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Le territoire Lubero situé, dans la partie Est dela République Démocratique du Congo, au Nord-Kivu, déclaré « zone sans armes :

En 2007 et 2008, le Nord-Kivu est le théâtre d'affrontements entre l'armée et des soldats insurgés ralliés à l'ex-général tutsi congolais Laurent Nkunda. A la tête de la rébellion du CNDP (Congrès national pour la défense du peuple), soutenue par le Rwanda, Nkundamet l'armée en déroute dans la région en 2008 et menace de prendre Goma, la capitale régionale. Début 2009, à la suite d'un retournement d'alliance, les armées congolaise et rwandaise lance une opération sans précédent contre les rebelles des FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda) - regroupement de hutus rwandais supplétifs des forces gouvernementales congolaises pendant la guerre - alors que le tutsi congolais Nkunda est arrêtéau Rwanda. Le M23 fauteur de troubles Le groupe rebelle, qui s'est donné pour nom Mouvement du 23 mars(M23), est formé principalement d'ex-combattants de la rébellion tutsi congolaise du CNDP(Congrès national pour la défense du peuple), intégrés dans l...

SUR LE MONT RWENZORIE, SITUÉ, ENTRE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO, ET CELLE DEL' OUGANDA, de moins en moins, des neiges sont visible sur le mont Stanley ! Avec ses 5109 m, le mont Stanley est la troisième plus haute montagne d'Afrique, derrière le mont Kenya et le mythique Kilimandjaro tanzanien. «Nous sommes parmi les derniers à grimper sur la glace, ça va tellement vite», dit-il après avoir escaladé la dangereuse crête de cette montagne de la chaîne du Rwenzori, à cheval entre l'Ouganda et la République démocratique du Congo (RDC). Avec ses 5109 m, le mont Stanley est la troisième plus haute montagne d'Afrique, derrière le mont Kenya et le mythique Kilimandjaro tanzanien. Mais, comme pour le mont Kenya et le Kilimandjaro, les experts mettent aujourd'hui en garde contre la fonte des neiges qui le frappe, à une vitesse alarmante. Selon eux, dans deux décennies, les pics africains, où neige et glace déjà se raréfient, ne seront plus que rocs. «Tous les ans, la glace diminue», dit encore John Medenge. Ce guide aujourd'hui âgé de 54 ans grimpe le mont Stanley depuis l'adolescence. L'astronome et géographe grec Ptolémée est le premier à avoir, dès le IIe siècle, écrit sur le Rwenzori. Il avait alors identifié ces «Montagnes de la lune» comme la source du majestueux Nil blanc. Des rivières déjà transformées Si des siècles durant, chaque génération a pu admirer le manteau de neige qui les recouvrait, la fonte est aujourd'hui bien réelle, et a des conséquences plus graves que la seule banalisation du spectacle. «La fonte des glaciers est un autre avertissement, un "canari dans la mine", de l'incapacité de l'humanité à limiter les dégâts du changement climatique», estime Luc Hardy de Pax Arctica, une organisation de sensibilisation au changement climatique qui a mené une expédition dans le massif en janvier. «La fonte de ce glacier africain unique constitue une importante menace pour les communautés locales, puisqu'elle entraîne une évidente réduction des eaux renouvelables», poursuit l'explorateur franco-américain, par ailleurs vice-président de l'ONG écologiste Green Cross (Croix-Verte). Le phénomène nuit déjà à l'agriculture et à la production hydroélectrique, pointe Richard Atugonza, du centre des ressources de la montagne à l'Université ougandaise de Makerere, dans la capitale Kampala. «Cela peut devenir un gros problème à l'avenir pour la région, les rivières changent déjà». Situé à quelques kilomètres seulement de l'équateur, le Rwenzori, souvent perdu dans la brume, s'étend sur environ un millier de km2 et comprend quelques autres glaciers, qui pour la plupart ne sont plus aussi recouverts que d'une minuscule calotte de glace. L'explorateur américano-britannique Henry Morton Stanley fut lui le premier Occidental à découvrir ces glaciers en 1889. À l'époque, la glace recouvrait le sommet du mont qui porte désormais son nom sur sept km2. Aujourd'hui, il n'en reste plus qu'un petit km2. Les dieux à la rescousse Dans le but de préserver les neiges, le roi des Bakonzo, la tribu qui peuple la région, envoie régulièrement des chefs locaux sacrifier des poulets et des chèvres aux pieds des montagnes du Rwenzori pour apaiser les dieux qui vivent sur les crêtes. «Le réchauffement climatique n'est pas provoqué par les gens ici, mais il nous fait du mal», dénonce Baluku Stanley, président d'une des principales compagnies de trekking locales. «Bien sûr, quand il n'y aura plus de neige, cela affectera le tourisme, même si les randonnées dans la vallée sont incroyables». Ces vallées abritent en effet une végétation digne de contes de fées, faite d'arbres tarabiscotés enveloppés dans des manteaux de lichen vert fluorescent, mais aussi de lobélies et de bruyères hautes de cinq mètres. Une végétation qui permet aux éléphants, léopards et autres chimpanzés de se cacher tandis que plus haut en altitude, virevoltent des oiseaux bariolés. Pour l'heure cependant, les grimpeurs cherchent encore à se frayer des chemins jusqu'aux pics. L'exercice est de plus en plus périlleux, car la fonte des neiges a rendu impraticables certaines pistes, où des échelles rouillées pendent désormais dangereusement dans les airs. «Les Rwenzoris sont parmi les glaciers les plus excitants que j'ai grimpés, qui rivalisent avec les pics d'Europe et d'Amérique latine», estime cependant encore Paul Drawbridge, un Britannique de 34 ans parti pendant huit jours à l'assaut du mont Stanley. «C'est tellement dommage de penser que les enfants que j'aurai peut-être à l'avenir ne verront jamais ces pics enneigés».

Les glaciers fondus de Rwenzori inquiètent les écologistes : Le pourcentage de perte de glace sur le mont.Baker est de 96% suivi par Mt Speke 91% tandis que le Mt Stanley a le plus faible pourcentage de perte de glace à 69% La neige sur la montagne de Rwenzori pourrait être vue une fois par jour clair de Fort Portal. Les écologistes se sont dits préoccupés par le taux élevé de fonte des glaciers au sommet des Monts Rwenzori. Situé dans la partie occidentale de l'Ouganda se trouve le grand montagnes Rwenzori également connu sous le nom des montagnes de la lune, l'attrait touristique snowcapped majeur. «Nous surveillons le taux de fonte de la glace au sommet de la montagne et le rythme auquel il fond est alarmant, mais je dois dire que c'est à cause du changement climatique», a déclaré John Magezi, un expert en environnement qui a dirigé Une équipe de chercheurs sur la montagne. Il a dit que l'Ouganda a été gravement ravagé par le changement climatique et a averti qu...

Voici ce qu'a esquissé l'administrateur du territoire de Lubero, monsieur Bokele Djoy, après l'attaque du camp des réfugiés Hutu de LUHANGA : "Il n'y a pas un conflit internithique entre Nande et Hutu. Il s'agit des bandits qui tuent et accusent les Yira (nande). On se sera trompé lourdement de cible, parce qu'aucune réunion n'a été tenue par les Nande où ils ont décidé de tués des gens, donc KAVOTA, NICAISE KIBELBEL,... doivent éviter d'accuser les nandes, je ne suis pas Nande mais je dirige sur le sol de nande sans aucune difficulté, et les nandes n'ont pas de milices :

Le gouverneur du Nord-Kivu a déclaré ce mardi 29 novembre 2016 le sud du territoire de Lubero milieu «sans armes», à l’issue d’une visite conjointe effectuée avec la Monusco à Luhanga. Dans son adresse devant les habitants de Luhanga, Julien Paluku a annoncé l’«arrivée sur le lieu du drame, d’une unité de police militaire pour renforcer la sécurité des personnes et de leurs biens». «La grande décision que nous annonçons est qu’à dater de ce jour,nous déclarons le sud de Lubero sans armes c-à-d, nous ne voudrons plus voir d’armes à Lubero. Seule l’armée et la police sont autorisées de détenir des armes. L’armée et la police sont autorisées à tirer sur quiconque détiendrait illégalement une arme. Que les Ong de défense des droits de l’homme nous laissent tranquilles. On ne peut pas accepter que 30 ou 40 personnes meurent cause des petits bandits. Imaginez, le général nous dit que ces bandits détiennent des armes puissantes telles que PKM (…). Nous vous annonçons qu’un renfort militaire ...

COMMUNIQUE DE PRESSE DU GOUVERNEUR DE LA PROVINCE FACE AU UNIEME MASSACRE DES POPULATIONS CIVILES AU NORD-KIVU : La Province du Nord-Kivu vient d’être frappée, une unième fois, dans la partie Sud du Territoire de Lubero, par un violent massacre des populations civiles, massacre perpétré à Luhanga, par les individus sans foi ni loi. Pendant que nos larmes n’ont pas encore cessé de couler des yeux de suite des sauvages tueries de nos concitoyens en Territoire de Beni, plus d’une trentaine de nos compatriotes viennent d’être innocemment et injustement précipités dans le séjour des morts par les hors-la-loi. Le Gouverneur de Province s’associe à la douleur qu’éprouvent toutes les familles des victimes et, par la même occasion, condamne fermement cette sauvagerie qui, du reste, est inadmissible et impardonnable. A cet effet, il demande aux Forces de défense, en l’occurrence les FARDC et la PNC, de redoubler d’efforts pour que soient matés définitivement tous les groupes armés qui, sans scrupule, continuent à déstabiliser la Province et à endeuiller innocemment nos familles, à l’instar des ADF et des FDLR. Par ailleurs, l’Autorité Provinciale exhorte toute la population du Nord-Kivu de se désolidariser de tous ces groupes armés et de dénoncer toutes leurs activités auprès des autorités locales et compétentes, pour qu’ensemble, nous parvenions à bouter dehors notre ennemi commun. Une fois de plus, le Gouverneur de Province exprime toutes ses condoléances les plus attristées aux familles des victimes et à toute la population du Nord-Kivu. Fait à Goma, le 27 novembre 2016 LE PORTE-PAROLE

Dans la province du Nord-Kivu en République Démocratique du Congo, Voici 20 jours depuis le lundi 7 Novembre 2016 que l’assemblée provinciale du Nord-Kivu est scellée et interdite aux plénières. Rien n’est fait pour que les activités reprennent malgré le dépôt en catastrophe du budget du gouvernement la semaine dernière. Trois des cinq membres du bureau convoqués a Kinshasa son revenu a Goma sauf le président et son vice. Le rapporteur de l’assemblée provinciale du Nord-Kivu dit attendre toujours, la levée de la mesure du vice-premier ministre sortant de l’intérieur Evariste Boshab. Le gouvernement provincial du Nord-Kivu, dénonce les mouvements subversifs qui se cachent derrière le groupe label mai-mai pour camoufler une rébellion en gestation. Réuni vendredi dernier, le gouvernement KAHONGYA a précisé que ces mouvements subversifs se cachent aussi derrière un motif populaire pour faire la guerre. Suite à la présence de ces mai-mai dans le sud LUBERO, les populations de village de BUS...

Au moins trente- six personn es dont un Maï-Maï ont été tuées ce dimanche 27 novembre au village Luhanga , territoir e de Lubero au Nord-Ki vu. D’après des sources de la société civile qui donnent l’inform ation, l’attaque attribué e aux milicien s Maï-Maï Mazemb e a eu lieu vers cinq heures du matin simultan ément sur une position des FARDC et sur une cible civile. Les victimes qui sont essentie llement des civiles ont été massacr ées à l’arme blanche. D’après l’ONG Centre d’études pour la promoti on de la paix, la démocra tie et les droits de l’homme (CEPADH O), cette attaque visait essentie llement les hutus. « Notre Organis ation craint qu’un retard de plus pour arrêter cette barbari e ne plonge la Provinc e du Nord-Ki vu dans un cycle de tension s inter- ethniqu es, ouvrant par cette occasio n la voie aux Conspir ateurs de la déstabil isation à mener une nouvell e guerre contre les Instituti ons du pays, » a dit Me Omar Kavota, coordin ateur de CEPADH O. « Nous condam nons avec la plus grande énergie cet ignoble assassin at. Nous demand ons au Gouver nement Congola is et à la Monusc o de prendre les mesure s qui s’impos ent pour sécurise r une populat ion Hutu en danger d’exter minatio n dans cette zone. Nous demand ons encore une fois à la Justice Congola ise de se saisir de ce dossier pour traquer les auteurs de ces crimes. Nous demand ons à tous les Notable s du Grand Kivu-Ma niema de prendre conscie nce du danger de somalis ation que court la Région », a pour sa part ajouté le Préside nt de l’Associ ation dénom mée Commu nauté Hutu Congola ise M. Sekabu horo

Le gouvernement provincial du Nord-Kivu, dénonce les mouvements subversifs qui se cachent derrière le groupe label mai-mai pour camoufler une rébellion en gestation. Réuni vendredi dernier, le gouvernement KAHONGYA a précisé que ces mouvements subversifs se cachent aussi derrière un motif populaire pour faire la guerre. Suite à la présence de ces mai-mai dans le sud LUBERO, les populations de village de BUSEKERA, KYUTO et LUHANGA se sont déplacées et ont créé spontanément un camp des déplacés à KANYABAYONGA après la délocalisation du cantonnement de la MONUSCO et de la relève de l’armée congolaise. Pendant ce temps, dans le territoire de BENI, groupements MALIO et ISALE-BULAMBO en chefferie de BASHU, ces mouvements subversifs cachés sous le label de mai-mai menacent également la sécurité de la province. Trente-quatre civils ont été tués dimanche dans l'attaque d'un village par une milice nande dans une zone de l'Est de la République démocratique du Congo, théâtre d'aff...

Bonne fête de Chrismas 2016, à vous tous, chaqun par son nom, partout où vous vous trouvez mes frères et soeurs : Dépuis deux mille ans seizième années, en cours, l'histoire de Noël, c'est la naissance de Jésus Christ, et fête de la lumière Le 25 décembre de chaque année, les chrétiens fêtent la naissance de Jésus, Fils de Dieu : c’est une période d’espoir et de joie. Noël est aujourd’hui la fête la plus populaire auprès des grands et des petits. Noël» vient du latin natalis dies, «jour de naissance». La naissance de Jésus, la nuit, quand les bergers dormaient dans les champs, est racontée par l’Évangile de Luc, et plus tard, les évangiles apocryphes ont ajouté des détails sur le lieu et les personnages. Quand Denys le Petit, au VIesiècle, a voulu dater les années à partir de la naissance du Christ, et non plus de la fondation de Rome, le savant religieux qui a fait ses comptes s’est trompé de quelques années… Jésus est donc né un peu avant l’an 0. Luc ne précise pas la date. Peut-être Jésus est-il né en juillet ! Pourquoi donc Noël en décembre ? On ne sait pas à qui l’idée est venue en premier,mais au IIIe siècle, à Rome, une concurrence s’est installée entre certains païens monothéistes et les chrétiens autour de plusieurs dates, plutôt au printemps, pour la naissance ou renaissance de Dieu : mais ce sera au solstice d’hiver, à la fin de décembre, période où les jours, bien timidement, commencent de rallonger, où le soleil, qui a semblé mourir, connaît une renaissance. Jésus n’est-il pas le « Soleil de justice » (Ml 3, 20) ? L’empereur Aurélien, en 274, a même voulu imposer un culte solaire du Sol Invictus (Soleil invaincu), culte comparable à celui de Mithra, dieu qui connaît une nouvelle naissance le 25 décembre. Aurélien mort, les cultes païens (Mithra et Saturnales) lentement abolis, la fête chrétienne est restée… Certains orthodoxes(Églises de Jérusalem, de Russie, de Géorgie, de Serbie, du Mont-Athos) ont conservé le calendrier julien (introduit par Jules César), qui comporte treize jours d’écart avec le calendrier occidental grégorien (institué par le pape Grégoire XIII, au XVIe siècle). Ils fêtent donc Noël le 25 décembre selon le calendrier julien, qui correspond au 7 janvier selon le calendrier grégorien. Noël est une fête de la lumière naissante. En Europe du Nord, les illuminations de Noël contrastent avec la nuit épaisse de décembre. L’habitude a été prise de fêter Noël au cœur de la nuit, comme le veut l’Évangile, et cette tradition est restée commune aux grandes confessions, catholique, protestante et orthodoxe. Pour les fidèles, à l’inverse des clercs, Noël a toujours été une fête plus populaire que Pâques. Il n’y a pas, dans la naissance d’un enfant, la dimension tragique de la Croix. En revanche, nos ancêtres, habitués à une mortalité infantile très élevée, savaient la fragilité d’un bébé dans une étable en décembre… Cet enfant qui naît est un tout-petit, petit comme une graine, comme un germe. Noël est donc une fête toute en contrastes ; la chaleur et la neige, la lumière et la nuit, Dieu et un nouveau-né. C’est aussi une fête de l’espoir :quand tout semble mort et éteint, les chrétiens, bravant le vent d’hiver, vont allumer la flamme de ce qui va naître et grandir. D’où ce dernier contraste : Noël est une fête des enfants, simple comme les bergers ; mais c’est aussi une fête des adultes qui connaissent la préciosité de la vie, comme le figurent les mages, savants dont la sagesse témoigne, au-delà des apparences, d’une vérité profonde :

Fête de Noël chez les chrétiens : des milliards de personnes dans le monde, disent que, la période de Noël est le moment de l’année le plus, attendu chez les chrétiens. Bien sûr, pour beaucoup d’autres, Noël est une période déprimante, qui accentue leur solitude et leur isolement familial. La saison de Noël est l’époque où il y a le plus grand nombre de fêtes et de réceptions. Mais c’est également celle qui enregistre le plus grand nombre de suicides. Depuis des dizaines d’années, beaucoup de gens essaient de « laïciser » Noël, en supprimant toute allusion à Jésus-Christ et à Sa naissance. Aux États-Unis, des décisions judiciaires ont conduit à la suppression des crèches de Noël dans les cours des Palais de justice, et ont dissuadé bon nombre de chorales scolaires à chanter des chants de Noël à connotations religieuses. Mais, autant les références à Jésus-Christ ont été minimisées, autant le Père Noël est devenu le sujet incontournable en cette saison. Des millions d’évangélistes son...

Une nouvel attaque d'un groupe activistes des Maï Maï armés à Beni-Lubero selon un membre dela société civile en Ville de Butembo le dimanche 27 novembre 2016 : De nos collègues de la coordination territoriale de la société civile de Lubero, nous apprenons qu'un groupe des personnes non autrement identifiées et présumées être des maï-maï, a attaqué le matin de ce dimanche 28/11/2016 la localité de Luhanga, en groupement Itala, chefferie des Batangi, territoire de Lubero. Jusqu'à présent aucun bilan n'est encore disponible, ajoute notre source. Dans le même chapitre nous apprenons, par une source auxiliaire qu'un nouveau camp des présumés maï-maï vient d'être érigé à Vusavya à quelques 2km à l'Ouest de Musienene. La population qui se rendait au champ ce samedi 27/11/2016 était surprise de voir dans ce coin situé sur l'axe Musienene - Muhangi, près du cimetière principal de Musienene, des tentes occupées par des gens en nouvelle tenue militaire et lourdement armés. "N'ayez pas peur car, disaient-ils, nous sommes ici momentanément en attendant de prendre assaut sur la ville de Butembo". Cette situation crée de plus en plus de la torpeur dans le chef des habitants de Butembo qui se posent beaucoup de questions sur l'avenir de cette ville devenue aujourd'hui la cibles des groupes armés qui encerclent la ville ce dernier temps.

Dans la Ville de Butembo, une panique totale a été observée le samedi 26 novembre à Mavono après l’arrivée brutale de l’armée loyaliste dans cette partie. Du coup, toutes les activités scolaires, champêtres et commerciales ont été paralysées à Mavono vendredi 25 novembre. Mavono est une cellule située au quartier Wayene, en commune Bulengera. La panique a été causée par la présence, dans ce coin de la ville, des militaires et d’un groupe des inconnus. Les habitants ont différemment interprété les faits. Ils en ont témoigné au micro de Radio Moto. Un enseignant raconte par exemple que les élèves sont rentrés à la maison et que même certains parents sont passés retirer chacun son enfant. Un autre habitant relate qu’on venait de les informer que l’ennemi est présent dans cette contrée.« Et pourtant, il n’y avait rien. On a juste vu des militaires FARDC débarquer brutalement ici. On pensait qu’ils sont venus s’affronter à un groupe d’hommes suspects aperçus ici. », témoigne encore un a...

Actualité en Ville de Butembo du jeudi 25 novembre 2016, selon une source du groupe Veranda Mutsanga : Un groupe des miliciens mai mai, présent dans la partie Nord de Mutsanga dans les avants midi ! Depuis la matinée de ce jeudi, un groupe des miliciens mai mai a été visible dans la partie Nord de Mutsanga, en commune BULENGERA, communément appelé « MAVONO », ils étaient cantonnés non loin de l’Institut MESO, avec armes et lances ! Ayant été alerté, quelques militaires FARDC sont venus se cantonnés prêts d’une source d’eau connu sous le nom de « canon ka mavono » ! D’une distance de quelques mettre de là où étaient positionné les mai mai. Vers 10h00, une pluie s’est abattue sur la ville, quand un renfort des militaires venait de dépasser le siège de la VM en direction de MAVONO ; mais soulignons que, plusieurs écoles de cette partie a eu à fermer ses portes immédiatement, dès que le message s’est rependu que les mai mai sont visibles au niveau de l’Institut MESO. Cela se produit quelques jours après des affrontements sanglants des mai mai contre les FARDC dans certaines localités de BUTUHE et environs. Kyondo une nouvel attaque d'un groupe des Maï Maï a été signalé, dans la nuit du jeudi 24 novembre 2016 ! Selon une source locale, ils venaient de Luotu, pour s'attaquer au poste de la Police dela place. Quelques blessés ont été enrégistrés. Alors que, à KIKERE, BUTUHE la nuit de ce meme jeudi, un agent de Graben Security commis pour la garde de l'antenne vodacom butuhe a été tué par balles, dans cette partie du térritoire de Beni, en République Démocratique du Congo. https:// mobile.facebook. com/groups/ 394923950661230? view=permalink& id=717865368367 085&refid=18&_f t_=qid.63569689 62638987354%3Am f_story_key.717 865368367085%3A top_level_post_ id.717865368367 085%3Atl_objid. 717865368367085 &__tn__=%2As

Les habitants du Territoire de Beni et Lubero, sont la cible des tueurs qui affluentdu Rwanda et de l’Ouganda voisins. Ils opèrent de façon organisée et avec un degré de cruauté qui trahit une indiscutablemotivation génocidaire. Les décomptes de la société civile sont que plus de 1.500 personnes ont été tuées tandis que 200.000 autochtones, sur une population de 1.200.000 habitants, ont été chassés de leurs terres, depuis, réoccupées par les génocidaires arrivant du Rwanda sous un autre prétexte. Les appels de la société civile, la mobilisation de la diaspora congolaise dans toute sa diversité, les réactions de plusieurs élus des circonscriptions de Beni-Lubero et des membres de l’opposition à Kinshasa, se sont jusqu’à présent heurtés au silence, à l’indifférence et au laissez faire du gouvernement congolais. Les manifestations au Congo contre ces massacres sont interdites. Plusieurs personnalités à Goma et à Kinshasa ont été violemment passées à tabac par la police et emprisonnées po...

Situation sécuritaire dans la région de Beni-Lubero, est très préocupante, dans les deux dernière années dépuis octobre 2014, jusqu' en nos jours ! Pour cause dela présence des plusieurs groupes armées, dans cette partie dela province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo : face à cette situation, le sous-secrétaire général des Nations unies en chargé des droits de l’homme, André Gilmour a tout de même reconnu « la précarité » de la situation des droits de l’homme dans l’est de la RDC. Il a promis de porter la voix des activistes au plus haut niveau des autorités congolaises et du conseil de sécurité des Nations unies. «On sera toujours ensemble avec vous et on va continuer à vous soutenir. La semaine prochaine, je vais donner un briefing à Genève au Conseil des droits de l’homme, quelques jours après, je vais parler au Conseil de sécurité», a-t-il promis :

Au Sud-Ouest du térritoire de Beni, vers l'Est dela République Démocratique du Congo, les habitants du village de MBILINGA RWAHA, KIKERE et BUTUHE ont vidés, leurs villages depuis 3 jours, selon le noyau, de la société civile dela place. Pendant ce temp, le chef du groupement MALIO est également en refuge, après cette occupation de mai-mai de son groupement. Le Mwami KASEREKA MUSANGANIA BWANANDEKE 3, a confirmé au téléphone de MOUSTAPHA KEMAL que, les FARDC ont mené une résistance, dans l’objectif de récupérer, toutes ces entités occupées par un groupe des mai-mai. Les Forces armées de la RDC (FARDC) ont repris mercredi 23 novembre le contrôle des localités de Butuhe et Rwaha dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu). Dans le même chapitre, la police de Beni accuse des miliciens d'avoir abattu quatre policiers en l’espace de trois semaines, au Nord-Kivu. Selon le commissaire supérieur principal de la police au Nord-Kivu, Van Kasongo, deux policiers ont été tués à Butembo et de...

Lors d'un combat, toute activités scolaires ont été paralysées de plus, à Butuhe suite à la présence de l’armée à la traque des miliciens mai-mai Les cours n’ont pas eu lieu dans les écoles de l’axe Butuhe-VURONDO depuis mardi 22 novembre 2016. A la base, la présence des miliciens se réclamant membres de l’UPLC. Le directeur de l’EP BUTUHE raconte que des parents sont arrivés nombreux à l’école pour réclamer leurs enfants. Papy KIKOMA alerte ensuite que le village de Butuhe est déjà vide de ses habitants. D’où l’incertitude sur la reprise des cours dans les écoles de l’axe Butuhe-VURONDOmême ce jeudi. Ces propos sont confirmés par un habitant de Butuhe en fuite à Butembo. Selon notre source, 6 camions transportant des éléments FARDC sont arrivés à Butuhe l’avant-midi de ce mercredi. Des coups de balle ont retenti à KIKERE, à trois kilomètres de Butuhe vers 11 heures de ce mercredi 23 Novembre. Du coup, des habitants qui ont cru à un accrochage entre les deux forces ont vidé la localité de Butuhe. Une débandade totale a été observée dans ce village du groupement Malio, rapporte cet habitant de la place désormais déplacé à Butembo. Des miliciens de l’Union Patriotique pour la Libération du Congo, UPLC de KILALO voulaient se rendre à Butuhe. Mais ils ont été contraints de ne pas continuer leur route à cause de l’intervention des FARDC. Des habitants de BUTUHE désertent ainsi leur village en dépit de l’arrivée sur place de plus de 100 éléments FARDC. Notre source indique que cette présence massive des militaires loyalistes congolais ne rassure pas toujours d’autant plus que certains éléments se sont livrés au pillage des biens de la paisible population la soirée de mardi 22 novembre 2016 :

Selon une source de radiookapi.net aussi, les Forces armées de la RDC (FARDC), ont repris mercredi 23 novembre le contrôle des localités de Butuhe et Rwaha dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu). Ces deux villages étaient contrôlés, par un groupe des miliciens Maï-Maï de l’Union de patriotes pour la libération du Congo (UPLC). Le commandant des opérations Sokola 1 Sud, colonel Fall Sikabwe, parle d’un militaire tué, d’un autre blessé ainsi que de quatre assaillants capturés à l’issue des combats qui ont opposé miliciens et soldats. Après environ trois heures d'affrontements, ces miliciens se sont enfuis, laissant les villages Butuhe et Rwaha aux FARDC. Colonel Fall Sikabwe a également expliqué que les FARDC ont lancé cette offensive dans l’objectif de restaurer l’autorité de l’Etat dans cette contrée. Certaines sources locales accusent certains militaires de s’être livrés aux pillages et à des exactions sur des civils pendant leur offensive. L’armée aurait obligé certaines p...