les forces et les faiblesses de ces candidats face à une probable candidature de notre côté pour qu’on soit enfin à même de le battre ». Election ou pas en 2016 nous ne rêvons pas. Il faut faire confiance aux institutions de la République. Et l’institution de la République chargée de l’organisation des élections c’est la CENI.

La CENI s’est prononcée trop clairement sur ce sujet qu’elle ne saura pas organiser des bonnes élections dans l'année de 2016 est il vraie ? À qui la faute ? Parce qu’en ce moment il faut lancer les appels d’offre pour que les gens qui ont les moyens soutiennent l’équipe de la CENI. La CENI organe habileté à pouvoir organiser les élections a déjà dit presque non. Il ne faut plus revenir sur cette question. Il faudra 18 mois pour parvenir à nettoyer le fichier électoral ». Alors que la MP fait son va-tout pour embarquer Etienne Tshisekedi dans le « dialogue national », Moise Katumbi et Kamerhe sont à Bruxelles pour négocier avec le même Tshisekedi une candidature unique de l’Opposition à la présidentielle. Katumbi l’a dit à nos confrères belges de la Libre Belgique. Il insiste cependant sur le respect du délai constitutionnel. « Ce que je suis en train de faire aujourd’hui, c’est d’abord réunir l’opposition. Quand j’ai démissionné, je me suis dit que je devais voir tout le mond...

Les commerçants de l'axe Mavivi-Oicha-Eringeti et kainama en térr itoire de Beni viennent de declenché une serie de cessation des activités commerciales en daté de ce lundi 4 avril, ainsi pour dénoncer, les menances dont ils sont victimes de la part de services générateur des recettes de l'Etat. Pour eux, le tronçon routier Mavivi Kainama avait eté declaré zone sinistré par le président Joséph Kabila lors de son passage dans la région de Beni au mois de décembre dernier. Cette décision a été prise, à l' issue d'une assemblée extra-ordinaire tenue, samedi le 02 avril 2016 dernier dans la salle de réunion de la FEC/OICHA.

Beni : Véritable contradiction entre l’administrateur de territoire et les opérateurs économiques qui ne veulent plus payer les taxes et impôts Un jour seulement après la mesure des commerçants de l’axe Beni-Eringeti de ne pas payer les taxes, l’administrateur de territoire de Beni répond. « Il n’est pas quéstion qu’une telle mesure soit mise en application », indique Amisi Kalonda expliquant qu’il n’a jamais reçu d’instruction de ce genre. Et donc, refuser de payer les taxes et impôts est un signe d’incivisme fiscal. AMISI KALONDA indique que si cette zone est réellement déclarée sinistrée, il n’y a pas de raisons convaincantes de se précipiter. Attendons ce que feront les autorités, a conseillé l’administrateur de territoire de Beni. D’où tous les commerçants devront continuer de s’acquitter de leurs devoir. La réaction des opérateurs économiques est aussi claire : la mesure du chef de l’Etat a force de loi. Donc, personne ne peut l’outre passer, se défendent-ils. Pour sa part...

LUBERO SUD TÉRRITOIRE : DES TRACTS DES INCONNUES SONT VISIBLE POUR UNE NOUVEL MASSACRE DONC ON OBSERVE UNE PANIQUE TOTALE AU SEIN DE LA POPULATION Selon les habitants de KASIKI, MIRIKI, BULEUSA, LUOFU,... ces tracts appellent les nande, les NYANGA et les Kobo à s'attendre a un massacre; ils seraient écrits par le Gen CHARLES DAMASENY Cdt FDLR FOKA, SAFARI FDLR RUD chargé de renseignement et SATELLITE FDLR RUD Cdt des OPS du GEN.MUSARE qui était à Mwekwe/Batangi. Ces officiers sont dans le camp des Hutu de KYUTO dépuis mercredi 29 et jeudi 30 mars 2016 pour eventuellement planifier les attaques. Cette situation vient de conduire les habitants des localites precites sur le chemin de l'exode. Le danger est imminent et le pire a eviter.

Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme s’inquiète des violences intercommunautaires entre les Nande, et les Hutu, signalées ces derniers jours au Nord-Kivu. Dans un communiqué publié lundi 8 février. Depuis quatre décennies, l’est de la République démocratique du Congo (RDC) subit des conflits ethniques récurrents. Contrairement à ceux des provinces du Sud-Kivu et de l’Ituri, ces conflits au Nord-Kivu, remontant au début des années 1960, présentent une double dimension, à la fois inter et intra-ethnique. Ils ont pris de l’ampleur avec le déclenchement de la "guerre kanyarwanda  [1] [1] Adjectif à préfixe formé sur la racine désignant la..." à partir de 1963, qui a opposé durant plus de deux ans les Banyarwanda aux Nande, Hunde et Nyanga, suite au mouvement autonomiste ayant abouti à la création en 1962 de 21 "provincettes  [2] [2] Afrique contemporaine 1997, p. 69." dans l’ancien Congo belge, jusqu’à l’arrivée de Mobutu au pouvoir en novembr...

NORD-KIVU KANYABAYONGA : KIDNAPPING DE 4 ENFANTS BERGERS. D' après une sources dela société civile de Butembo ville, 3 bandits porteurs d'une arme a feu ont surpris ces jeunes garçons qui bergeaient une vingtaine de chevres au reboisement de l' Institut. Visogho sur le croisement du chemin qui mene vers Miriki et Kahando, la soirée de ce dimanche 3 Avril 2016. Leurs âge varie entre 12 et 15 ans ; 3 d'entre eux sont au secondaire et l'autre au primaire. Parmi ces enfants il y a KASEREKA NZUMANGI RACHID fils de PALUKU MBWETE JEROME, élè à l'Institut Furaha de Kanyabayonga en 2ème CO et un certain OSEE fils de LUBEMBE. Jusqu'a présent ce kidnapping n'est encore revendique par personne.

En République démocratique du Congo (RDC), une nouvelle prise d’otage a eu lieu dans le Rutshuru, territoire de l’est du Nord-Kivu. Cette semaine encore, neuf personnes ont disparu, capturées par des hommes armés alors qu'elles voyageaient en bus, en provenance de Goma. Elles ont été conduites en brousse et depuis, plus de nouvelles. La société civile demande aux militaires de trouver une solution à ce problème, à ces enlèvements à répétition et demandes de rançons qui enrichissent les groupes rebelles. La société civile fait les comptes. Six cents personnes environ ont été kidnappées sur la route qui mène de Goma à Butembo. A chaque fois, c’est le même scénario. Deux bus avec des passagers sont engagés sur la nationale 4. Aux environs de midi trente (heure locale) le convoi arrive au village Busendo, entre la station de la Rwindi et le pont Mabenga, en territoire de Rutshuru. C’est alors que des hommes en armes surgissent de la forêt et obligent les conducteurs des véhicules à s...

Jean Paul Paluku Ngahangondi le président, nationale d' une ONG connue sous le nom de Convention pour le réspect des droits del' homme en sigle la CRDH alerte sur le Deployement des éléments UPDF( armée Ougandaise) au frontière Ougando- Congolaise vers Kikura depuis le soir de ce Samedi 02/04/2016. Selon nos sources,ils sont lourdement armés et très nombreux. La population craint que ceux-ci travercent cette nuit la frontière Congolaise pour créer les troubles dans le Territoire de Beni. Large diffusion et vigilance. Mais aussi que l'Etat Congolais prenne des dispositions par rapport à ça.

La nouvelle guerre d’ agression contre la RDC sera-t-elle mise en échec ? Une nouvelle guerre menace l’Est du Congo. Le Président Rwandais Paul Kagame a tourné le dos à l’accord de collaboration avec la RDC conclu début 2009 et il a préparé uneguerreaux Kivus. Une guerre qui doit empêcher le progrès et la reconstruction de laRDC. La mobilisation du peuple congolais pourra-t-elle défendre l’unité du pays, éviter une nouvelle guerre d’agression et ouvrir la voie à la paix et à la reconstruction ? La publication du fameux addendum au rapport des experts de l’ONU sur l’implication du gouvernement Rwandais dans la préparation et l’organisation de la mutinerie M23 est une victoire importante de la diplomatie congolaise. Les preuves sont accablantes. [i]Officiellement, toutes les puissances occidentales ont condamnés du bout des lèvres l’appui du Rwanda à la mutinerie de l’armée Congolaise. Or au lieu de prendre des mesurescontrele Rwanda, l’on se limite à demander des négociations entre l...