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Un cas de vol à main armée a été signalé dans la nuit du dimanche au lundi 24 octobre 2016, à Kithevya, chez un habitant de cette localité situé àl'Ouest d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, au Nord-Kivu, àl'Est dela République Démocratique du Congo, selon la Radio Moto Oicha dans son édition du journale de 12heures locale, pendant la journée d'aujourd' hui lundi :

Le jour de cette attaque contre les habitants de Kithevya, tout a commencé à 20 heures après plusieurs alertes de la population avant l'incident. Bilan: 2 personnes tuées, 8 maisons et 3 motos brulées, 5 personnes gravements blessées par balles et machettes, plusieurs biens de la population emportés par les assaillants. Il siède de signaler que ce bilan reste encore provisoir. Pour l'heure, ces groupes des bandits armés courent encore dans la nature ! La fois passé, les rébélles des Adf-Nalu ont investi cet village, en tuant deux civils, sur place, des biens des habitants emportés, et quelques maisons d'habitation on été incendiées par les inciviques, qui déviennent les maîtres des malheurs contre la population dela région de Beni où, plus de 700 personnes sont tués sauvagement les deux dernière années, dépuis le début d'octobre 2014, à nos jours. Une nouvelle incursion des présumés rebelles ougandais des ADF a été perpétrée dans les villages de Kithevya et Makulu, da...

Miliciens Maï Maï toujours en circulation dans la province du Nord-Kivu où on enrégistre des massacres, vols, icendies, et autre crimes grave contre la population civils qui vive dans des craintes pour cause dela présence des plusieurs groupes armés qui continu à les térrorisé de plus ce dernière années passé, dans cette partie Est dela République Démocratique du Congo, en proie d'insécurité grandissante.

La présence en nombre éloquant des jeunes Maï Maï est signalé au sud du térritoire de Lubero ce lundi 24 octobre 2016, à la côte ouest du Lac Edouard dans nos villages des KATOLO et MIRINGATE... que c'est qui se passe ? C'est pour nous ou contre nous... La fois passé, face àla situation d'insécurité grandissante en cours dans cette partie du Nord-Kivu, le Comité des pêcheurs de Vitshumbi, à plus de 100 km de Goma, a demandé, il y a quelques années passé, au commandant de la 8è région militaire àl'époque, de déloger les Patriotes résistants Maï-Maï qui perturbent les activités de ses membres sur le lac Edouard. Cette structure accuse ces miliciens d’avoir ouvert des positions à Kibahari, Birwa, Chondo et Kabale, le long de la côte est du lac Edouard, où ils imposent même des taxes aux pêcheurs. Le président du Comité de pêcheurs de Vutshumbi, Josué Mukura, pendant la période, accusé ces Maï-Maï de déranger plus de quatre cents pêcheurs, affiliés à sa coopérative. «Nou...

Gouverneur dela province du Nord-Kivu il n'est pas d'accord avec la création d' une nouvel milice Maï Maï sous forme d' une rébéllion dans la Ville de Butembo, et Beni : C'est dans un message posté sur son compte twitter du 20 octobre 2016 que, l'autorité provincial lors de son passage en Ville de Butembo ! Pendant ce temp, à Butembo : La Cour Militaire Opérationnelle enquête sur les auteurs et les dégâts produits par la roquette du 15 octobre ! Cette enquête concerne précisément la mort de deux enseignants et deux élèves et la blessure de 12 autres élèves, tous du complexe scolaire MWAMBA. C’était le samedi 15 Octobre 2016. Une équipe de cette Cour a amorcé ces enquêtes vendredi 21 octobre 2016 pour« constater les dégâts, connaître les acteurs et circonstances qui ont fait que ladite école, ses élèves et enseignants soient victimes des éclats d’une roquette lancée par des éléments FARDC ce jour là ». Cette mission est conduite par le lieutenant colonel Magistrat KUMBU-NGOMA, substitut de l’auditeur supérieur opérationnel. Dans un entretien avec Radio Moto Butembo-Beni vendredi 21 octobre après avoir constaté les dégâts au Complexe Scolaire MWAMBA, le lieutenant colonel KUMBU-NGOMA a affirmé qu’un élément FARDC est aux arrêts pour suspicion dans le mauvais jet de cette roquette. « Pendant 3 jours, à dater de ce vendredi, notre devoir consiste à auditionner les responsables du complexe scolaire MWAMBA, les victimes directes de cette situation, les autorités militaires et politico-administratives de Butembo »,a circonscrit le lieutenant colonel KUMBU-NGOMA. Les traces du crime Pendant ce temps, les cours n’ont toujours pas repris au Complexe Scolaire MWAMBA. Parmi les préjudices causés à cette école, Radio Moto Butembo-Beni a constaté la destruction de l’immeuble scolaire, de ses équipements comme tableau, bancs et autres. Partout là, des traces de sang sont encore visibles. Des habitants qui ont aperçu des enquêteurs au Complexe Scolaire MWAMBA espèrent au jugement et à la condamnation des auteurs de ce drame. Cette école en détresse est située en cellule Matenge du quartier Mutiri en commune Bulengera.

JULIEN PALUKU @ julienpalukucom20 octobre 2016. La Fec, les Églises, la Societe civile & jeunesse de butembo tous engagés contre la renaissance des mouvements Maï Maï pic.twitter.com /5wKdKh1DGq Il n’ya que les Fardc et la Monusco qui ont la capacité d’éradiquer le terrorisme à Beni, selon Julien Paluku. Le Gouverneur Julien Paluku, au terme des deux jours d’une campagne de sensibilisationsur les enjeux sécuritaires dans la ville de Beni, a assuré ce jeudi 20 octobre « qu’il n’y a que les Forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc) et les casques bleus de Mission onusienne pour la stabilisation de la RDC (Monusco) que nous avons pour nous aider à éradiquer le terrorisme qui gangrène la région de Beni ». L’autorité provinciale qui, deux jours, a attentivement écouté différentes couches sociopolitiquesde la ville de Beni, s’est employée à décourager la communauté contre la philosophie selon les tatouages de jeunes appuyés par des amulettes et des gris-gris fétic...

Après la fin du Dialogue politique en République Démocratique du Congo, l'heure est àla course à la Primature : l’opposition réclame une structure de coordination ! Depuis la fin du dialogue, plusieurs plateformes politiques de l’opposition multiplient des rencontres nocturnes pour la formation de ce nouveau gouvernement.

Certains noms se signalent dorénavant parmi les vertébraux. Tous les moyens sont bons et des coups fourrés pour la bataille, même les plus inimaginables, sont permis pour arriver à ses fins. Dans cette conquête, on peut être sûr d’une chose : c’est qu’on ne se fera aucun cadeau. L’accord politique conclu le mardi 18 octobre dernier à la Cité de l'Union africaine (UA) après plus d'un mois d'intenses transactions entre acteurs politiques de la Majorité présidentielle (MP), de l'Opposition politique et ceux de la Société civile, donne la responsabilité de diriger le gouvernement de transition à l'opposition. Selon le point C de l'article 17, il sera procédé, dans les 21 jours après la signature dudit accord, à la formation d'un nouveau gouvernement d'union nationale qui sera dirigé par un Premier ministre issu de l'opposition politique signataire de ce document. Cela suppose qu'avant 21 jours, les représentants de l'opposition devront se mettre...

Un camp des combattants Maï Maï démantelé et détruit par les vaillantes FARDC à Kabasha à 12km au sud de Beni, dans les combats de deux jours qui a commencé le jeudi dernier 20 octobre 2016. La perte serait énorme dans le rang des miliciens selon Mac Azukay, le porte parole d'opération Sukula 1 dans la région de Beni. Selon la même source, 12 combattants Maï-Maï abattus aux escarmouches diurnes du jeudi 20 octobre 2016, en profondeur de Kabasha à 12 Km Sud de Beni vers Butembo. 11 corps ont été nuitamment évacués par un véhicule Kamaz militaire, le 12 ème corps traine encore là à Kabasha. Visiblement c'est un groupe religieux politico-militaire car les 4 drapeaux y trouvés parlent mieux clairs... La fouille continue suivant des traces de sang. Tandis-que les fardc n'ont encaissé qu'un seul cas de blessure d'un homme de troupe, donc son état est hors de danger. Ces 11 premiers corps ont été déposés à la chambre mortuaire de l'HGR de et à Beni. ( correspondant occasionnel de HMM Habari Motomoto à Beni ). Mais selon l'ASADHO, une ONG de défence des droits del'homme agence de Beni-Ville, qui précise que, les victimes de dernier combats à Kabasha, sont des habitants civile et, c'est ne sont pas des Maï Maï ! Selon la même source, les membres de cette srticture accusent les millitaires Fardc, de massacrés les gens de Kabasha, une localité situé dans la partie Sud-Ouest du térritoire de Beni vers l'Est dela République Démécanique du Congo, dans la province du Nord-Kivu : Les Mai-mai se battent contre les FARDC venus ravitailler les égorgeurs. Les occasions exposant la complicité de l’armée gouvernementale congolaise en faveur des tueurs génocidaires de Beni ne font que se multiplier. Le paradoxe le plus scandaleux, l’ironie des faits, c’est que les forces publiques sensées assurer la défense de l’Etat et ses patrimoine, du peuple et ses biens, sont devenues le plus grand ennemi des cibles de leur protection. C’est le renversement incompréhensible de la réalité : il faut protéger l’ennemi de la population et l’aider à causer le plus de dégâts possibles parmi les innocents civils sans défense. Les patriotes Mai-mai, après une période relativement trop longue de patience due à la confiance qu’un peuple doit à l’Etat et à ses dirigeants, viennent de comprendre finalement que la Nation est trahi, et que le peuple Nande est sacrifié à l’extermination. Ainsi, se sont-ils levés avec détermination pour effacer cette page noire qui s’inscrit depuis deux ans d’affilé dans l’histoire de Beni-Lubero. Ces « héros » de l’auto-défense populairesont en train d’identifier avec précision les lieux du retranchement des égorgeurs, à partir du 15 octobre 2016, jour de la sortie officielle desdits patriotes contre les forces du mal qui déciment leurs frères et sœurs à Beni. C’est dans le domaine privé du président Joseph Kabila de Kabasha, c’est-à-dire dans la ferme qu’il a acheté auprès de CAPACO (Monsieur NGEZAYO) que les Mai-mai ont identifié une des plus grands foyers des égorgeurs de Beni.

Aussi, ce 20 octobre 2016, se sont-ils lancés à leur trousse, prenant en cible les différents campements de ces inciviques dans cette ferme. Cette opération a conduit les patriotes Mai-mai à investir tout le village de Kabasha (environ 5 km de la ville de Beni) où des fouilles systématiques ont été engagées pour ne point donner la chance d’évasion à l’ennemi. Cependant, grand sera l’étonnement à la fois de la population locale et des patriotes en constatant, dans la mi-journée, l’arrivée des troupes FARDC garnies jusqu’aux dents, non pas en renfort à la traque des égorgeurs, mais plutôt en aide à ces derniers par une fourniture impressionnante d’armes et munitions. Ce ravitaillement a été effectué publiquement. Et, comme si cela en soi n’était encore que peu, les FARDC ont dû amorcer eux-mêmes une attaque musclée contre les patriotes pour permettre aux égorgeurs de rehausser à nouveau la tête et de se redresser. Le bilan provisoire fait état de trois FARDC et six Mai-mai tués avec des...

L'ACCORD ISSU DU DIALOGUE NATIONAL INCLUSIF EN RDCONGO ! Fini le Dialogue en RDC : l’Accord comple REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO ACCORD POLITIQUE POUR L’ORGANISATION D’ELECTIONS APAISEES, CREDIBLES ET TRANSPARENTES EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO Octobre 2016 Sommaire Préambule Chapitre I : Du Fichier électoral Chapitre II : De la Séquence des élections Chapitre III : Du Calendrier électoral Chapitre IV : Des Mesures d’équité et de transparence du processus électoral Chapitre V : De la Sécurisation du processus électoral Chapitre VI : De la Sécurisation des personnes Chapitre VII : Du Budget et financement des élections Chapitre VIII : Du Code de bonne conduite lors des élections Chapitre IX : Des Institutions de la République Chapitre X : Des Mesures de confiance Chapitre XI : De la Mise en œuvre de l’Accord et son suivi Chapitre XII : Des Dispositions finales Préambule Nous, Délégués des forces politiques et sociales de la République Démocratique du Congo, représentants de la Majorité Présidentielle,de l’Opposition politique et de la Société Civile, ainsi que de Personnalités congolaises (ci-après Parties), réunis dans le cadre du dialogue politique national et inclusif, pour traiter de la problématique de l’organisation des élections apaisées, crédibles et transparentes, conformément aux principes énoncés dans la Constitution ; Nous fondant sur la Constitution de la République Démocratique du Congo du 18 février 2006, telle que modifiée à ce jour, la Résolution 2277 (2016) du Conseil de Sécurité des Nations Unies du 30 mars 2016 et les autres instruments juridiques et normatifs nationaux et internationaux pertinents ; Nous engageant à respecter la Constitution dans son intégralité ; Ayant constaté la nécessité d’un Dialogue Politique National et Inclusif depuis quelques années, et en vue d’améliorer le processus électoral, de régler les contradictions en résultant et de prévenir les crises politiques pouvant en découler ; Engagés à promouvoir le dialogue et la résolution pacifique des différends politiques dans un esprit de compromis, tout en accordant la primauté à l’intérêt national bien compris ; Déterminés à renforcer l’Etat de droit par le respect des valeurs de la démocratie, notamment la tolérance, la solidarité, le compromis, l’égalité, les libertés publiques individuelles et collectives, l’équité, les élections libres publiques et pluralistes, la séparation des pouvoirs, le respect des institutions, le respect de l’Etat de droit, l’indépendance du pouvoir judiciaire, le respect des décisions de justice, la soumission aux lois et règlements, la redevabilité, la bonne gouvernance et l’alternance démocratique résultant des élections ; Guidés par le consensus comme mode de prise de décision et par la Feuille de route du Dialogue politique national inclusif adoptée le 23 août 2016, telle qu’amandée par la Plénière du dialogue le 5 septembre 2016 ; Prenant à témoin SEM Edem KODJO, Facilitateur désigné par l’Union Africaine (UA) ; Considérant l’Ordonnance n°15/084 du 28 novembre 2015 du Président de la République portant convocation du Dialogue Politique National Inclusif ; Conscients de nos responsabilitésdevant Dieu, la Nation, l’Afrique et le monde, convenons de ce qui suit :

Article 1er : Dans le souci d’assurer l’inclusivité et la crédibilité du processus électoral, de garantir l’universalité des suffrages et conscients des insuffisances et de l’obsolescence du Fichier de 2011, nonobstant une réforme effectuée en 2015 ; prenant acte des avis techniques de la Commission Electorale Nationale Indépendance (CENI), complétés par les rapports d’experts notamment de l’ONU, de l’OIF et nationaux, nous convenons de la constitution d’un nouveau fichier électoral et recommandons à la CENI de poursuivre les opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs en cours. En vue d’éviter le coût élevé des révisions répétitives du Fichier électoral qui constitue un écueil pour la tenue régulière des scrutins que comprend chaque cycle électoral, nous invitons le Gouvernement, à l’issue de l’élaboration du fichier électoral en cours, à tout mettre en œuvre pour permettre à l’Office National d’Identification de la Population, ONIP en sigle, de constituer un Fichier g...

Le problème des rebelles sud-soudanais qui ont traversés la frontière Congolos Sud soudanaise ce denier temp alimente des pyscose au sein dela popolation dela partie Est du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo. !

Visiteurs indésirables Les violences à Juba ont brisé l’accord de paix qui avait été négocié à grand-peine entre M. Kiir et M. Machar. Et les combattants sud-soudanais sont venus grossir la liste des groupes rebelles étrangers que l’est du Congo ne veut pas accueillir, mais dont il a du mal à se débarrasser. Cette liste comprend des combattants des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), des Forces nationales de libération burundaises et de deux mouvements ougandais : les Forces démocratiques alliées (ADF) et l’Armée de résistance du Seigneur. Ces groupes, ainsi que des milices du cru tout aussi violentes, terrorisent la population depuis plusieurs dizaines d’années. La MONUSCO a répondu à l’inquiétude croissante de la population en soulignant qu’elle évacuait les membres de l’APLS dans l’opposition pour des raisons humanitaires et à la demande du gouvernement congolais. La mission de maintien de la paix a dit avoir remis 117 Sud-Soudanais aux autorités congolaises et ...

Le problème des rebelles sud-soudanais qui ont traversés la frontière Congolos Sud soudanaise ce denier temp alimente des pyscose au sein dela popolation dela partie Est du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo. !

Visiteurs indésirables Les violences à Juba ont brisé l’accord de paix qui avait été négocié à grand-peine entre M. Kiir et M. Machar. Et les combattants sud-soudanais sont venus grossir la liste des groupes rebelles étrangers que l’est du Congo ne veut pas accueillir, mais dont il a du mal à se débarrasser. Cette liste comprend des combattants des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), des Forces nationales de libération burundaises et de deux mouvements ougandais : les Forces démocratiques alliées (ADF) et l’Armée de résistance du Seigneur. Ces groupes, ainsi que des milices du cru tout aussi violentes, terrorisent la population depuis plusieurs dizaines d’années. La MONUSCO a répondu à l’inquiétude croissante de la population en soulignant qu’elle évacuait les membres de l’APLS dans l’opposition pour des raisons humanitaires et à la demande du gouvernement congolais. La mission de maintien de la paix a dit avoir remis 117 Sud-Soudanais aux autorités congolaises et ...

Le problème des rebelles sud-soudanais qui ont traversés la frontière Congolos Sud soudanaise ce denier temp alimente des pyscose au sein dela popolation dela partie Est du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo. !

Visiteurs indésirables Les violences à Juba ont brisé l’accord de paix qui avait été négocié à grand-peine entre M. Kiir et M. Machar. Et les combattants sud-soudanais sont venus grossir la liste des groupes rebelles étrangers que l’est du Congo ne veut pas accueillir, mais dont il a du mal à se débarrasser. Cette liste comprend des combattants des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), des Forces nationales de libération burundaises et de deux mouvements ougandais : les Forces démocratiques alliées (ADF) et l’Armée de résistance du Seigneur. Ces groupes, ainsi que des milices du cru tout aussi violentes, terrorisent la population depuis plusieurs dizaines d’années. La MONUSCO a répondu à l’inquiétude croissante de la population en soulignant qu’elle évacuait les membres de l’APLS dans l’opposition pour des raisons humanitaires et à la demande du gouvernement congolais. La mission de maintien de la paix a dit avoir remis 117 Sud-Soudanais aux autorités congolaises et ...

SIGNATURE DE L'ACCORD GLOBAL INCLUSIF EN RDC : Il a fallu 48 jours , pour vu que l'histoire retienne la date du 18-octobre-2016. Quelles que les embûches, la solution est la, malgré que la marche était longue ; elle a pris fin avec un parcours victorieux des combattants, qui luttent pour l'émergence de la Rdc. Les mots prononcés avec désevolture sont venus de gauche, comme de droite, mais un accord a été conclu ce mardi 18-octobre-2016, après le résultat de compromis politique entre les parties, à savoir, l'opposition, la majorité, la société civile, sous l'œil de la communauté, mais devant un facilitateur choisi par l'Union Africaine, en la personne , de son Excellence Edem Kodjo. La puissance de la Rdc, dès l'arbre, en passant par les feuilles jusqu'à la racine, ne devait pas tomber comme un coup d'épée dans l'eau, et cela, faisant suite à une évidence, qui, heureusement, vient de trouver une issue favorable. L'histoire des trente-deux années de régime Mobutu qui s'était soldée par la destruction quasi-complete de l'État, de l'infrastructure socio économique du pays ainsi que la paupérarisationextrême de la population, ne doit plus nous rattraper, car le peuple a cru, un moment, voir son salut, et voilà le jour d'aujourd'hui s'est arrivé avec une mise en place d'un régime qui devra conduire le peuple vers un salut, et sa fin qui sera couronnée par les échéances électorales, d'ici avril 2018. C'est pendant, les autorités congolaises, ont choisi la voie du salut. Un jargon nous dit, le tigre ne proclame pas sa tigritude, car il tue la proie et la mange. Mais dans le contexte politique actuel en Rdc, le choix dela population congolaise a été réspecté : Les travaux du dialogue national ont pris fin, mardi 18 octobre à la cité de l’union africaine, sanctionnés par la signature d’un accord politique. Dans son discours de clôture, le facilitateur du dialogue national, Edem Kodjo a invité tous les signataires dudit accord à les mettre en œuvre pour l’intérêt du peuple congolais. «C’est un compromis des Congolais. Il a en outre le caractère primordial d’être ouvert à toutes les bonnes volontés qui voudraient y adhérer », a-t-il ajouté. Pour sa part, le représentant spécial adjoint du secrétaire général de l’Onu en RDC, David Gressly, dit prendre acte de cet accord au nom des Nations unies. De son côté, le commissaire chargé de paix et sécurité auprès de l’Union africaine (UA), Sumahili Chui, a loué les efforts consentis par les participants au dialogue pour aboutir à un accord politique signé en faveur de la paix en RDC. « L’accord politique que vous venez de conclure est une grande première, qui va, j’en suis convaincu, jeter les bases d’une paix durable au travers d’un processus électoral maitrisé et consensuel », a déclaré Sumahili Chui. La signature symbolique de l’accord politique met ainsi fin aux travaux du dialogue lancés depuis le 1er septembre dernier. Vital Kamerhea été le premier à signer cet accord au nom de l’opposition. Il a été suivi du directeur de cabinet du chef de l’Etat, Néhémie Mwilanya. Madeleine Kalala l’a signé pour le compte de la société civile et Azarias Rubrewa a représenté les personnalités politiques invitées au dialogue. Sur son compte twitter, le secrétaire général du PPRD, Henri Mova Sakanyi, qualifie la signature de cet accord « d’une victoire pour la démocratie dans notre pays». Cet Accord, une victoire pour la démocratie dans notre pays. pic.twitter.com/obcDOssAbl — Henri Mova Sakanyi (@AmbHenriMova)18 octobre 2016 La cérémonie de clôturedu dialogue politique a été présidée par le facilitateur Edem Kodjo en présence des nombreuses autorités du pays, des diplomates accrédités en RDC et les représentants des organisations africaines. Cérémonie de clôture du Dialogue national inclusif en # RDC pic.twitter.com/tiduk3z8Bk — Edem Kodjo (@EdemKodjoRDC)18 octobre 2016 Dans cet accord, les parties prenantes au forum ont convenu « de préparer et d’organiser les élections présidentielle,législatives et provinciales dans un délai de 6 mois dès la convocation des scrutins le 30 octobre 2017 ». La plénière du dialogue a confirmé que le prochain Premier ministre sera issu de l'opposition. L'actuel chef de l'Etat Joseph Kabila va continuer à exercer ses fonctions après le 19 décembre 2016, jusqu'à l'installation effective d'un nouveau président élu de la République. L’accord politique comporte 12 chapitres repartis en 25 articles. Ces articles traitent notamment du fichier électoral, du calendrier électoral, de la sécurisation du processus électoral, des personnes et des biens, du budget des élections des institutions ainsi que des mesures de confiance et de la composition du comité de suivi de l’accord issu du dialogue. 300 participants à ce forum national ont chacun signé cet accord à tour de rôle, avant de quitter la cité de l’Union Africaine, en dehors de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) et autres délégués de la société civile qui avaient claqué la porte du dialogue.

Fumée blanche à la Cité de l’UA : rideaux sur le Dialogue et l’accord politique inclusif signé ! Kinshasa, 18/10/2016 / Politique Après plus d’un mois de débat houleux à la Cité de l’UA, un protocole d’accord vient ainsi d’être trouvé pour décanter la crise politico-électorale en République démocratique du Congo, mettant ainsi fin au dialogue politique. Commencé depuis jeudi 1er septembre 2016, sous la facilitation du Togolais Edem Kodjo, à la Cité de l’Union africaine, le Dialogue politique national et inclusif s’est clôturé ce mardi 18 octobre 2016, au chapiteau érigé à Mont Ngaliema. La fin de ces grandioses assises est sanctionnée par la signature de l’accord politique signé par les représentants des différentes composantes. A savoir : Vital Kamerhe pour l’opposition politique, Néhémie Mwilanya Wilondja pour la Majorité présidentielle, Marie Madeleine Kalala pour la société civile et Azarias Ruberwa pour la composante « personnalités ». C’était au cours d’une cérémonie solennel...