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Ingérence dans les affaires intérieur dela République Démocratique du Congo, et dossier, de violation des droits del' homme en ce jours, àla veil des élections, prévue vers la fin del' année 2016. l' Union européenne en couteau tiré avec le gouvernement. Dans une déclaration rendue publique le 8 mars 2016 au nom des pays membres, la délégation de l’Union Européenne en RDC avait invité le Gouvernement congolais à respecter les prescrits des lois congolaises et des conventions internationales auxquelles la RDC est partie en matière des droits de l’homme en général, et des libertés publiques en particulier, en cette période préélectorale. Cet appel avait résonné comme une accusation portée contre la RDC pour des atteintes aux droits de l’homme. Pour réagir à cette déclaration, le Gouvernement congolais, par la voix de son porte-parole, Lambert Mende, a recadré les européens en leurs rappelant le principe de la séparation des pouvoirs qui empêche au Gouvernement d’interférer dans l’administration de la justice.

Mende a souligné, en rapport avec les injonctions des occidentaux tendant à pousser les Congolais à chambouler l’ordre institutionnel, que «l’Etat de droit ne gagne rien lorsque les institutions qui en sont le socle sont systématiquement galvaudées, discréditées et en fin de compte fragilisées au lieu de bénéficier régulièrement d’informations pouvant leur permettre de mieux rendre à la communauté nationale les services qu’elle est en droit d’en attendre. D’où la nécessité d’une coopération positive qui reste notre principale revendication de la part de nos partenaires ». Ci-dessous l’intégralité de la déclaration de Lambert Mende. POINT DE PRESSE DU GOUVERNEMENT JEUDI 10 MARS 2016 Mesdames et Messieurs de la presse, À Deux jours de la célébration de la 41èmeédition de la journée internationale de la femme, je voudrais souhaiter un heureux mois de mars à toutes les Congolaises qui ne cessent d’œuvrer pour la dignité, la paix et le développement de notre pays. Mes vœux s’adressent...

Nord-Kivu : les habitants de la localité de Kise dans le térritoire de Rutsuru, sont pour le moment dans un climat des tension. D' après une source du président dela société civile Ville de Butembo, c'est suite à une nouvel attaque des rébélles idatifié au groupe des hommes armée des FDLR, samedi 12 mars 2016. Bilan, provisoire, fait état d' un chauffeur et son convoyeur tués, lors d'une embuscade d'un fuso tombé entre les mains de ces coupeurs de route. Signaions ici bas que, ce vehicule été en route de Vitchumbi pour le marché de Kibingu. Les camionneurs voullaient se rendre à KISE, 8 Km de KIBIRIZI, en passant par KIRIMA dans la chefferie de BWITO pour transporter les roseaux avant de recuperer les passagers à Kibingu au retour. La Monusco, aussi, appuie toutes les bonnes initiatives visant à mettre un terme au conflit entre les Nande et Hutu dans les territoires de Rutshuru et de Lubero au Nord-Kivu. Le porte-parole de la mission onusienne, Felix Prosper Basse l’a affirmé mercredi 9 mars, en réaction.

Conflit entre les Hutu et les Nande une mission de médiation et de sensibilisation composée des députés, de chefs coutumiers et de quelques représentants de la société civile sous la conduite de l’opposant Vital Kamhere, président de l’Union pour la nation congolaise (UNC). Intervenant lors de la conférence hebdomadaire de l’Onu à Kinshasa, Felix Prosper Basse a déclaré: «Au niveau de la Monusco, toutes les initiatives ont été lancées pour faciliter le dialogue intercommunautaire par les autorités provinciales, locales, coutumières et religieuses interposées. Nous appuyons aussi toutes les autorités et toutes les bonnes initiatives pour que très rapidement la coexistence pacifique qui a toujours prévalu puisse continuer.» Il a confirmé que la délégation conduite par Vital Kamhere était en train de sillonner aussi bien la province du Nord-Kivu que Kinshasa, pour que la paix revienne entre Nande et Hutu. « Cette délégation a rencontré le Représentant spécial du Secrétaire général des...

RDC : la tenue du dialogue toujours en faveur de la majorité présidentiel ? Ce forum national est incontournable selon un acteur politique. Pour quelques membres de l’ opposition républicaine, du président Leo Kengo Wa Dondo ce n’est plus le moment de se donner aux intérêts égoïstes. Le dialogue politique inclusif initié et convoqué par le Président de la République, Joseph Kabila Kabange, demeure incontournable, selon Hubert Mongane Mbaka, acteur politique de l’Opposition républicaine, au cours d’un point de presse, jeudi à Kinshasa « En tant qu’acteur politique, j’estime que nous devons nous référer au passé, car au regard de tout ce que le pays a connu comme troubles de guerre et autres manifestations sanglantes, ce n’est plus le moment de se donner aux intérêts égoïstes », a déclaré M. Mongane. Il s’agit, a-t-il poursuivi, d’avoir pitié de notre peuple qui a longtemps souffert suite aux guerres récurrentes, avec comme résultats : les violences sexuelles, les viols, les assassinats ainsi que les pillages.

Le Dialogue politique doit à tout prix se tenir dans un délai raisonnable, à savoir, en tenant compte des aspirations du peuple. Me Tunda Ya Kasende l’a dit en émettant un avis favorable au respect du délai constitutionnel qui doit provenir du peuple. Une équivoque qu’il a levée pour éclairer lanterne après le passage de Ban Ki-moon à Kinshasa. Vice-ministre honoraire des Affaires étrangères, Me Célestin Tunda Ya Kasende a suivi avec attention la récente tournée du Secrétaire général des Nations unies dans les Grands Lacs. Analyste politique et spécialiste de l’Afrique centrale, il commente le séjour de Ban Ki-moon dans la région, et particulièrement en République démocratique du Congo. A travers cette interview, ce fin connaisseur des Grands lacs met un accent particulier sur l’opportunité du Dialogue national inclusif et sur les échéances électorales en vue. Occasion aussi pour ce juriste rompu autant à la théorie qu’à la pratique du droit de lever l’équivoque sur la notion du déla...

RDC : Edem Kodjo à Kinshasa ce vendredi 11 mars ? Un voyage, pas comme les autres En effet, l’ex-secrétaire général de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA) Edem Kodjo a été désigné facilitateur dans la crise congolaise. Il revient à Kinshasa après quelques jours d’absence. Entre deux avions, vu la complexité de sa mission, le Togolais qui est membre du groupe des sages de l’UA ne veut pas prévariquer face à la charge lui confiée par Nkosazana Dlamini-Zuma, depuis le samedi 16 janvier 2016. C’est le lieu de le clamer tout haut, la présidente de la Commission de l’UA jouit dans cette désignation de la complicité de la communauté internationale. Et pour preuve, dans un communiqué conjoint daté du 16 février 2016 l’Union africaine (UA), les Nations-Unies (NU), l’Union européenne (UE) et l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) se référant à la désignation par l’UA d’un Envoyé spécial, en la personne de M. Edem Kodjo,pour entreprendre des consultations sur le dialogue politique envisagé en RDC.

Ainsi, se rend-il une fois encore à Kinshasa, un dernier virage couronnant les consultations menées au pays et à l’étranger en vue du lancement du dialogue. Pour ceux qui se posent encore des questions sur la désignation de M. Kodjo, il sied de noter que le Groupe des sages de l’Union africaine a pour rôle d’appuyer la Commission de l’UA en matière de prévention et de résolution des conflits sur le continent. Fermer les portes de l’arche Venu à Kinshasa 48 heures après sa nomination, M. Kodjo a rencontré les différentes parties congolaises dont les confessions religieuses, la classe politique, toutes tendances confondues, l’UDPS, la société civile, à l’exception du Front Citoyen 2016 et du G7 qui avaient décliné l’invitation de ce facilitateur. Après Kinshasa, il s’était ensuite rendu à Bruxelles où il avait eu un long entretien avec Etienne Tshisekedi, président national de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), à propos du dialogue. Cette rencontre a été un succès,...

OICHA : des dégâts matériels enregistrés après une forte pluie, accompagné des vents violent dans peu près de 15 minute dans l' après midi du vendredi, 11 mars 2016. La forte pluie qui s’est abattue, dans le chef-lieu du territoire de Beni au ( Nord-Kivu) a emporté des toitures de plus de cinquante maisons et quelques écoles primaire et sécondaire. L’on dénombre plus des victimes et beaucoup d’ entre eux sont en danger, s’inquiètent les habitants dela place. Pour la plupart, ont passé la nuit à la belle étoile. Le trafic, tout près du centre d' Oicha, sur le tronçon routier Beni Bunia, a été interropu momentanément est également coupée, empêchant ainsi tout passage, selon les témoins. La plupart des sinistrés ont trouvé refuge dans des églises et des écoles. Ils demandent aux autorités du gouvernement centrale, et aux humanitaires de leurs venir en aide le plus vite. A oicha, c’est les quartiers comme, Bakaiku, Masosi, et Pakanza qui ont enregistré le plus de dégâts, avec la déconstruction, des maisons. D' après une source des différents chefs des quartiers, plusieurs toitures, dont celles de trois écoles, à savoir: Institut Mabalako, Babwisi, et école primaire, Muungano ont été emportées par un vent violent qui a accompagné cette pluie que a ont fait plusieurs dégâts matériels. Des dizaines de bâtiments se sont écroulés. Deux hommes sont également étaient blessés, par des chévrots de part et d' autres. Des tôles des quelques, Cliniques, emporté, des malades démoralisé, des médcins aussi victime de ce pluies généralement accompagnées des vents violents.

Les habitants d' Oicha sont encore victime d' une nouvel catastrophe naturel habitantions des civiles endommagées, suite une forte pluie sur la commune rurale d' Oicha. Dix ans plus tars donc le 08 mars 2006 une pluie abondante accompagnée de vents très violents (ouragan) s’est abattue sur la plupart des villes, villages et cités dans le térriroire de Beni. Les effets de cet ouragan après la pluie été très particulière dramatique en vers la population dans la cité de Oïcha, chef lieu du territoire de Beni, ainsi que dans tous les villages avoisinants et ceux situés le long de l’axe Beni – Bunia, à savoir MayiMoya, Kokola, Eringeti… Rapport de la mission d’Evaluation à Oïcha aprèsla Catastrophedu 08 mars 2006 Contexte : Le mercredi 08 mars 2006la Journée Mondialedela Femmea été célébré de façon très tragique dans une grande partie du Nord-Est dela République Démocratiqued Congo. Une pluie abondante accompagnée de vents très violents (ouragan) s’est abattue sur la plupar...

Nord-Kivu Instabilité sociale entre les peuples dela même place : Les milices impliquées dans les conflits Nande-Hutu invitées à déposer les armes : Beni, 11/03/2016 / Politique Ces conflits ethniques préoccupent la Monusco dans la mesure où ils se sont aggravés ces derniers temps. La Monusco cherche à ramener la paix entre les deux ethnies qui s’entretuent dans la partie Nord du Nord-Kivu. La Mission onusienne en RDC met à contribution des forces vives de cette province. Les conflits opposant la communauté Nande à celle des Hutu, depuis novembre dernier au Nord-Kivu, préoccupent au plus haut point la Mission de l’organisation des Nations unies pour la stabilisation de la République démocratique du Congo (Monusco). Raison pour laquelle elle appelle toutes les milices qui incitent les deux communautés à la haine à déposer les armes. Le porte-parole de la Mission onusienne en RDC, Félix-Prosper Basse, l’a déclaré ce mercredi 9 mars au cours de la conférence de presse hebdomadaire de son institution à Kinshasa.

Selon une source locale au sud de Lubero, il semble, en effet, que, d’après un Député du coin, des Hutu, pour obtenir protection en territoire de Lubero, recourent aux FDLR / Interahamwe. Lesquels sont accusés de plusieurs exactions sur les populations civiles Nande dans la province du Nord-Kivu. La milice Nyatura serait responsable des tueries et exactions. Les statistiques sont assez éloquentes. Les victimes des massacres de Mikiri, Kasiki, Luhanga, Kwuto, Nyanzale, etc., sont toutes Nande, si l’on en croit l’Association culturelle Nande. A Beni et Butembo, plus de 1000 personnes, tous Nandes, ont été tuées à la machette et avec des haches, aucun Hutu n’a été enregistré parmi les victimes. Le kidnapping et les pillages des biens des Nande dans le parc Virunga depuis plus d’une décennie sont également la sale besogne des miliciens Hutu implantés en RDC. En bref, la Communauté Nande se présente en victime et non en bourreau. Crimes des Fdlr au Nord-Kivu : la Communauté Nande demande ...

Politique extérieur dela Rdc : Kinshasa souhaite ses partenaires étrangers à une “coopération positive” Le gouvernement “souhaite que les institutions nationales continuent à recevoir de ses partenaires de la communauté internationale un appui plus utile, qui lui permette d’améliorer les prestations” de ses institutions. Le gouvernement de la République démocratique du Congo a appelé jeudi à Kinshasa ses partenaires étrangers à faire preuve d’une “coopération positive”, deux jours après que l’Union européenne (UE) s’est déclarée préoccupée par les “harcèlements” d’opposants dans le pays. “La nécessité d’une coopération positive reste notre principale revendication de la part de nos partenaires” étrangers, a déclaré le ministre des Médias et porte-parole du gouvernement Lambert Mende lors d’une conférence de presse. Le gouvernement “souhaite que les institutions nationales continuent à recevoir de ses partenaires de la communauté internationale un appui plus utile, qui lui permette d’améliorer les prestations” de ses institutions.

Les Clinton reviennent à la Maison Blanche pour « finir le boulot de balkanisation dela République Démocratique du Congo en guerre dépuis... » La nouvelle n’a pas fait grand bruit, et pourtant elle devrait : Hilary Clinton est candidate à la présidence des Etats-Unis. Une information anodine mais qui pourrait être le point de départ des bouleversements géopolitiques catastrophiques dans la région des Grands Lacs. Pour rappel, c’est l’administration Clinton qui provoqua les deux Guerres du Congo derrière les présidents rwandais Paul Kagame et ougandais Yoweri Museveni, essentiellement autour de l’enjeu des gisements miniers congolais dont le coltan indispensable à la fabrication des nos téléphones portables. L’aventure meurtrière va causer la mort de six millions de Congolais, la moitié étant des enfants, et occasionné le viol de plus de cinq cent mille femmes. Si les temps ont changé, les objectifs stratégiques des Américains sur le Congo sont restés quasiment les mêmes, et ils sont te...

Élection des gouverneurs en Rdc toujours dans un climat des tensions entre la majorité, et l' opposition pour quel raison ? chaqun parle de son intérêt personnel et aublie les autres. Pour beaucoup de commentateurs à Kinshasa l’annonce faite par la CENI a fini par entamer le peu de crédibilité qui restait encore à la centrale électorale congolaise. Celle-ci a en effet assisté, sans aucune réaction, à l’activisme écrasant du ministère de l’intérieur tout au long du mois de juillet, au cours duquel le découpage territorial a été effectivement mis en place par les commissions constituées à cet effet. Le ministère de l’intérieur est allé jusqu’à annoncer «ses» dates pour l’élection des gouverneurs, entre fin juillet et début août. Une prérogative qui revient pourtant à la CENI en sa qualité de pouvoir organisateur des élections en République Démocratique du Congo. Le coup de grâce, s’il faut ainsi s’exprimer, est venu de l’annonce, mardi 28 juillet par la CENI, du report de la date de l’élection des gouverneurs.

L’empressement de la majorité pose en effet, au stade actuel, deux questions majeures à la classe politique congolaise ainsi qu’aux partenaires dans le processus électoral. La première relève de la problématique constitutionnelle : que deviennent, dans cette course, les nouveaux majeurs, dont le sort avait récemment «ému» même le chef de l’Etat, au point de l’amener, dans son adresse du 30 juin, à souhaiter que le dialogue permette, entre autres, de trancher en faveur de leur enrôlement. Aucun texte n’autorise, en effet, qu’une institution, un individu ou groupe d’individus, empêche des citoyens à part entière d’exercer leur devoir civique. La deuxième question est d’ordre politique. Le découpage des provinces a en effet redistribué les circonscriptions électorales sur l’ensemble du territoire national. Mais au-delà de ce redéploiement, il restera encore et toujours l’épineuse question de la redistribution du corps électoral – la fameuse cartographie - face au phénomène du nombre élev...

Le Conseil de sécurité « condamne fermement » le tir de fusée de la Corée du Nord. Un mois après son quatrième essai nucléaire, la Corée du Norda procédé, dimanche 7 février, à un tir de fusée, suscitant de vives réactions. L’engin est parti dans la matinée du pas de tir de Sohae à Tongchang-ri, dans le nord-ouest du pays, avant de suivreune trajectoire vers le sud. Le premier étage serait tombé en mer Jaune, à l’ouest de la péninsule coréenne, et la coiffe de la fusée au sud-ouest de l’île sud-coréenne de Jeju. Séoul et Washington cherchent à évaluerla réussite du tir, présenté par Pyongyang comme un lancement de satellite mais considéré à l’étranger comme un test de missile balistique à longue portée. L’engin pourrait avoirune portée de 10 000 km. Les responsables sud-coréens et américains de la Défense ont décidé d’ouvrir des pourparlers officiels sur le déploiement dans la péninsule coréenne d’un système de défense antimissiles américain auquel Pékin est fermement opposé, selon une source communiste.

C’est une nouvelle provocation qui a suscité immédiatement des réactions de la communauté internationale. Une fois la Corée du Nord a testé dimanche 7 février une fusée de longue portée, officiellement pour lancerun satellite de communication. Mais de nombreux experts estiment qu’il s’agit d’un essai de missile balistique intercontinental – une violation flagrante des résolutions de l’Organisation des Nations unies interdisant à Pyongyang tout programme nucléaireou balistique. Lire aussi Le Conseil de sécurité « condamne fermement » le tir de fusée de la Corée du Nord Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a demandé à Pyongyang de« cesser ses actions provocatrices ».Le Conseil de sécurité de l’ONU se réunira en urgence dimanche à partirde 11 heures (17 heures à Paris). Un système de défenseantimissiles en pourparlers Pour Washington, il s’agit d’une action« déstabilisatrice, provocatrice ». Ce lancement est« absolument intolérable », a dit à la presse le chef de go...

Les Nandes sont un peuple du sous groupe éthinque Bantous, arrivés, en Républiqque Démocratique Congo lors du mouvement migratoires dela population d' Afrique subsaharienne. Population Nande ont débarqué en provinence del' empire de Kitara, aujourd'hui une parti dela Région des grands Lac situant entre le Lac Albert et Edouard par vagues successives entre -2000 et 500, en provenance du Nigeria méridional. Aujourd' hui ils sont basé, dans les deux térritoires Beni et Lubero, àl' est dela République Démocratique du Congo, et aussi, dans une parti ouest del' Ouganda où ils sont appelés, les Konjo, et sont pour la plupart des commrçants , cultivateurs, et d'éléveurs. Les Nande, constituent dans les territoires de Beni et de Lubero, la population prédominante du point de vue numérique, sont originaires de Muhulungu sur la rive droite proche de la rivière Semliki, et de la côte Ouest du lac Edouard. Bien avant leurs installation dans ces montagnes, ils vinrent de Toro par le Busongora, il y a environs 200 ans.

Le peuple Nande parle le kinande ou Luyira ou konzo est une langue de la famille des langues bantoues, parlée par la population nande, l'un des multiples groupes ethniques de la République démocratique du Congo. Le kinande est parlé dans l'Est de la République démocratique du Congo et à l'Ouest de l' Ougandaoù les Wanande prennent le nom de Bakondjo ou Bakonzo. Comme toutes les langues bantoues, le kinande possède un vocabulaire large, majoritairement composés de mots construits en ajoutant des affixesà la racine. Sa particularité est d'avoir un préfixe d'infinitiferi-non apparentés auko-/ku-des autres langues bantoues. Vers la fin du XVIIIe siècle, les Nande, par diverses migrations successives, s'implantèrent dans les territoires administratifs de Beni et de Lubero, dans le Nord-Kivu, au Congo-Kinshasa. Le Père Lieven Bergmans, ancien missionnaire assomptionniste dans la région (1948-1976), situe leurs origines lointaines dans les grottes du Mont Elgon a...