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Crise politique en République Démocratique du Congo les négociations entre les acteurs politique "suspendues", reprise le 21 décembre :

En cet effet, les discussions vont reprendront au lendemain de l'échéance officielle du mandat du président Joseph Kabila, le 20 décembre donc, le mercredi prochain. Une partie de l'opposition et de la population réclament son départ à cette date alors que le chef de l'Etat entend, lui, rester au pouvoir, après le report sine die de l'élection présidentielle prévue cette année. "Les négociations directes sont suspendues. (...) Les échanges entre les parties se poursuivront mercredi", a annoncé Mgr Marcel Utembi, président de la Conférence épiscopale national du Congo (Cenco). Les négociations, entamées le 8 décembre et qui devaient initialement s'achever vendredi, avaient été prolongées samedi dans l'espoir d'arracher un accord entre représentants et soutiens de la majorité au pouvoir et de l'opposition avant le 20 décembre. Les parties ont une nouvelle fois constaté leur désaccord samedi, avant que les évêques de la Cenco ne s'envolent d...

Il n’ y aura probablement pas d’ abandon des charges contre Moise Katumbi et Eugène Diomi Ndongala, en République Démocratique du Congo, si l'actuel président Joséph Kabila hors mandat. Deux des sept opposants présentés par le rassemblement comme prisonniers et exilés emblématiques, l’ ancien gouverneur et le président de la démocratie chrétienne pourraient ne pas avoir droit au chapitre. A en croire une source proche de l’ église catholique citée par actualite.cd, lors de l’ audience accordée hier à la délégation de la Cenco,le président Kabila a promis de répondre favorablement en faveur de cinq des sept noms déposés sur sa table par les prélats sauf les deux inéligibles, Katumbi et Diomi :

À en croire une source proche de l’ église catholique citée par le journale actualite.cd, de Kinshasa, lors de l’ audience accordée hier à la délégation de la Cenco, le président Kabila a promis, de répondre favorablement, en faveur de cinq des sept noms déposés sur sa table par les prélats sauf les deux inéligibles, Katumbi et Diomi. Député élu de Kinshasa, le président de la DC avait quasiment été surpris, en pleines orgies libidinales en compagnie de mineures, deux filles d’une même famille que le candidat malheureux à la présidentielle de 2006 s’offrait depuis plusieurs mois. Dans sa propriété de la Gombe non loin du building de l’Onatra fut découvert un véritable « abattoir », le sol d’une pièce attenante au bureau du président de la Démocratie Chrétienne étant jonché de préservatifs et autres excitants. Une affaire qui eut tôt fait de se répandre dans la haute ville, sans beaucoup surprendre. Condamné à dix ans de prison pour viol avec aggravation, il médite son sort depuis a...

Un groupe des rébélles ADF ont, attaqués de nouveau, une position des millitaires Fardc, basés dans la partie Nord-Est du térritoire de Beni, situé précisement, entre Nadui et Byalose, l'ancien bastion de ce même rébélles à majorité des Islamistes radicaux, qui se sont établie dans plus de 25 ans dans cet coin dela République Démocratique du Congo, d'où ils sont accusés massacrés les civils depuis la fin del'année 2014, à ce jours: Face à cette situation, les membres dela société civile dans la région de Beni ont documentés, plus de 1300morts au conté des habitants civils à majorité des hommes, femmes, enfants, et viellards tous des victimes ! Dernièrement, les différentes forces dela République Démocratique du Congo, ont affrontés de plus ce même groupe des assaillants, qui endeullent, la région Beni ville et térritoire ! L'attaque du vendredi matin, 16 décembre avait peut être l'objectif de se ravitaller en minutions, vivre, médicaments, et autres produits dela nécessité, utilisés par l'armée loyalistes :

Nous rétournons sur l'échec d'une attaque des inciviques ADF contre une position des millitaires Fardc, d'ou, les forces del'armée, nationale, se sont affrontés, de nouveau, à un groupe des rébélles étrangers, connu sous le non del' ADF-NALU, vers 5heures du vendredi 16 décembre 2016, dans la partie Nord-Est du térritoire de Beni ! Dépuis 2013, un nombre important des millitaires lourdement armés sont, engagés dans les combats contre ces rébélles dernièrement localisés dans plusieurs coins dela région de Beni, aussi auteurs des plusieurs éxactions des actes tuerries, vols, incendies, sans oublié aussi, des déplacements massif des habitants civils victimes des événements malheureux en cours dans la région de Beni : signalons ici bas que, le matin du vendredi, un groupe d' habitants vivant dans la partie Est de Beni ville et térritoire, étaient entrain, d'entendre de plus en plus, les détonations des armes lourde et légère, dans la partie Nord-Est d'Oicha ...

Un chef d'un groupe Maï Maï et un petit nombre de ses gardes se sont rendu, àla Base dela Monusco, dans le térr itoire de Lubero, àl'Est dela République Démocratique du Congo, dans la province du Nord-Kivu : C'est travers un communiqué rendu public dans la soirée, du mercredi 14 décembre 2016, que, la CEPADHO s’est félicitée de la reddition de Baraka Lolwako Mumbere ! Précisement, dans la partie Est dela République Démocratique du Congo, en Ville de Butembo, d'où le chef des Maï-Maï Mazembe du Mont-Carmel s’est rendu, au millitaires dela Monusco dela place. C’est avec un très grand intérêt que le CEPADHO a appris de la reddition de BARAKA LOLWAKO, Seigneur de guerre et Chef des MAY-MAY/VURONDO, allié à la milice CORPS DU CHRIST qui avait investi pendant plusieurs jours le Mont CARMEL, en Ville de BUTEMBO. Notre Organisation qui se réjouit de cette reddition reconnaît qu’elle résulte essentiellementde la pression militaire menée contre les MAY-MAY dans le Grand-Nord du Nord-Kivu, ce dont elle félicite les FARDC. Le CEPADHO estime par ailleurs que la reddition de BARAKA LOLWAKO et les éléments de sa garde est aussi une réponse à la campagne qu’il réalise avec la Dynamique pour la Paix et le Développement (DPD), campagne entreprise depuis le début de ce mois dans le cadre 16 Jours d’activisme de Droits de l’homme. En effet, le CEPADHO et la DPD rappellent à l’opinion qu’ils poursuivent encore cette campagne pour la paix, à travers laquelle ils encouragent les populations du NORD-KIVU en général et celles de BENI-LUBERO en particulier à se désolidariser des groupes armés, à dire «NON» à une nouvelle guerre et à éviter toutes manifestations violentes. C’est pourquoi, eu égard à ce qui précède, nos deux Structures exhortent aux autres MAY-MAY en errance à BENI, BUTEMBO et LUBERO à emboîter le pas à BARAKA LOLWAKO. Cela en vue de préserver la paix et la sécurité des habitants de cette zone. En fin, nos Organisations appellent les Jeunes du Grand-Nord à éviter toute allégeance aux Groupes armés émergeant en ce lieu et à se méfier de toute initiative de déstabilisation. Ainsi fait à BENI, le 15 Décembre 2016; Pour le CEPADHO, Maître OMAR KAVOTA, Coordonnateur-Directeur Exécutif. Le maire de Butembo avait promis la somme de 5000 dollars américains à quiconque permettrait son arrestation. Baraka Lolwako Mumbere, tout jeune milicien se réclamant des Maï-Maï Mazembe, a activement participé à l’occupation du Mont-Carmel de Butembo, qui avait tenu en haleine les habitants de la ville pendant plusieurs semaines. Aux côtés des Maï-Maï ‘Corps du Christ’, principaux acteurs de cette période de tensions dans la région de Butembo, le« Général Baraka »et ses hommes prétendaient vouloir rallier Beni pour combattre les présumés-ADF à Mayangose. Après plusieurs tentatives de négociations, les FARDC avaient lancé l’assaut sur le Mont-Carmel, considéré comme sacré dans la tradition Yira. Suite à la libération de la colline par l’armée, les Maï-Maï, qui s’étaient dispersés dans Butembo, s’étaient rendus coupables de nombreux crimes, égorgeant notamment deux policiers, événement qui valut à Baraka Lolwako Mumbere de voir le fameux avis de recherche être lancé contre lui. Considéré comme le chef des Maï-Maï Mazembe, qui ont occupé le Mont-Carmel à Butembo en compagnie des Maï-Maï ‘Corps du Christ’ au mois d’octobre dernier, Baraka Lolwako Mumberes’est rendu aujourd’hui auprès de la MONUSCO à Beni, en compagnie de certains de ses hommes. # RDC: Chef des Maï-Maï de Mont-Carmel, Baraka Lolwako Mumbere se serait rendu aujourd’hui à la MONUSCO à Beni. pic.twitter.co m/WLeMtP15 pP — Dunia Kongo Media (@DuniaKongoMedia) 14 décembre 2016. PAGE NOIRE: Monsieur Kasereka Tengeneza Marcel[ex-president de la Société Civile de Kirumba] n'est plus depuis ce soir du 14/12/ 2016: il vient d'etre fusillé à l'entrer de son domicile à Kirumba/Kavoza par des personnes armées non autrement autrement identifiées. Son corps serait exposé jusqu'à présent à l'extérieur de son domicile en attendant les enquêtes des autorités compétentes. La CRDH Ville de Goma dénonce et exige des enquêtes sérieuses capables à dénicher les auteurs, les arrêter et les sanctionner conformément aux loi de la République. Fait à Goma, le 14/12/2016 MUYAYALO, Coordonnateur de la CRDH Ville de Goma.

Révélation sur les massacre de Luhanga: Le chef de localité de Luhofu- qui a été arrêté- et un sénateur sont accusés d’être les instigateurs de l’attaque de Luhanga. C’est l’une des conclusions de l’enquête de l'auditorat militaire supérieur près la cour militaire opérationnelle du Nord-Kivu sur l’attaque qui a fait en novembre dernier une trentaine de victimes parmi les civils dans ce village du Nord-Kivu. Selon les conclusions de l’enquête rendues publiques mardi 13 décembre, le chef de localité de Luhofu aurait accusé les membres de la communauté Hutu de complicité avec les rebelles rwandais des FDLR. Pour sa part, le sénateur incriminé aurait appelé en juillet dernier la communauté Nande de Luhofu à considérer les Maï-Maï Mazembe comme des « gardiens de la paix ». L’enquête de l’auditorat militaire met en cause ces miliciens accusés d’être les auteurs de l’attaque contre la localité de Luhanga. Selon d’autres sources sécuritaires, les enquêteurs ont suggéré à l’auditorat gén...

À ces jours les phytothérapeutes accusés, de contribuer au tatouage surtout, les jeunes garçons, qui préconisent leurs enregistrement dans la régron de Beni, en République Démocratique du Congo, en proie des massacres des civils ce dernier temp. Ils ont arrêté la décision, jeudi 08 décembre 2016, au cours d’une réunion tenue à Beni. Des dizaines de féticheurs et des tradi-praticiens étaient réunis autour du chef urbain de la culture et des arts. Cette activité était placée dans le cadre de la campagne de lutte contre le tatouage lancée en octobre dernier par le gouverneur du Nord-Kivu. Objectif ; étudier les modalités de mettre fin à cette pratique. Les participants ont unanimement arrêtés des grandes décisions parmi lesquelles l’enregistrement de tous les guérisseurs traditionnels et phytothérapeutes, ceci pour prévenir les arrestations arbitraires dont ils sont victimes ce dernier temps de la part des services de sécurité. Territoire de Beni : «la frontière de Kasindi est poreuse», reconnait le responsable de la police « Notre frontière est poreuse», a déclaré vendredi dernier le commissaire supérieur principal Jean Pierre WUMBI, commandant de la police nationale congolaise en territoire de Beni à l’occasion de la journée internationale de lutte contre la corruption célébrée le 09 décembre de chaque année. Il a reconnu que des nombreux cas de corruption sont toujours enregistrés au poste frontalier de KASINDI, en territoire de Beni frontalier avec l’Ouganda. Mais la police essaie de faire face à cette situation et traduire les auteurs devant la justice.«Les auteurs de cette pratique sont régulièrement arrêtés et amenés devant la justice. C’est ça le rôle de [l’escron] de la police de frontalière, (une unité spécialisée de la police nationale congolaise)», a-t-il rassuré. Ce responsable de la police note par ailleurs que la corruption ne peut être réduite simplement à l’argent. Elle revêt plusieurs dimensions parmi elles le trafic d’influence. L’administrateur du territoire de Nyiragongo révèle que les 519 rebelles sud-soudanais cantonnés à MUNIGI dans le camp militaire indien exige d’être rapatriés endéans une semaine. L’AT AUGUSTIN KAZADI EBONDO l’a dit après une réunion avec le chef de bureau MONUSCO/Nord-Kivu, DANIEL RUIZ et après sa toute première visite dans le cantonnement de ces sud-soudanais avec lesquels il a échangé. Ces sud-soudanais exigent d’être rapatriés exacerbés par les menaces de la population qui a intercepté un camion qui transportait 17 parmi eux qui revenaient des soins à l’hôpital de la MONUSCO au centre-ville de GOMA. L’année 2016 n’a pas été de tout repos pour l’armée congolaise dans la 34e région militaire. 69 criminels ont été identifiés dont 57 arrêtés avec 39 armées à feu récupérées. C’est le bilan révélé ce lundi par le commandant intérimaire de la 34e région militaire, le Général FRANCOIS KAMANZI. Avec ce fichier des criminels identifiés, le Général FRANCOIS KAMANZI dit être maintenant capable de donner des réponses à beaucoup de crimes opérés dans la ville de Goma toute cette année 2016. Par la même occasion le commandant ad-intérim a présenté à la presse deux bandits mains-armées venus du Sud-Kivu, MURONGOZI MUNAZI et JANVIER MULUMUDESHWA qui opéraient en complicité avec un officier de la 33e région militaire de MINOVA en fuite. Le colonel VAN KASONGO se félicite de l’opération de traque des MAIBOBO et autres jeunes délinquants qui tracassent la population à Goma. au cours de la parade hebdomadaire de la police de tous les lundis, il a profité d’une question des journalistes pour rappeler que les mouvements citoyens la LUCHA et FILIMBI n’ont pas droit de cité à Goma conformément à la lettre-recommandation du vice-premier ministre et ministre de l’intérieur EVARISTE BOSHAB. Il est dans ces propos recueillis par notre confrère, JAMES KISUBI.

Deux véhicules endommagés est activité momentanément paralysée. Bilan des actes de vandalisme perpétrer par KIRENGO qui accuse la justice de lenteur et n'est rien faire il ya deux ans sans suite depuis qu'il avait déposer sa plainte contre certains agents de la Monusco d'après ses dires ;qui lui avaient ses deux dents. par mis les véhicules casses celui du procureur près le TGI-BENI ce mardi 12 décembre 2016 : La population menace d’interdire tout mouvement des camions de la Monusco pour trois jours à partir de ce lundi dans le territoire de Nyiragongo. Elle veut ainsi protester contre la présence des rebelles Sud-Soudanais cantonnés dans un camp de militaires indiens dans a Munigi. Précisons que le chef de bureau de la Monusco Nord-Kivu, Daniel Ruiz a bien dit sur Kivu1 vendredi que ces 17 Sud-Soudanais interceptés par la population, revenaient des soins au centre ville de Goma. Ils sont du groupe de 519 internés à dans le Nyiragongo depuis plus de quatre mois. Une réunion...

Découverte macabre des ossements de Mr Kakule Meso dans le matin du mardi 12 décembre 2016, à kithevya kalongo village situés à 6km dans la partie Ouest d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, àl'Est dela République Démocratique du Congo : en colère un groupe de famille éprouvé, se sont rendu sur le lieu, pour constanté, la disparition de leurs frère tué, dernièrement, les les inciviques des ADF ! Et après, les os ont été mis en terre sur place, d'où, celui ci, a été décapité de plus, àla machette, le jour d'incursion des rébélles érangers présent dépuis plus de 25 ans, dans la région de Beni signalons ici bas que, pauvre Kakule était l'une des personnes qui étaient, pris en otage par les rebeles ougandais du groupe des ADF-NALU lors de leurs dernière attaque meurtrière dans ce village, il ya un mois ! Selon nos source il s'agit des ossement d'un certain pripa ancien acteur dela radio moto skech, les neufs autres personnes n'a leurs dernieres nouvelles. La fois passé, une attaque des rébélles du Adf-Nalu été signalé à Kithevya en térritoire de Beni : Face à cette situation, les habitants d'Oicha ont été paniqués de plus après une nouvel incursion des rébélles des Adf-Nalu, dans l'après midi de ce lundi 31 octobre 2016, vers Kithevya une localité situé àl'Ouest d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo : au dernier nouvel la radio Moto Oicha nous informe que, les Adf ont pillés tout les biens de valeur qui se trouvaient dans le centre de santé dela place, et des médicaments aussi, ont été emportés, par les rébélles, ce qui a poussés des civils à majorité des hommes, femmes, et des enfants, en débandande de part et d'autres ! Beaucoup des gens ont abandonnés, leurs maisons d'habitation craignant d'être victimes des rébélles qui cherchent toujours à faire finir les gens dans toute partie du térritoire de Beni de plus ! La République Démocratique du Congo est un pays déchiré par plusieurs guerres importées entremêlées aux phénomènes qui maintiennent la population dans la pauvreté extrême suite à l’insécurité entretenue au quotidien contre des millions de Congolais. Pour un pays engagé dans une transition post-conflit avec un coût humain extrêmement élevés les défis sont énormes la restauration d’un niveau acceptable de la sécurité humaine est l’un de ces défis. Dans la plupart des provinces de l’Est de la RDC, plus particulièrement en territoire de Beni, la population continue à souffrir de l’insécurité permanente des violations de droits humains et des exactions de toute forme. Pour pallier à cette situation, l’ONGDH/CRDH s’est engagée fermement, mais se heurte aux défis de poursuite, des menaces par des services de sécurité ANR et des autorités politiques et militaires, les insuffisances des moyens matériels pour le reportage et le suivi des activités sur terrain. C’est ainsi que la CRDH tend la main aux personnes de bonne volonté de l’appuyer financièrement et antérieurement pour qu’elle soit efficace sur terrain.

Des assassinats de religieux musulmans inexpliqués. Outre les tensions liées aux velléités indépendantistes à l’Ouest du pays, l’Ouganda est confrontée à une étrange vague d’assassinats depuis l’année 2012. C’est la minorité musulmane qui est ciblée. À la fin du mois de novembre dernier, le Major Muhammed Kiggundu et son garde du corps étaient froidement abattus dans la banlieue de Kampala. Treizième leader musulman tué en Ouganda depuis 2012, le religieux avait déjà échappé à deux tentatives de meurtre par le passé, mais sera finalement tombé sous les balles de mystérieux assassins, comme de nombreuses personnalités musulmanes avant lui. Chaque fois, c’est le même mode opératoire qui est observé : en moto, deux tueurs interviennent de préférence en début de soirée, mais aussi parfois en plein jour, s’arrêtent près du véhicule de leur victime sur laquelle ils tirent deux à cinq balles avant de prendre la fuite. D’autres imams ont même été abattus à leur domicile sous les yeux de leurs...

Dernier carnage successivent des civils dans la région de Beni àl'Est dela République Démocratique du Congo, quelques gens nous faire croire dans l'ignorance que, les ADF sont plus forts que le M23 :

Auteurs présumés des massacres en série sur la population du Grand Nord depuis plus de deux ans maintenant, les ADF, identifiés comme tel par le gouvernement congolais, affichent une résistance plus farouche encore que la puissante rébellion du M23, écrasée il y a 3 ans. Un rapport de force qui pose question. Alors que plusieurs rapports, dont le projet Enough, situaient les effectifs du M23 entre 1 500 et 1 700 hommes, les combattants ADF étaient quant à eux estimés entre 100 et 260 hommes environ d’après un rapport du groupe d’experts des Nations Unies publié en 2015. Moins nombreux mais plus coriaces que le M23 donc, les ADF opèrent depuis plus d’une décennie dans le Ruwenzori et n’ont jamais pu être totalement délogés de la région par les FARDC, malgré l’appui de la MONUSCO. Comment des combattants si peu nombreux peuvent-ils résister depuis si longtemps à une armée régulière ? À cette question, Julien Paluku, gouverneur de la province du Nord-Kivu, répond que les ADF connaissent ...

Dernier carnage successivent des civils dans la région de Beni àl'Est dela République Démocratique du Congo, quelques gens nous faire croire dans l'ignorance que, les ADF sont plus forts que le M23 :

Un rapport de force qui pose question. Alors que plusieurs rapports, dont le projet Enough, situaient les effectifs du M23 entre 1 500 et 1 700 hommes, les combattants ADF étaient quant à eux estimés entre 100 et 260 hommes environ d’après un rapport du groupe d’experts des Nations Unies publié en 2015. Moins nombreux mais plus coriaces que le M23 donc, les ADF opèrent depuis plus d’une décennie dans le Ruwenzori et n’ont jamais pu être totalement délogés de la région par les FARDC, malgré l’appui de la MONUSCO. Comment des combattants si peu nombreux peuvent-ils résister depuis si longtemps à une armée régulière ? À cette question, Julien Paluku, gouverneur de la province du Nord-Kivu, répond que les ADF connaissent la forêt mieux que quiconque, et qu’ils disposent d’une capacité importante à se ravitailler et à recruter de nouveaux éléments. Annoncés à l’agonie après les décès consécutifs du Colonel Mamadou Ndala et du Général Lucien Bahuma, tombeurs du M23, les rebelles ougandais s...

Deux jeunes garçons del'éthnie NANDE, ont été egorgés encore par un groupe armés, identifié aux inciviques des FDLR à NYANZALE, un village situé dans le térritoire de RUTSURU, province du Nord-Kivu àl'Est dela République Démocrtique du Congo selon une source dela société civile dela place. La cellule antiterroriste de la Véranda Mutsanga qui suit les choses de très prêt, vient d'etre alerté par ses antennes au niveau du territoire de RUCHURU-NYANZALE en ces termes : " dans cette nuit du 11 au 12/12/2016, deux jeunes garçons NANDE ont été tués egorgés comme des chèvres cette nuit à Nyanzale. Têtes, coeurs, parties intimes emportés. cet acte serai l'un des nombreuses actions envisagées par la branche armée hutu(nyatura-fdlr) dans le bwito. Il serait prevu plusieurs massacres à petit nombre(1,2, 3... personnes) pour essayer de camoufler son ampleur à caractère ethnique et ainsi taire des alertes mediatiques qui risquent d'indexer certaines autorités bien connues. Le cri chanté à nyanzale est " tukonavyo binande, bitakimbiya". N.B : La véranda Mutsanga qui a en fait deja des alertes dans ce sens de massacre à petit nombre, demande aux autorités de prendre leurs précautions, vue que les choses risquent de tourner au vinaigres dans les jours les plus proches" ! Un gouvernement qui ne fait que courrir derriere les evenements n'en est pas un ! Prévenir vaut mieux que guerrir :

Des mouvements des maï-maï signalés dans plusieurs endroits du territoire de Lubero Le week-end du 10 décembre, trois combattants ont tenu un meeting populaire dans le village de NGANE près de MUHANGI. Selon les habitants de ce village, ces miliciens parlaient de la date du 19 décembre 2016. Après un meeting d’environ 30 minutes, ces miliciens ont pris la direction de VUSAMBA. En route, ils ont tué un de leur vers le village de KIVULI. Son péché est d’avoir tenté de tatouer certains enfants sans la permission de ses pairs, renseignent les mêmes sources. La société civile de MUSIENENE a indiqué à Radio Moto Butembo-Beni que les deux autres combattants ont été maîtrisés par la police à MUSIENENE. Ces maï-maï seraient déjà au camp militaire de RUGHENDA pour instruction de leur dossier. Butembo : la Véranda Mutsanga démantèle un réseau des bandits de grand chemin caché en ville de BENI. La Véranda Mutsanga l’avait déjà dit que la ville de Butembo est souvent victime d’une barbarie des ...

Dans le térritoire de Rutshuru au N/Kivu vive tension s'observe entre Nande et Hutu dépuis le dimanche soir à la base, un jeune Nande de 15 ans, décapité par des Maï-Mai Hutu : Face à cette situation dernièrement, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme s’inquiète des violences intercommunautaires signalées ces derniers jours au Nord-Kivu. Dans un communiqué publié lundi 8 février, sa porte-parole, Cécile Pouilly, se dit « alarmée » par des informations faisant état d’une escalade des violences intercommunautaires dans les territoires de Lubero et Walikale. Des violences qui ont fait au moins 21 morts, 40 blessés et 70 maisons incendiées au cours du week-end passé. « Nous avons aussi reçu des rapports sur des déplacements massifs de civils, des pillages, des enlèvements et au moins trois viols au cours des derniers jours », note-t-elle. Depuis plusieurs jours, les membres des communautés Hutu et Nande s’affrontent dans certaines régions de la province du Nord-Kivu, occasionnant des morts dans les deux groupes ethniques :

« Dernièrement, les tensions entre les communautés hutu et nande, qui sont en hausse depuis novembre dernier, semblent avoir atteint un niveau alarmant avec ces derniers incidents et pourraient engendrer des violences à grande échelle et davantage de déplacements », déplore Cécile Pouilly. La porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme indique que les membres de ces deux communautés sont soutenus par des groupes armés. Les Hutus seraient soutenus par les FDLR alors que les Nandés bénéficieraientdu soutien des combattants traditionnels Maï-Maï. « Ce qui rend la situation potentiellementencore plus explosive », affirme Cécile Pouilly qui demande au gouvernement congolais de prendre toutes les mesures possibles pour garantir la protection des civils et éradiquer la menace des groupes armés. Deux voleurs des grands chemins ont été lapidés et un autre tabassé , en mort, par les habitants en colère au quartier Vutsundo en Ville de Butembo, au Nord-Kivu. L...