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Sept civils ont été tués de nouveau dans une attaque meurtrière des rebelles étrangers dans la région de Beni, situé, dans la partie Nord dela province du Nord-Kivu, vers l'Est dela République Démocrtique du Cong : l'éffet s'est passé dans la nuit du mercredi à jeudi 22 septembre 2016, dans une attaque attribuée aux rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) dans la région de Beni, dans l'est de la République démocratique du Congo, a-t-on appris auprès de l'armée. La province du Nord-Kivu, comme l'ensemble de l'est congolais, est déchirée par des conflits armés depuis plus de vingt ans. Ces conflits sont alimentés par des différends ethniques et fonciers, la concurrence pour le contrôle des ressources minières et des rivalités entre puissances régionales. "Les ADF ont tué sept personnes et brûlé des maisons" à Kasinga, un quartier périphérique de Beni, a déclaré à l'AFP le lieutenant Mak Hazukay, porte-parole de l'armée dans cette région de la province du Nord-Kivu. En plus des sept morts, "15 maisons ont été incendiées et 5 personnes sont portée disparues", a précisé Gilbert Kambale, responsable de la société civile de Beni. Selon le lieutenant Hazukay, joint de Goma, la capitale du Nord-Kivu, les combats se poursuivaient jeudi entre l'armée et les ADF dans la région de Beni. Depuis octobre 2014, la ville et le territoire de Beni sont le théâtre d'une série de massacres ayant causé la mort de plus de 700 personnes, selon l'ONU. Ces tueries sont majoritairement imputés aux ADF. Le dernier massacre d'envergure remonte à la mi-août où, selon l'ONU, "au moins cinquante civils" avaient été tués en une nuit. Opposés au président ougandais Yoweri Museveni, les ADF sont présents dans l'est de la RDC depuis 1995.

A qui profitent vraiment les tueries de Beni ville et térritoire ? Depuis plus deux ans, à nos jours, les massacres des civils se succèdent dans la région de Beni, à l'est de la République démocratique du Congo, voisine de l'Ouganda. Régulièrement, la population est frappée par des tueries à l'arme blanche, jamais revendiquées, et qui ont déjà provoqué la mort de plusieurs centaines de personnes, selon l'ONU. Les attaques de miliciens sont devenues, la norme dans la région. Traversée par plus de vingt ans de conflits et de guerres, la République démocratique du Congo (RDC) reste un pays où l’état de droit est inexistant. Les milices gangrènent la région du Nord-Kivu. Elles sont si nombreuses qu’il est difficile de toutes les compteret d’en retenir les acronymes : Elles seraient cent cinquante à piller le sol de cette terre de volcans et de lacs qui regorge de richesses minières : or, diamant et coltan. Des richesses payées au prix fort par les civils, victimes de la co...

Revenir le plus vite possible pour frôler des massacres en cours dans la région de Beni, où on signale de plus en plus, d'incursions succèssive ce dernier années jusqu'aujourd' hui, dans beaucoup d'aglomérations, et des villages dans le térritoire de Beni, situé, dans la partie Nord du Nord-Kivu, àl'Est dela République Démocrtique du Congo : Face à cette situation à répétion dans le coin du pay, la société civile démande encore un fois de plus aux autorités politico-millitaire de bien sécurisér, les habitants civile dela région, en proie d'insécurité, dépuis des années : « La population de Beni lutte pour survivre mais sa lutte est récompensée par des coups de machette… » Depuis deux ans, les habitants du Nord-Kivu sont devenus des moutons d’abattoir sur les routes, dans les champs et dans leurs propres maisons…et cela au vu et au su des responsables politiques et des forces de la Monusco qui sont sensés protéger la population et ses biens. Pour illustrer cela, je vous rapporte l’horreur du 13 Août 2016 que j’ai vécue et à laquelle j’ai échappé, pas puisque ma vie a plus de valeur que celle de mes compagnons de route et de mes voisins qui ont succombé aux coups des machettes, mais peut-être juste pour crier au secours, au nom des victimes de ce génocide organisé dans la région du Nord-Kivu, afin que leurs vies arrêtées subitement ne tombent pas dans l’oubli et pour que les éventuelles prochaines victimes échappent à ce projet maléfique des assoiffés du sang humain. Cela ne sera possible que si chacun, de loin ou de près, prend conscience de la dignité de la commune condition humaine que nous partageons tous et agit en conséquence. Sélon un jeune garçon qui précise que il at, trouvé de la bonne compagnie des hommes et des femmes qui se rendaient aux champs comme moi et nous avons fait route ensemble en discutant justement de cette situation de peur qui s’installe et du risque que nous courrons en allant dans nos champs. Nous nous sommes séparés les uns après les autres au fur et à mesure que chacun rejoignait son champ. Je me suis hâté de récolter juste ce qu’il nous fallait pour 3 jours dans le but de rejoindre mes enfants avant la tombée de la nuit, heure redoutable, heure où rugissent les hommes lions, assoiffés de voir couler le sang. Il était environ 16h00 quand je commençais la marche, manioc au dos, bâton à la main. Comme pour l’allée, j’ai eu de la compagnie des hommes et femmes qui revenaient de leurs champs comme moi, pas forcément les mêmes. Tout à coup, environ 30 minutes avant d’arriver dans mon quartier, nous voyons des hommes en tenue militaire qui se mettent à interpeller les passants. Voici ce qu’ils nous ont dit : « Ne prenez pas ce chemin là, il est très dangereux. Passez plutôt par celui-ci, vous ne risquez rien ». Naïfs que nous étions, nous nous étonnions de la « bonté » de ces hommes en tenue militaire. Nous avons obéi, ignorant évidemment que c’était une bonté déguisée. Ayant avancé plus loin, nous sommes tombés dans une embuscade : des hommes, des femmes et des enfants revenant des champs qui étaient là, arrêtés comme nous, déchargés de leurs fardeaux, pas pour un petit temps de repos qui leur ferait du bien, mais pour mourir… mourir à la machette… J’ai vu deux trois des assassins les pulvériser d’un produit. Et subitement, ils tombaient l’un après l’autre, immobiles mais conscients. C’était tellement inattendu et rapide que c’est difficile de décrire cette cène horrible. Je garde encore en mémoire le regard cynique et sadique de ces hommes aux machettes et le regard désespéré de ces victimes, incapables de se sauver de cette jungle. Leurs cris résonnent encore dans mes oreilles comme si cela se passait à l’instant même.

Une accalmie relative tendait à refonder l’espoir du retour prochain d’une atmosphère ordinaire et vivable. Mais on s’aperçoit vite que tout cela n’est qu’encore un trompe l’œil. Pour une énième fois, le samedi 17 septembre, les assaillants égorgeurs se sont confirmés dans leur barbarie toujours tragique à Kididiwe, localité située à environ 10 kilomètres seulement au nord-est de la ville de Beni. Ayant progressé par Vemba et Kipeyayo, deux autres localités de la même région, les tueurs se sont introduits à Kididiwe pour s’en prendre au camp des FARDC où se concentraient les agriculteurs du milieu qui y recherchaient protection. Le bilan de cette attaque surprise est de : – 3 morts – 3 blessés – de nombreux soldats grièvement blessés – 5 motos brûlées – au moins 45 maisons des paysans incendiées ainsi que le camp des FARDC détruit. Les assaillants ont pu s’emparer du contrôle de cette localité pendant deux jours (de samedi à dimanche). Il est urgent de noter que la confusion d...

ATTAQUE MEURTRIÈRE DE KIDIDIWE, MALOLU ET VEMBA ÀLA PÉRIPHERIQUE DU CONTÉ EST DE BENI VILLE : le coordonateur de l'ong CEPADHO parle d'une rebellion en gestation dans cette partie du nord-kivu, mr omar kavota mentionne qu'il s'agit d'une milice qui serait entrain pour le moment d'opérer au nom des ADF pour tromper la vigilance de l'armée congolaise, dans une conference de presse tenue ce mardi à beni, il alerte l'opinion nationale et internationale de prendre cette question au sérieux. !

Oui, un moment, quand on n’en peut plus, on court le risque de sombrer dans le découragement. Pourtant, le découragement est l’un de plus grands dangers dans la lutte pour la paix, le droit, la justice, le développement…Allons-nous nous laisser abattre ? En tout cas, pas moi. Je vais me battre jusqu’au bout, vu ce à quoi j’ai échappé. Si j’ose raconter aujourd’hui, c’est pour témoigner devant tous que la population de Beni-Lubero vit l’horreur et que son avenir tient à un bout de tison. Cette alerte est plus que jamais urgente. Grâce à la mobilisation de tous, le salut de cette population est encore possible si nous agissons vite et ensemble, chacun à son niveau. « La population de Beni lutte pour survivre mais sa lutte est récompensée par des coups de machette… » Depuis deux ans, les habitants du Nord-Kivu sont devenus des moutons d’abattoir sur les routes, dans les champs et dans leurs propres maisons…et cela au vu et au su des responsables politiques et des forces de la Monusco qu...

Siège d'un parti politique connu sous le nom de l'UDPS aussi a été incendié à Kinshasa, la capital dela République démocratique du Congo : selon une source del'AFP, vers une longue attente des morts-vivant. Allongé par terre, l'homme semble mort mais il esquisse un geste de la main comme pour demander à boire. Pris au piège de l'incendie criminel ayant visé le siège de l'UDPS, premier parti de l'opposition congolaise, à Kinshasa, il ne devra son secours qu'aux Nations unies. !

En République démocratique du Congo (RDC), un angoissant compte à rebours est enclenché, menaçant de replonger le géant d’Afrique centrale dans une nouvelle période d’instabilité. Ces inquiétudes se fondent sur deux inconnues : quand aura lieu l’élection présidentielle, prévue théoriquement le 27 novembre mais dont le report est d’ores et déjà acquis ? Que fera Joseph Kabila, le chef de l’Etat, le 19 décembre au soir, lorsque son second et dernier mandat aura officiellement expiré ? Les manifestations lancées à l’appel des principaux partis d’opposition qui n’entendent offrir aucun délai supplémentaire au président sortant démontrent que la rue congolaise demeure hautement inflammable. Organisées dans plusieurs villes du pays, lundi 19 septembre, date à laquelle aurait dû être convoqué le corps électoral, elles se sont soldées dans la capitale par des violences meurtrières. Rassemblés derrière le slogan sans équivoque « Kabila dégage ! », les manifestants n’ont pas tardé à se confront...

En République Démocratique du Congo, nouvelles violences meurtrières à Kinshasa, plusieurs sièges de partis d'opposition incendiées. Plusieurs personnes ont été tuées mardi dans de nouvelles violences à Kinshasa, où trois sièges de partis d'opposition ont été incendiés dans la nuit après les affrontements mortels de lundi en marge d'une manifestation réclamant la tenue d'une présidentielle d'ici la fin du mandat du président Kabila en décembre. Vers 08h45 (07h45 GMT), le siège de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), premier parti de l'opposition à l'Assemblée nationale de la République démocratique du Congo (RDC), brûlait vivement, selon des journalistes de l'AFP. !

- Enquête onusienne - Présent mardi au siège de l'UDPS pour une "enquête" sur les violences, le chef du Bureau conjoint des Nations unies pour les droits de l'Homme en RDC (BCNUDH), José-Maria Aranaz, a déclaré à l'AFP que son organisation cherchait à "voir ce qu'on peut faire pour avoir un climat apaisé, réduire la tension politique et amener ceux qui sont responsables (...) des morts (devant) la justice". Lundi soir, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, avait exhorté toutes les parties "à s'abstenir de tout autre acte de violence susceptible d'aggraver la situation". Mardi matin, les journalistes de l'AFP ont entendu à plusieurs reprises dans le lointain des détonations de tirs de grenades lacrymogènes et d'armes à feu. Dans un message envoyé par email à la communauté belge vers 10h00 (09h00 GMT), l'ambassade de Belgique a Kinshasa a fait part d'"échauffourées" en cours "en divers end...

Journée de violence à Kinshasa la capital dela République Démocrtique du Congo : 17 à 50 morts selon les bilans. Les affrontements ont fait 50 morts ce lundi à Kinshasa. Kinshasa a renoué lundi avec ses vieux démons des violences à caractère politique au cours d'une journée meurtrière dont l'opposition entend faire le coup d'envoi d'un compte à rebours jusqu'au départ du président Joseph Kabila à l'issue de son mandat, le 20 décembre. !

Les bilans des heurts dans la capitale de la République démocratique du Congo apparaissent irréconciliables : 17 morts pour le pouvoir contre plus de 50 pour le "Rassemblement" de l'opposition qui avait appelé à manifester dans tout le pays pour signifier à M. Kabila son "préavis" et exiger la convocation de la présidentielle dans les temps. Selon la Constitution, mardi est la date limite pour convier les électeurs aux urnes pour ce scrutin censé avoir lieu cette année. Pouvoir et opposition se sont renvoyé la responsabilité des violences, comme en janvier 2015, lorsque des émeutes ont totalement échappé au contrôle des deux camps après la répression violente de manifestation anti-Kabila dans la capitale. On avait alors dénombré plusieurs dizaines de personnes tuées en trois jours. "La ville de Kinshasa vient de faire face à un mouvement insurrectionnel qui s'est soldé par un échec", a affirmé à la presse le ministre de l'Intérieur, Évarist...

Twitter assouplit la règle des 140 caractères Innovation - High Tech. !

Twitter a assoupli lundi sa règle d'or limitant les tweets à 140 caractères dans l'espoir d'élargir son audience et de revigorer une croissance en panne, mais sans convaincre les analystes. Véritable marque de fabrique du groupe, la restriction de la taille des messages restera en vigueur mais les photos et autres vidéos ne seront désormais plus intégrées dans le décompte des caractères. "Dites-en plus avec vos 140 caractères ! Photos, vidéos, GIFs, questions et citations ne sont plus comptés", a claironné le groupe dans un tweet. Twitter avait annoncé cette nouvelle orientation en mai afin de permettre à ses quelque 310 millions d'utilisateurs de continuer à ajouter des éléments visuels même quand le fatidique seuil de 140 caractères est atteint. Le groupe de San Francisco avait même envisagé de supprimer purement et simplement cette restriction mais il avait dû reculer face à la levée de bouclier des utilisateurs historiques du réseau, attachés à la conc...

Deux policiers tués à Kinshasa, la capital dela République Démocratique du Congo, lors d'un manifestation, des acteurs politique del'opposition qui a été annulée, par les autorités nationaux, selon AFP, après avoir été dispersés, par la police à gaz lacrymogène, dans l'avant du lundi 19 septembre 2016 ! Des policiers sur l'avenue Landu le 7/12/2011 dans la commune de Bumbu à Kinshasa, après la dispersion des manifestants. Deux policiers ont été tués lundi à Kinshasa dans des violences survenues avant une manifestation d'opposition hostile au président congolais Joseph Kabila et ayant poussé les autorité à annuler ce rassemblement, a-t-on appris de source officielle. "Deux policiers ont été tués" dans l'attaque d'une permanence du parti présidentiel à Limete (centre-ouest de la capitale de la République démocratique du Congo), a déclaré à l'AFP Lambert Mende, porte-parole du gouvernement congolais. A la suite de ces violences, "on a annulé la manifestation", a-t-il ajouté. Une religieuse catholique a déclaré à l'AFP avoir vu "brûler vif" un policier commis à la garde de cette permanence politique.

L'opposition chassée de la rue à Kinshasa ! Faisant état de plusieurs pillages ou incendies criminels visant des cibles politiques, M. Mende a accusé l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le principal parti de l'opposition, d'être à l'origine de ces violences. La police de la République démocratique du Congo a fait lundi matin usage de grenades lacrymogènes pour disperser plusieurs jeunes de l’opposition qui manifestaient dans les rues de Kinshasa en lançant des pierres aux forces de l’ordre, a-t-on constaté sur place. Les jeunes qui cherchaient à se rendre au Palais du peuple, le Parlement, ont été devancés plus tôt dans ce cycle de violences par d’autres manifestants. "Il y a eu des pillages ciblés", a déclaré M. Mende, "il y a des gens qui se sont préparés pour faire tout ce désordre". "Ils ont trompé le gouverneur" de Kinshasa sur le caractère pacifique de leur manifestation, a ajouté M. Mende, pour justifier l...

Étienne Tshisekedi : Loin à notre peuple d'ignorer ton activisme politique en RDC depuis les années 60 jusqu'à ce jour. Brièvement, ta vie politique a toujours été mouvementée, agitée et accompagnée de grave violence verbale et physique parfois suivie des morts innocentes. Etienne Tshisekedi, tu n'as jamais été politiquement loyal et fidèle mais tu t'es toujours distingué par tes caprices d'enfant gâteux ainsi que ta volonté de dominer et diriger sur tes amis. Tu es un assoiffé du pouvoir et prêt à te trahir y compris tes amis politiques à cause de l'argent. Etienne Tshisekedi,tu as trahi notre peuple et pays, tu as trahi Lumumba, tu as trahi ton proche ami Mobutu car tu es un traitre heureux. Mais étant des bantous, la malédiction de ta traitrise te poursuit jusqu'à ce jour et à chaque fois que tu crois atteindre ton objectif en ignorant que le salaire d'un traitre heureux c'est la malédiction à vie. !

Entendons nous bien et soyons logiques et consequents Il y a eu un protocole signé et rendu public entre le Rassemblement et l'hôtel de ville de Kinshasa d'après lequel, entre autres choses, LA MARCHE EST PACIFIQUE ET QU'AUCUNE DES PARTIES NE DOIT AGRESSER ET PROVOQUER L'AUTRE SOUS PEINE D'EN PORTER LA RESPONSABILITÉ.Les militants de l'UDPS et du Rassemblement empêchent aux gens de se livrer à leurs occupations quotiennes, projettent de brûler les stations de vente des carburants et lubrifiants, barricardent les routes en divers points de la capitale. Qui a commencê la provocation ? La marche n'est-elle donc pas UN PRÉTEXTE pour essayer d renverser le pouvoir et semer le chaos en RDC. Déjà sur le blvard Lumumba à Limete, on a brûlé des véhicules et agressé ceux qui sortaient pour se livrer à leurs occupations... DOIT-ON DORÉNAVANT EMPÊCHER TOUTE MARCHE DU GENRE POUR ÉVITER LE PIRE AU PAYS ? Etienne Tshisekedi, tu es devenu le patron de l'Etat Islamique...

Les armes légère des certains millitaires Fardc basés dans la partie Est d'Oicha ont chantés de nouveau, hymne des paniques au sein des habitants civils qui ont abandonnés leurs habatations craignant leurs vie en danger, puisque beaucoup d'entre eux croyaient que, peut être c'est les rébélles des Adf seraient entrés déja, à Oicha comme ils sont l'abitude de faire plusieurs incursions succèssive ce dernier jours, vers le chef lieu du térritoire de Beni, et d'autres aglomérations du térritoire de Beni, la cible des attaques meurtrière contre la population victimes de grave éxactions dela part du même rébélles Adf-Nalu. Au dernier nouvel sur la cause la cause des cous des armes légère à Oicha, des sources locale afirment que, c'était un millitaire Fardc indispliné en état hivresse qui a tiré quelques cous des balles àl'aire sans le savoir selon l'incrinimé millitaire interrogé par les journalistes de quelques chaînes dela Radio locale. !

Une accalmie timide s'observe à Oicha chef lieu du térritoire de Beni, situé dans la parie Nord dela province du Nord-Kivu, vers l'Est dela République Démocratique du Congo : Aujourd' hui, tôt le matin de ce lundi, 19 septembre del'année en cours, à Oicha, dans les avenues des Quartiers Pakanza, Mabasele, Bakaiku, Masosi, Oicha 1, on constante, un nombre important des personnes qui ont rentrés chez eux, dans leurs domicile qu'ils ont abandonnés suite à un déplacement massif dela population qui ont peur d'être victimes des massacres en cours dans la région de Beni, où plus de 1200 civils ont été tués, par ce même groupe des rébélles étrangers, présent dépuis des années, dans cet coin du térritoire de Beni ! Pour le moment, chaqun va à ses occupations, après une panique générale au sein des habitants civils dans la soirée du dimanche 18 septembre 2016 ! Mais dans la partie Est d'Oicha, on voit toujours l' image dela sortie dela guerre ce dernier temp ! D...