Articles

Un chef d'un groupe Maï Maï et un petit nombre de ses gardes se sont rendu, àla Base dela Monusco, dans le térr itoire de Lubero, àl'Est dela République Démocratique du Congo, dans la province du Nord-Kivu : C'est travers un communiqué rendu public dans la soirée, du mercredi 14 décembre 2016, que, la CEPADHO s’est félicitée de la reddition de Baraka Lolwako Mumbere ! Précisement, dans la partie Est dela République Démocratique du Congo, en Ville de Butembo, d'où le chef des Maï-Maï Mazembe du Mont-Carmel s’est rendu, au millitaires dela Monusco dela place. C’est avec un très grand intérêt que le CEPADHO a appris de la reddition de BARAKA LOLWAKO, Seigneur de guerre et Chef des MAY-MAY/VURONDO, allié à la milice CORPS DU CHRIST qui avait investi pendant plusieurs jours le Mont CARMEL, en Ville de BUTEMBO. Notre Organisation qui se réjouit de cette reddition reconnaît qu’elle résulte essentiellementde la pression militaire menée contre les MAY-MAY dans le Grand-Nord du Nord-Kivu, ce dont elle félicite les FARDC. Le CEPADHO estime par ailleurs que la reddition de BARAKA LOLWAKO et les éléments de sa garde est aussi une réponse à la campagne qu’il réalise avec la Dynamique pour la Paix et le Développement (DPD), campagne entreprise depuis le début de ce mois dans le cadre 16 Jours d’activisme de Droits de l’homme. En effet, le CEPADHO et la DPD rappellent à l’opinion qu’ils poursuivent encore cette campagne pour la paix, à travers laquelle ils encouragent les populations du NORD-KIVU en général et celles de BENI-LUBERO en particulier à se désolidariser des groupes armés, à dire «NON» à une nouvelle guerre et à éviter toutes manifestations violentes. C’est pourquoi, eu égard à ce qui précède, nos deux Structures exhortent aux autres MAY-MAY en errance à BENI, BUTEMBO et LUBERO à emboîter le pas à BARAKA LOLWAKO. Cela en vue de préserver la paix et la sécurité des habitants de cette zone. En fin, nos Organisations appellent les Jeunes du Grand-Nord à éviter toute allégeance aux Groupes armés émergeant en ce lieu et à se méfier de toute initiative de déstabilisation. Ainsi fait à BENI, le 15 Décembre 2016; Pour le CEPADHO, Maître OMAR KAVOTA, Coordonnateur-Directeur Exécutif. Le maire de Butembo avait promis la somme de 5000 dollars américains à quiconque permettrait son arrestation. Baraka Lolwako Mumbere, tout jeune milicien se réclamant des Maï-Maï Mazembe, a activement participé à l’occupation du Mont-Carmel de Butembo, qui avait tenu en haleine les habitants de la ville pendant plusieurs semaines. Aux côtés des Maï-Maï ‘Corps du Christ’, principaux acteurs de cette période de tensions dans la région de Butembo, le« Général Baraka »et ses hommes prétendaient vouloir rallier Beni pour combattre les présumés-ADF à Mayangose. Après plusieurs tentatives de négociations, les FARDC avaient lancé l’assaut sur le Mont-Carmel, considéré comme sacré dans la tradition Yira. Suite à la libération de la colline par l’armée, les Maï-Maï, qui s’étaient dispersés dans Butembo, s’étaient rendus coupables de nombreux crimes, égorgeant notamment deux policiers, événement qui valut à Baraka Lolwako Mumbere de voir le fameux avis de recherche être lancé contre lui. Considéré comme le chef des Maï-Maï Mazembe, qui ont occupé le Mont-Carmel à Butembo en compagnie des Maï-Maï ‘Corps du Christ’ au mois d’octobre dernier, Baraka Lolwako Mumberes’est rendu aujourd’hui auprès de la MONUSCO à Beni, en compagnie de certains de ses hommes. # RDC: Chef des Maï-Maï de Mont-Carmel, Baraka Lolwako Mumbere se serait rendu aujourd’hui à la MONUSCO à Beni. pic.twitter.co m/WLeMtP15 pP — Dunia Kongo Media (@DuniaKongoMedia) 14 décembre 2016. PAGE NOIRE: Monsieur Kasereka Tengeneza Marcel[ex-president de la Société Civile de Kirumba] n'est plus depuis ce soir du 14/12/ 2016: il vient d'etre fusillé à l'entrer de son domicile à Kirumba/Kavoza par des personnes armées non autrement autrement identifiées. Son corps serait exposé jusqu'à présent à l'extérieur de son domicile en attendant les enquêtes des autorités compétentes. La CRDH Ville de Goma dénonce et exige des enquêtes sérieuses capables à dénicher les auteurs, les arrêter et les sanctionner conformément aux loi de la République. Fait à Goma, le 14/12/2016 MUYAYALO, Coordonnateur de la CRDH Ville de Goma.

Révélation sur les massacre de Luhanga: Le chef de localité de Luhofu- qui a été arrêté- et un sénateur sont accusés d’être les instigateurs de l’attaque de Luhanga. C’est l’une des conclusions de l’enquête de l'auditorat militaire supérieur près la cour militaire opérationnelle du Nord-Kivu sur l’attaque qui a fait en novembre dernier une trentaine de victimes parmi les civils dans ce village du Nord-Kivu. Selon les conclusions de l’enquête rendues publiques mardi 13 décembre, le chef de localité de Luhofu aurait accusé les membres de la communauté Hutu de complicité avec les rebelles rwandais des FDLR. Pour sa part, le sénateur incriminé aurait appelé en juillet dernier la communauté Nande de Luhofu à considérer les Maï-Maï Mazembe comme des « gardiens de la paix ». L’enquête de l’auditorat militaire met en cause ces miliciens accusés d’être les auteurs de l’attaque contre la localité de Luhanga. Selon d’autres sources sécuritaires, les enquêteurs ont suggéré à l’auditorat gén...

À ces jours les phytothérapeutes accusés, de contribuer au tatouage surtout, les jeunes garçons, qui préconisent leurs enregistrement dans la régron de Beni, en République Démocratique du Congo, en proie des massacres des civils ce dernier temp. Ils ont arrêté la décision, jeudi 08 décembre 2016, au cours d’une réunion tenue à Beni. Des dizaines de féticheurs et des tradi-praticiens étaient réunis autour du chef urbain de la culture et des arts. Cette activité était placée dans le cadre de la campagne de lutte contre le tatouage lancée en octobre dernier par le gouverneur du Nord-Kivu. Objectif ; étudier les modalités de mettre fin à cette pratique. Les participants ont unanimement arrêtés des grandes décisions parmi lesquelles l’enregistrement de tous les guérisseurs traditionnels et phytothérapeutes, ceci pour prévenir les arrestations arbitraires dont ils sont victimes ce dernier temps de la part des services de sécurité. Territoire de Beni : «la frontière de Kasindi est poreuse», reconnait le responsable de la police « Notre frontière est poreuse», a déclaré vendredi dernier le commissaire supérieur principal Jean Pierre WUMBI, commandant de la police nationale congolaise en territoire de Beni à l’occasion de la journée internationale de lutte contre la corruption célébrée le 09 décembre de chaque année. Il a reconnu que des nombreux cas de corruption sont toujours enregistrés au poste frontalier de KASINDI, en territoire de Beni frontalier avec l’Ouganda. Mais la police essaie de faire face à cette situation et traduire les auteurs devant la justice.«Les auteurs de cette pratique sont régulièrement arrêtés et amenés devant la justice. C’est ça le rôle de [l’escron] de la police de frontalière, (une unité spécialisée de la police nationale congolaise)», a-t-il rassuré. Ce responsable de la police note par ailleurs que la corruption ne peut être réduite simplement à l’argent. Elle revêt plusieurs dimensions parmi elles le trafic d’influence. L’administrateur du territoire de Nyiragongo révèle que les 519 rebelles sud-soudanais cantonnés à MUNIGI dans le camp militaire indien exige d’être rapatriés endéans une semaine. L’AT AUGUSTIN KAZADI EBONDO l’a dit après une réunion avec le chef de bureau MONUSCO/Nord-Kivu, DANIEL RUIZ et après sa toute première visite dans le cantonnement de ces sud-soudanais avec lesquels il a échangé. Ces sud-soudanais exigent d’être rapatriés exacerbés par les menaces de la population qui a intercepté un camion qui transportait 17 parmi eux qui revenaient des soins à l’hôpital de la MONUSCO au centre-ville de GOMA. L’année 2016 n’a pas été de tout repos pour l’armée congolaise dans la 34e région militaire. 69 criminels ont été identifiés dont 57 arrêtés avec 39 armées à feu récupérées. C’est le bilan révélé ce lundi par le commandant intérimaire de la 34e région militaire, le Général FRANCOIS KAMANZI. Avec ce fichier des criminels identifiés, le Général FRANCOIS KAMANZI dit être maintenant capable de donner des réponses à beaucoup de crimes opérés dans la ville de Goma toute cette année 2016. Par la même occasion le commandant ad-intérim a présenté à la presse deux bandits mains-armées venus du Sud-Kivu, MURONGOZI MUNAZI et JANVIER MULUMUDESHWA qui opéraient en complicité avec un officier de la 33e région militaire de MINOVA en fuite. Le colonel VAN KASONGO se félicite de l’opération de traque des MAIBOBO et autres jeunes délinquants qui tracassent la population à Goma. au cours de la parade hebdomadaire de la police de tous les lundis, il a profité d’une question des journalistes pour rappeler que les mouvements citoyens la LUCHA et FILIMBI n’ont pas droit de cité à Goma conformément à la lettre-recommandation du vice-premier ministre et ministre de l’intérieur EVARISTE BOSHAB. Il est dans ces propos recueillis par notre confrère, JAMES KISUBI.

Deux véhicules endommagés est activité momentanément paralysée. Bilan des actes de vandalisme perpétrer par KIRENGO qui accuse la justice de lenteur et n'est rien faire il ya deux ans sans suite depuis qu'il avait déposer sa plainte contre certains agents de la Monusco d'après ses dires ;qui lui avaient ses deux dents. par mis les véhicules casses celui du procureur près le TGI-BENI ce mardi 12 décembre 2016 : La population menace d’interdire tout mouvement des camions de la Monusco pour trois jours à partir de ce lundi dans le territoire de Nyiragongo. Elle veut ainsi protester contre la présence des rebelles Sud-Soudanais cantonnés dans un camp de militaires indiens dans a Munigi. Précisons que le chef de bureau de la Monusco Nord-Kivu, Daniel Ruiz a bien dit sur Kivu1 vendredi que ces 17 Sud-Soudanais interceptés par la population, revenaient des soins au centre ville de Goma. Ils sont du groupe de 519 internés à dans le Nyiragongo depuis plus de quatre mois. Une réunion...

Découverte macabre des ossements de Mr Kakule Meso dans le matin du mardi 12 décembre 2016, à kithevya kalongo village situés à 6km dans la partie Ouest d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, àl'Est dela République Démocratique du Congo : en colère un groupe de famille éprouvé, se sont rendu sur le lieu, pour constanté, la disparition de leurs frère tué, dernièrement, les les inciviques des ADF ! Et après, les os ont été mis en terre sur place, d'où, celui ci, a été décapité de plus, àla machette, le jour d'incursion des rébélles érangers présent dépuis plus de 25 ans, dans la région de Beni signalons ici bas que, pauvre Kakule était l'une des personnes qui étaient, pris en otage par les rebeles ougandais du groupe des ADF-NALU lors de leurs dernière attaque meurtrière dans ce village, il ya un mois ! Selon nos source il s'agit des ossement d'un certain pripa ancien acteur dela radio moto skech, les neufs autres personnes n'a leurs dernieres nouvelles. La fois passé, une attaque des rébélles du Adf-Nalu été signalé à Kithevya en térritoire de Beni : Face à cette situation, les habitants d'Oicha ont été paniqués de plus après une nouvel incursion des rébélles des Adf-Nalu, dans l'après midi de ce lundi 31 octobre 2016, vers Kithevya une localité situé àl'Ouest d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo : au dernier nouvel la radio Moto Oicha nous informe que, les Adf ont pillés tout les biens de valeur qui se trouvaient dans le centre de santé dela place, et des médicaments aussi, ont été emportés, par les rébélles, ce qui a poussés des civils à majorité des hommes, femmes, et des enfants, en débandande de part et d'autres ! Beaucoup des gens ont abandonnés, leurs maisons d'habitation craignant d'être victimes des rébélles qui cherchent toujours à faire finir les gens dans toute partie du térritoire de Beni de plus ! La République Démocratique du Congo est un pays déchiré par plusieurs guerres importées entremêlées aux phénomènes qui maintiennent la population dans la pauvreté extrême suite à l’insécurité entretenue au quotidien contre des millions de Congolais. Pour un pays engagé dans une transition post-conflit avec un coût humain extrêmement élevés les défis sont énormes la restauration d’un niveau acceptable de la sécurité humaine est l’un de ces défis. Dans la plupart des provinces de l’Est de la RDC, plus particulièrement en territoire de Beni, la population continue à souffrir de l’insécurité permanente des violations de droits humains et des exactions de toute forme. Pour pallier à cette situation, l’ONGDH/CRDH s’est engagée fermement, mais se heurte aux défis de poursuite, des menaces par des services de sécurité ANR et des autorités politiques et militaires, les insuffisances des moyens matériels pour le reportage et le suivi des activités sur terrain. C’est ainsi que la CRDH tend la main aux personnes de bonne volonté de l’appuyer financièrement et antérieurement pour qu’elle soit efficace sur terrain.

Des assassinats de religieux musulmans inexpliqués. Outre les tensions liées aux velléités indépendantistes à l’Ouest du pays, l’Ouganda est confrontée à une étrange vague d’assassinats depuis l’année 2012. C’est la minorité musulmane qui est ciblée. À la fin du mois de novembre dernier, le Major Muhammed Kiggundu et son garde du corps étaient froidement abattus dans la banlieue de Kampala. Treizième leader musulman tué en Ouganda depuis 2012, le religieux avait déjà échappé à deux tentatives de meurtre par le passé, mais sera finalement tombé sous les balles de mystérieux assassins, comme de nombreuses personnalités musulmanes avant lui. Chaque fois, c’est le même mode opératoire qui est observé : en moto, deux tueurs interviennent de préférence en début de soirée, mais aussi parfois en plein jour, s’arrêtent près du véhicule de leur victime sur laquelle ils tirent deux à cinq balles avant de prendre la fuite. D’autres imams ont même été abattus à leur domicile sous les yeux de leurs...

Dernier carnage successivent des civils dans la région de Beni àl'Est dela République Démocratique du Congo, quelques gens nous faire croire dans l'ignorance que, les ADF sont plus forts que le M23 :

Auteurs présumés des massacres en série sur la population du Grand Nord depuis plus de deux ans maintenant, les ADF, identifiés comme tel par le gouvernement congolais, affichent une résistance plus farouche encore que la puissante rébellion du M23, écrasée il y a 3 ans. Un rapport de force qui pose question. Alors que plusieurs rapports, dont le projet Enough, situaient les effectifs du M23 entre 1 500 et 1 700 hommes, les combattants ADF étaient quant à eux estimés entre 100 et 260 hommes environ d’après un rapport du groupe d’experts des Nations Unies publié en 2015. Moins nombreux mais plus coriaces que le M23 donc, les ADF opèrent depuis plus d’une décennie dans le Ruwenzori et n’ont jamais pu être totalement délogés de la région par les FARDC, malgré l’appui de la MONUSCO. Comment des combattants si peu nombreux peuvent-ils résister depuis si longtemps à une armée régulière ? À cette question, Julien Paluku, gouverneur de la province du Nord-Kivu, répond que les ADF connaissent ...

Dernier carnage successivent des civils dans la région de Beni àl'Est dela République Démocratique du Congo, quelques gens nous faire croire dans l'ignorance que, les ADF sont plus forts que le M23 :

Un rapport de force qui pose question. Alors que plusieurs rapports, dont le projet Enough, situaient les effectifs du M23 entre 1 500 et 1 700 hommes, les combattants ADF étaient quant à eux estimés entre 100 et 260 hommes environ d’après un rapport du groupe d’experts des Nations Unies publié en 2015. Moins nombreux mais plus coriaces que le M23 donc, les ADF opèrent depuis plus d’une décennie dans le Ruwenzori et n’ont jamais pu être totalement délogés de la région par les FARDC, malgré l’appui de la MONUSCO. Comment des combattants si peu nombreux peuvent-ils résister depuis si longtemps à une armée régulière ? À cette question, Julien Paluku, gouverneur de la province du Nord-Kivu, répond que les ADF connaissent la forêt mieux que quiconque, et qu’ils disposent d’une capacité importante à se ravitailler et à recruter de nouveaux éléments. Annoncés à l’agonie après les décès consécutifs du Colonel Mamadou Ndala et du Général Lucien Bahuma, tombeurs du M23, les rebelles ougandais s...

Deux jeunes garçons del'éthnie NANDE, ont été egorgés encore par un groupe armés, identifié aux inciviques des FDLR à NYANZALE, un village situé dans le térritoire de RUTSURU, province du Nord-Kivu àl'Est dela République Démocrtique du Congo selon une source dela société civile dela place. La cellule antiterroriste de la Véranda Mutsanga qui suit les choses de très prêt, vient d'etre alerté par ses antennes au niveau du territoire de RUCHURU-NYANZALE en ces termes : " dans cette nuit du 11 au 12/12/2016, deux jeunes garçons NANDE ont été tués egorgés comme des chèvres cette nuit à Nyanzale. Têtes, coeurs, parties intimes emportés. cet acte serai l'un des nombreuses actions envisagées par la branche armée hutu(nyatura-fdlr) dans le bwito. Il serait prevu plusieurs massacres à petit nombre(1,2, 3... personnes) pour essayer de camoufler son ampleur à caractère ethnique et ainsi taire des alertes mediatiques qui risquent d'indexer certaines autorités bien connues. Le cri chanté à nyanzale est " tukonavyo binande, bitakimbiya". N.B : La véranda Mutsanga qui a en fait deja des alertes dans ce sens de massacre à petit nombre, demande aux autorités de prendre leurs précautions, vue que les choses risquent de tourner au vinaigres dans les jours les plus proches" ! Un gouvernement qui ne fait que courrir derriere les evenements n'en est pas un ! Prévenir vaut mieux que guerrir :

Des mouvements des maï-maï signalés dans plusieurs endroits du territoire de Lubero Le week-end du 10 décembre, trois combattants ont tenu un meeting populaire dans le village de NGANE près de MUHANGI. Selon les habitants de ce village, ces miliciens parlaient de la date du 19 décembre 2016. Après un meeting d’environ 30 minutes, ces miliciens ont pris la direction de VUSAMBA. En route, ils ont tué un de leur vers le village de KIVULI. Son péché est d’avoir tenté de tatouer certains enfants sans la permission de ses pairs, renseignent les mêmes sources. La société civile de MUSIENENE a indiqué à Radio Moto Butembo-Beni que les deux autres combattants ont été maîtrisés par la police à MUSIENENE. Ces maï-maï seraient déjà au camp militaire de RUGHENDA pour instruction de leur dossier. Butembo : la Véranda Mutsanga démantèle un réseau des bandits de grand chemin caché en ville de BENI. La Véranda Mutsanga l’avait déjà dit que la ville de Butembo est souvent victime d’une barbarie des ...

Dans le térritoire de Rutshuru au N/Kivu vive tension s'observe entre Nande et Hutu dépuis le dimanche soir à la base, un jeune Nande de 15 ans, décapité par des Maï-Mai Hutu : Face à cette situation dernièrement, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme s’inquiète des violences intercommunautaires signalées ces derniers jours au Nord-Kivu. Dans un communiqué publié lundi 8 février, sa porte-parole, Cécile Pouilly, se dit « alarmée » par des informations faisant état d’une escalade des violences intercommunautaires dans les territoires de Lubero et Walikale. Des violences qui ont fait au moins 21 morts, 40 blessés et 70 maisons incendiées au cours du week-end passé. « Nous avons aussi reçu des rapports sur des déplacements massifs de civils, des pillages, des enlèvements et au moins trois viols au cours des derniers jours », note-t-elle. Depuis plusieurs jours, les membres des communautés Hutu et Nande s’affrontent dans certaines régions de la province du Nord-Kivu, occasionnant des morts dans les deux groupes ethniques :

« Dernièrement, les tensions entre les communautés hutu et nande, qui sont en hausse depuis novembre dernier, semblent avoir atteint un niveau alarmant avec ces derniers incidents et pourraient engendrer des violences à grande échelle et davantage de déplacements », déplore Cécile Pouilly. La porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme indique que les membres de ces deux communautés sont soutenus par des groupes armés. Les Hutus seraient soutenus par les FDLR alors que les Nandés bénéficieraientdu soutien des combattants traditionnels Maï-Maï. « Ce qui rend la situation potentiellementencore plus explosive », affirme Cécile Pouilly qui demande au gouvernement congolais de prendre toutes les mesures possibles pour garantir la protection des civils et éradiquer la menace des groupes armés. Deux voleurs des grands chemins ont été lapidés et un autre tabassé , en mort, par les habitants en colère au quartier Vutsundo en Ville de Butembo, au Nord-Kivu. L...

A l’occasion de la 68èmeannée de la journée internationale des droits humains, le GADHOP salue les avancées remarquées ces dernières années à travers certains pays du monde à améliorer la situation des droits humains. En RDC, quelques avancées peuvent être saluées : - La promulgation de la loi sur la parité renforçant ainsi la participation de la femme au meme ne titre que l’homme à la prise des décisions, - Le code de la famille modifié qui reconnait certains droits de la femme, jadis foulés aux pieds par les lois antérieures, - La mise en place de la Commission Nationale des Droits de l’Homme, etc... :

Le Groupe d’Associations de Défense des droits de l’homme et de Paix, GADHOP a rendu public un communiqué de presse sur le droit del'homme en Rdc. Dans ce document dont nous avons reçu une copie, le GADHOP peint un tableau sur la problématique des droits de l’homme. Elle salue d’emblée les avancées remarquées ces dernières années à travers certains pays du monde dans l’amélioration de la situation des droits humains. En RDC, le GADHOP salue entre autres la promulgation de la loi sur la parité renforçant ainsi la participation de la femme au même ne titre que l’homme à la prise des décisions, la modification du code de la famille. Ce code reconnait déjà certains droits de la femme, jadis foulés aux pieds par les lois antérieures. A cela, le GADHOP ajoute la mise en place de la Commission Nationale des Droits de l’Homme. Ce groupe d’associations déplore au même moment qu’à l’approche de la fin du 2èmeet dernier mandat de Joseph Kabila, on observe certaines pratiques telles que l’int...

La société civile dela région de Beni, signale souvent, l’Incursion successive des groupes armés étrangers dans le grand Nord-Kivu, situé dans la partie Est dela République Démocratique du Congo : face à cette situation, beaucoup des acteurs dela société civile demandent au gouvernement centrale de fournir des éforts, pour mieux protéger les habitants civils victimes des massacres, vols, incendies, et autres, dela part des inciviques du groupe Adf-Nalu ! Ainsi, la population de cet coin, dénnoce encore de plus le passage d'un convoi des hommes armés non autrement, identifié, a été signalé de plus, dans les heures nocturne, vers KIBOMA à 4 km àl'entré de KASINDI PORT, en térritoire de Beni, dans la partie Est dela République Démocratique du Congo, selon la Radio télévision Graben Beni RTGB, capté le matin dans son édition du journale du 6heures 30" le samedi 10 décembre 2016. Selon la société dela place, ces hommes seraient, un groupe des guerriers du M23 qui préfèrent commencer, une rébéllion en cours d'agitation, selon la même source ! Les habitants vivons dans ce coin, précisent aussi, que bruits des botes ont été entendu, la nuit ! Face à cette situation, une panique a été observée au sein des civils craignant d'être victimes des actes de térrorisme en cours dans la région de Beni, dépuis octobre 2014, à nos jours ! Pendant des années dans le région de Beni en proie d'insécurité grandissante, des ONG de défense des droits del'homme, signalent des incursion des troupes des rébélles étrangers présent aujourd' hui, à 95% dans la partie Est de Beni ! Depuis plusieurs jours, dans le passé, les habitants de la chefferie de Watalinga, frontalière avec l'Ouganda en territoire de Beni font état d'une concentration des troupes de l'Uganda People Defence Forces à la frontière avec la RDC. La motivation qui pousserait l’Ouganda à intervenir militairement au Congo pourrait se justifier par le fait que ce pays dirigé par Yoweri Kaguta Museveni aurait indiqué que le territoire de Beni en RDC regorge des bases arrière d’un groupe terroriste, prêt à frapper en Ouganda. D’autres recherches menées par les organisations locales de défense des droits de l’homme notent une traversée clandestine de ces troupes Ougandaises sur le territoire Congolais. Le Centre d’étude pour la promotion de la paix et des droits humains, Cepadho, une structure qui documente les violations de droits de l’homme au Nord-Kivu a mené une réflexion sur cette présence décriée de l’armée Ougandaise sur le sol Congolais. Dernièrement, un certain samedi passé, devait être consacré au déboisement partiel des forêts de Mayangose, dans la partie Est de Beni, d’où partent régulièrement les attaques des présumés-ADF. Escortée par les FARDC et la police, la population devait se mettre à l’ouvrage, et se réjouissait depuis plusieurs jours de voir l’une de ses revendications de longue date être enfin autorisée par le maire de Beni. Selon, plusieurs structures citoyenne dans cette partie dela province du Nord-Kivu, nous continuons à dénoncer des incursions à répétion dans le térritoire de Beni, et Lubero : Des multiples cas d’incursions des groupes armés étrangers sur le sol congolais : – A Kinyondo, Localité Bunyangingi, Groupement Itala, Chefferie des Batangi en Territoire de Lubero où des éléments FDLR ont traversé avec des armes sans être inquiétés par les services de sécurité dans la nuit du 20 au 21 mai 2016 ; – Près du confluent des rivières Semuliki et Lamia, en Groupement Banande-Kainama, Chefferie des Watalinga, Territoire de Beni où plus de 400 hommes en armes ont été appréhendés en date du mardi 15 mai 2016. – A Kididiwe, extrême-Est de la Commune de Ruwenzori, en Ville de Beni, des militaires FARDC ont été alertés en date du 19 mai 2016 mais sont arrivés en retard lorsque les assaillants s’étaient déjà repliés à Vemba situé à environ 12 km, dans le Groupement Batangi-Mbau, Secteur de Beni-Mbau en Territoire de Beni. Des massacres des civils dont : – Le cas d’une personne tuée et 10 autres grièvement blessés par des FDLR à Kamandi, Localité Musuti, Groupement Musindi, Chefferie des Batangi en Territoire de Lubero ; – Six cas des corps en état de décomposition qui ont été ramassés à Kanana, Localité Bangatu-Luna, Groupement Bambuba-Kisiki, Secteur de Beni-Mbau en Territoire de Beni ; – Cette situation a des ramifications dans certains villages de la Province voisine de l’Ituri, notamment à Katabeyi où 5 personnes ont été massacrées à la machette en date du Samedi 14 mai 2016. Des mouvements suspects des personnes d’origine indéterminée à direction des zones de massacres. C’est le cas de 9 personnes, conduites par un certain HARERI MATERERUZAZA, arrêtées à Butembo en date du Jeudi 19 mai 2016 :

Cinq armes dont deux lourdes ont été retrouvées dans un champs a Kilolirwe dans le territoire de Masisi. Selon certaines sources ces armes sont de la cachette du CNDP de Maurent Nkunda. Ces armes avaient été enterrées dans un champ a Kashunguro près de l’Institut KAUSA. Ladite cachette d’arme de guerre a été découverte 9 ans plus tard, par hasard lors d’un nettoyage de la vaisselle du lait pour une fromagerie de la place. Un habitant de Kilolirwe dont nous avons modifié la voix, nous confirme cette information et ajoute que le service des renseignements de l’armée basée a Kitchanga est venu déterrer et emporter ces armes ce vendredi autours de 14 heures, selon un témognage dela place : Retour au calme dans la localité côtière de Vitshumbi-Rutshuru ! Le dégât de cette attaque avaient fait état de trois personnes tuées dont un enfant et plusieurs biens apportés par les malfrats. Cette attaque est attribuée à deux groupes de mai-mai dont celui d’un certain Charles et celui de mai-mai M...

INSTABILITÉ SOCIALE À RÉPÉTITION DELA SITUATION SÉCURITAIRE DANS LA PROVINCE DU NORD-KIVU EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO : Pour JEAN-MARIE RUNIGA, ex-président du M23, le mouvement rebelle qui s’est mué en parti politique ASP « Alliance pour le Salut du Peuple », il n’y aura pas un vrai dialogue qui ne puisse parler des questions sécuritaires de l’Est du pays. JEAN-MARIE RUNIGA considère qu’avant toute élection en RDC et sur les sujets à débattre dans ce 2e dialogue, il y a la question des anciens combattants du M23 qui sont toujours à l’extérieur du pays, la question des FDLR et d’autres groupes armés mais également la diaspora congolaise qui reste une épine dans le processus électoral en RDC. Le président du parti politique Alliance pour le Salut du Peuple ASP, agréé cette année en RDC, Jean-Marie RUNIGA, s’est confié à Magloire PALUKU depuis le Rwanda où il est en exile. Y a-t-il une tribu RWANDOPHONE au Congo ? Pourquoi le gens que nous avions accueilli pacifiquement se comporte depuis la nuit des temps comme « CAUSEUR DES TROUBLES » ???. Pouvez-vous nous dire que BENI-LUBERO où vous TUER LES AUTOCHTONES est plus fertile que RUTSURU ? Pouvez vous nous affirmer que c’est à BENI-LUBERO ou il ya plus des champs pour cultiver ? Connaissant que tous les congolais et étrangers ont droit à vivre partout, mais en respectant le droit de propriété de tout un chacun. (Je ne peux pas aller à Bukavu ou à Kampala et prendre par force la parcelle d’un autochtone ou un national, je dois acquérir la terre conformément à la loi foncière de la RDCongo ou du pays d’accueil comme tous les autres et vivre en paix), partout à Beni, Butembo, Bunia, Kinshasa,…il ya la communauté hutu, tutsi, nyanga, hema,…qui acquièrent les parcelles légalement, vivent, étudient…avec les autochtones sans aucunes contraintes, pourquoi pas vous autres ? POURQUOI VOUS PROVOQUER SOUVENT LA POPULATION AUTOCHTONE EN RECOLTANTS LEURS CULTURES DANS LEURS CHAMPS ? QUELLE ETHNIE PEUT TOLERER UNE TELLE BETISE ? Et quand on veut vous reprocher, vous nous menacer de mort jusqu’à passer à l’exécution ? Maintes personnes pensaient que vous étiez DES IMMORTELLES après le génocide que vous avez effectué sur les tutsis et vos confrères modérés au Rwanda à 1994 et que vous venez d’importer avec vous à Beni, Lubero et Rutsuru sur les peuples autochtones en la recherche par force du milieu de vie, mais hélas !! Vous êtes aussi mortelles comme l DES HUMAINS SONT MORTS A LUHANGA ET DES MOUCHE LES SONT A BENI (Victimisation des Hutu pour avoir la compassion de tous, comme leurs morts (34) paix à leurs âmes sont plus humain que les PLUS DE 2000NANDES ÉGORGÉS, MASSACRÉS, KIDNAPPÉS A BENI). Maint personne se demande depuis quand le LUBERO est devenu HUTU ? Depuis quand le WALIKALE est devenu NANDE ? Si le WALIKALE n'est jamais devenu NANDE mais pourquoi BENI-LUBERO va-t-il devenir RWANDOPHONE ?

Ce dernier temp au N/Kivu, les millitaires Fardc et les Maï Maï se regardent de plus à Bweghera et Vweteta! Les maï-maï ont été visibles la journée de mercredi 7 Décembre 2016 à BWEGHERA et VWETETA, deux localités situées au Sud-Ouest de Butembo en territoire de Lubero. Les habitants de ces deux entités se sont déplacés pour trouver refuge dans des zones supposés sécurisées. Selon notre source, l’arrivée des maï-maï a plongé à la population de BWEGHERA et VWETETA dans une panique générale. Informés de cette situation, les éléments des FARDC ont été déployés dans cette contrée. Et les maï-maï qui étaient sur place ont pris la direction de MUNOLI, affirment nos sources. Personne n’est encore au courant de la motivation qui a poussé les maï-maï dans de se retirer de ces deux villages du territoire de Lubero. Des combats entre NYATURA et groupe mai-mai NDC RENOVE ont été signalés dans les régions de KIKUKU en territoire de RUTSHURU et IHANA dans le WALIKALE. Les NYATURA auraient quitté...