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OPIRA : une accalmie de douleur s' observe dans cette localité, du térritoire de Beni. C'est suite à un nouveau combat, signalé, vers 4:00 tôt le matin, du samedi le 19 mars 2016 entre les Fardc, et un groupe des hommes armée, idatifié, aux Adf-Nalu, dans le groupement de Bambubha-Kisiki, Sécteur de Beni-Mbau. Le porte-parole des opérations Sokola1, lieutenant Mak Hazukay, affirme que la situation à Tungudu et Opira est « sous contrôle » des FARDC. Il indique que les affrontements ont coûté la vie à deux rebelles. Un militaire aurait également été grièvement blessé. D' après une source locale, les habitants de cette conté, ont entendu, des créputement des balles de, part, et d' autres, confirne, un civile dela place. À lui, d' ajouter que, cela a créé une panique totale au sein dela population, de cette localité, craignant, leurs vie sociale en danger des térroristes qui massacrent des civiles de Beni ville et térritoire. Mais d' autres sources ressegnent que, les forces loyalistes ont résisté, avec force contre ces aventuriers, qui troublent, encore la région de Beni. On nous informe pour le moment qu' un calme précaire s’observe dans les zones de combats où plusieurs localités restent sous contrôle des FARDC. D' après une source locale, les FARDC, ont repoussé, cette attaque des présumés ADF-Nalu avec des tactiques musclé. Soulignons ici bas, que, Village de Opira est situé, à plus ou moins 50 Kilomètres au nord-est de la ville de Beni sur le troçon routier Beni Kisangani. Ces rebelles ont tenté de s’emparer du camp de l’armée congolaise peut être dans l' objectif, de se ravitailler en munitions, armements et autres produits de consommation. Ils sont venus, du parc national des Virunga ont tenté sans succès de mener leurs incursion. Les FARDC basé sur place ont violemment, riposté dans des affrontements qui ont duré une vingtaine de minutes. Cela intervient après une attaque de ce même groupe armée, qui a fait état des deux morts au conté des rébélles, et une arme AK47 récuperé par les Fardc, aux mains des rébélles, à Mabanga, tout près d' une autre localité, de Makembi, une village, situé àl' est du centre commerciale d' ERINGETI, àla limite dela nouvel province del' Ituri, et celle du Nord-Kivu, le matin du mercredi 15 mars 2016. Ce jour là, des détonations des armes légère et lourde, ont été entendu, au font, dela Parc Nationale des Virunga. Selon une source de porte parole d' OPS sukula 1, le LTN Mac Azoukay, la Brigade de Défense principale del' armée nationale, a affronté les ADF-NALU, à environs 30 km au nord-est d’Oicha (chef-lieu du Territoire de Beni). Au cours de cette offensive de l’armée, les ennemis ont étaient complètement mis en déroute, après une serie de combat de quelques minutes entre les deux conté. À lui d' ajouté que, les terroristes sont, chassés, par la puissance du feu, et n’ont pas dit leurs dernier mot. Comme on le remarque. Ils ont été arrêtés dans leurs tentative par l’armée congolaise qui s’est mise à les poursuivre jusqu' en présent. Selon le président dela société civile d' ERINGET, mr BRAVO, le combat entre les deux conté, a provoqué une certaine panique dans plusieurs localités et villages du territoire de Beni où l’on rapporte l’intensification des mouvements des ADF-Nalu. Cette région est confrontée à une série d’attaques des présumés rebelles des ADF contre des localités, villages, et des grandes aglomérations en ce jours. Selon de source millitaire le Fardc, continue de traquer les inciviques avec le ratisage, après l' échec de leurs forfait sur le long dela route N¤4 mais jusqu'en présent c'est l'armée nationale Fardc qui contrôlent la situation sur térrain, après la fuite des Rébélles, égorgeurs des Adf-Nalu dans la brousse du parc Nationale des Virunga. Tout les millitaires étaient bien positioné dans leurs camp. Mais cete tentative a echoué grâce àl'intervation musclé des Fardc qui ont réagie avec des armes lourde et automatique. Les FARDC sont à la poursuite des assaillants, précisent ces sources. Selon la société civile, depuis 48 heures une panique est observée dans plusieurs localités et villages du territoire de Beni où l’on rapporte l’intensification des mouvements des ADF. D' après les autorités d' opération Sukula1, les FARDC vont poursuivrent leurs opérations contre les rebelles ougandais de l’ADF-Nalu au nord du territoire de Beni, dans la, province du Nord-Kivu. Ce qui explique une forte concentration des troupes de l’armée congolaise depuis le début du janvier dernière à Erengeti, Oicha, et Beni, Ville, Mbau, May Moya, Kokola, Tungudhu, Opira, Linzosisene, selon des habitants de ces contrées. En ce jours, une grande parti dela majorité population du territoire de Beni à 350 km au Nord de Goma (Nord-Kivu) recommande la poursuite des opérations militaires contre les rebelles ougandais des ADF. Elle a levé cette option à l’issue de quatre jours des consultations avec le gouverneur du Nord-Kivu Julien Paluku Kahongya qui tentait de comprendre les causes.

Les habitant, vivant au Nord-Est de Beni térritoire dénonce dépuis plusieurs semaines une recrudescence d’attaques meurtrières des ADF-NALU. Ils demandent àl ’armée congolaise soutenue par les Casques bleus de la Mission de l’ONU, en Rdc, de leurs, porté des coups sévères, et d' intensifier, une opération destinée à les anéantir les Adf. Selon la même source, les attaques ont d’abord vise des villages isolés de la région mais sont montées en puissance. Le 29 février dernier, la société dénonçait la mort de, 19 civiles, vraisemblablement tuées par de l’ADF-NALU à Mambabiyo et Ntombi, deux villages voisine de Oicha et Beni, ville. DES ACTES DE TÉRRORISME ET EMBUSCADES À NOS JOURS : 1. L’attaque des ADF-NALU contre la, populations civiles, ayant fait, 8 morts, plusieurs blessés, et d’importants dégâts, matériels à MUTWANGA (Chef lieu de la Collectivité de Ruwenzori) ; 2. L’embuscade ayant couté la vie à 9 civils et des dégâts matériels incalculables à LINZO-SISENE (2km-Sud d’Ering...

Processus électorale en Rdc : La CENI, fixe l’opinion sur l’invalidation des candidats indépendants. La Centrale électorale justifie l’irrecevabilité des dossiers des candidats indépendants par le fait qu’ils ont été présentés en concurrence avec les candidats émanant des regroupements politiques, MP, PALU, PANADER, AGIR, etc. Au regard du flou artistique entretenu quant à l’invalidation de certains candidats à l’élection des Gouverneurs et vice-gouverneurs la CENI a été obligée de briser le silence et de fixer l’opinion. La Centrale électorale justifie l’irrecevabilité des dossiers des candidats indépendants parce que présentés en concurrence avec les candidats émanant des regroupements politiques « Majorité Présidentielle (MP), Parti Lumumbiste Unifié (PALU), PANADER, AGIR, etc. En plus, comme ce scrutin fait partie du cycle électoral en cours 2011-2016 auquel un membre de l’ancienne CEI ne devrait pas participer Toutefois la Commission Electorale Nationale Indépendante rappelle à l’opinion que le scrutin pour l’élection des Gouverneurs, et leurs vice.

La majorité del ’opposition sur térritoire nationale, cherche la disqualification de la Ceni si cette revendication est acceptée la conséquence logique sera la remise à zéro du compteur Le temps alors de mettre en place le nouveau Bureau et de relancer la machine, il deviendra techniquement impossible d’organiser le scrutin présidentiel et législatif « à bonne date ». Par sa nature, la CENI n’a pas intérêt à se justifier outre mesure. Mais comme elle est une institution d’appui à la démocratie, lorsqu’au niveau de l’explication démocratique il y a cafouillage, confusion, hérésie, mauvaise foi, l’organe technique est obligé de sortir de son silence, pour clarifier les choses par rapport aux faits. Des constats La CENI, un peu comme la chèvre qui ne peut mordre que lorsqu’elle en a marre, a été obligée de s’exprimer, après avoir fait quelques constats. La CENI remarque malheureusement que certains élus du peuple votent les lois qu’ils ne maîtrisent pas, qu’ils ne lisent pas et lorsqu’o...

À vraie dire, les élections prévue vers la fin del' année 2016, sera organiser par la CENI ? Dans ces jours, on assiste à des manipulations au sein des classes politique de part et d' autres. Les autres parlent d' une trasition de deux ans pour mieux organiser les élections dans un climat politique apaisé del ' autre conté, la classe politique sont divisée, sur le dialogue national proposé par Joseph Kabila. La classe politique réagit diversement au dialogue national, préconisé par le président Joseph Kabila. Les uns sont pour et les autres le jugent inopportun. Le débat se développe depuis que le chef de l’Etat a récemment envoyé un émissaire notamment dans les états-majors de l’UDPS, MLC et l’UNC, trois grands partis politiques de l’opposition. Pour eux, «Nous devons aller aux élections pour sortir les députés provinciaux, les sénateurs et le gouverneurs. Par après, on ira tout en 2016 pour élire le président de la République au mois de novembre et les députés nationaux [...] Je refuse de penser que vous.»

Dans la région des Grands Lacs Africains, plusieurs régimes en fin de leurs mandat, se retrouvent dans ce cas d’espèce l’Ouganda, le Rwanda, le Burundi, le Congo et le Congo-Kinshasa. Au sujet du Congo-Kinshasa, la nomination de l’Américain Thomas Perriello comme envoyé spécial US suscite quelques appréhensions. A tort ou à raison. En essayant de parcourir la carrière internationale de ce monsieur, nous nous rendons compte qu’il a été un consultant dans certains pays où la justice transitionnelle a été mise en marche ( ?) après une langue période de guerre (ayant conduit, pour certains, à leur balkanisation) ; Kosovo (2003), Darfur (2005) et Afghanistan (2007). Pour rappel, récemment, la possibilité de l’implosion et de la balkanisation du Congo-Kinshasa fut évoquée par les élites universitaires américaines vers les années 1996. C’est-à-dire quelques six ans après le début de la guerre du FPR et son extension à toute la région des Grands Lacs Africains. Et plusieurs entreprises trans...

Deux morts au conté des rébélles, ougandais des Adf-Nalu, et une arme AK47 récuperé. Tel est le bilan, d' une nouvel attaque des Fardc contre une position de ces térroristes à Mabanga, une village, situé àl' est dela localité d' ERINGETI, tôt le matin du mercredi 15 mars 2016 dans le Sécteur de Beni-Mbau, en groupement de Bambubha-Kisiki, térritoire de Beni, province du Nord-Kivu. D' après les habitants de cette parti, des détonations des armes légère et lourde, ont été entendu, au font, dela Parc Nationale des Virunga. Selon une source de porte parole d' OPS sukula 1, le LTN Mac Azoukay, la Brigade de Défense principale del' armée nationale, a affronté les ADF-NALU, à environs 30 km au nord-est d’Oicha (chef-lieu du Territoire de Beni). Au cours de cette offensive de l’armée, les ennemis ont étaient complètement mis en déroute, après une serie de combat de quelques minutes entre les deux conté. À lui d' ajouté que, les terroristes sont, chassés, par la puissance du feu, et n’ont pas dit leurs dernier mot.

Adf-Nalu sur les traces de Boko Haram ? Grâce à leur dirigeant, Jamil Mukulu, un chrétien converti à l’islam, les ADF-Nalu ont cessé d’être un problème congolo-ougandais pour prendre une dimension régionale en tant qu’élément de la nébuleuse islamiste radicale en Afrique de l’Est. Toutefois, d’une part, il subsiste de nombreuses zones d’ombre sur les liens entre les ADF-Nalu et les organisations islamistes radicales de la région et, d’autre part, l’islamisme de ce groupe armé parait superficiel. Et dans la genèse faite du mouvement, le rapport relève qu’ en septembre 1995, à Beni dans la province congolaise du Nord Kivu, Yusuf Kabanda, un des dirigeants de l’opposition musulmane ougandaise armée, scelle avec le commandant Ali Ngaimoko de l’Armée nationale pour la libération de l’Ouganda (Nalu) une alliance dénommée les Forces démocratiques alliées-Armée nationale pour la libération de l’Ouganda (ADF-Nalu). Conclue hors de l’Ouganda avec l’aide des services secrets soudanais et congolai...

Dans quelques parti du Sécteur de Beni-Mbau, après l' évènement malheureux de carnage, les pygmées sont sur la trace des Adf-Nalu ? Selon une source de Jean Paul Ngahangondi le président nationale d' une ONG connue sous le nom de Convention pour le réspect des droits del' homme CRDH en sigle, dénonce, une serie des vols dela par du peuple des pygmées en se deguisant aux élélements du groupe rébélles des ADF-Nalu pour piller les biens de la population. Selon lui, les gygmées transformées aux égorgeurs avec des armes blanche ont investis les deux villages de MALIAJAME et KAMBAU en térritoire, de BENI la semaine ecoulée, poussant de cris simillaire des assaillants‪ ADF-Nalu‬. Les habitants de ces deux localités avec la peur au ventre ont fuit sans haisitations. Ces Prémiers citoyens dela République Démocratique du Congo, mal inttenssionés ont réçu à prendre en charge des biens de la population en fuite ,des animeaux de basse cour n'ont pas été epargner. Les enquêtes des agents, de l'ordre, ont tombés sur quelques hommes eskimos pendant qu'ils prenaient un verre de trop avec leurs butins. Ces malfrants sont déjà transférés en ville de BENI pour l'instruiction.

Cette nouvel éccursion des pygmées dans le Sécteur de Beni-Mbau, arrive après une serie des tensions qui s' observé entre les Nande, et communauté, Hutu, dans le sud du térritoire de Lubero, en ce jours. La fois passé, conflit Nande-Pygmées été résolu à l’amiable par le Kyaghanda Kikulu. Sous la médiation du Kyaghanda Kikulu de la Communauté Nande le conflit Nande-Pygmées qui avait éclaté le 27 septembre dernier à BIAKATO en Territoire de Mambasa District de l’Ituri Province Orientale à la suite d’un meurtre d’un pygmée voleur de riz a été résolu à l’amiable. Le lundi 3 octobre 2011 les trois communautés de BIAKATO, à savoir, les Pygmées, les BABILA et les NANDE s’étaient retrouvées sous la véranda de la palabre traditionnelle sous la médiation du Kyaghanda Kikulu représenté par Mr Rigobert Masimengo, Vice-président. et de Jackson Kalengero, Secrétaire Général. Etait aussi conviée à la palabre de la réconciliation entre Nande-Pygmées, l’ONG PAP (Programme d’Appui aux Pygmées) qui...

République Démocratique du Congo sera elle déstabiliser encore par les pays occidentaux en appuillant le mouvement Lucha et le Front citoyens 2016 ? Officiellement photojournaliste américaine basée actuellement à l’Est de la RDC, Diana Zeyneb Alhindawi travaille pour le compte, entre autres, de New York Times, Sunday Times Magazine, Al Jazeera/Usa, CNN, Le Monde, National Geographic Traveler, Geo Allemagne, Newsweek, Toronto Star, Paris Match et Marie Claire. Et la liste n’est pas exhaustive parce qu’elle loue également ses services à des agences et autres Ong internationales. Sa présence lors de la marche de la LUCHA à Goma est une nouvelle preuve de l’instrumentalisation, par les Occidentaux, de la jeunesse et de certains politiciens congolais, comme ce fut le cas à la Tshangu et à l’Île de Gorée, pour perpétrer un chaos en RDC avant les élections prévue en 2016. Encore une fois une main étrangère est apparue derrière les manifestations des mouvements dits « citoyens » en république démocratique du Congo.

La main étrangère évoquée ici était déjà présente le 15 mars 2015 (soit la même date que la manif’ de LUCHA à Goma cette année) à Tshangu où avaient été réunis des jeunes congolais de Kinshasa et de Goma réunis au sein des associations LUCHA et Filimbi. Les organismes américains USAID et NED, deux bras armés au service de la diplomatie hégémonique des USA, avaient été reconnus comme les soutiens organisationnels et financiers de cette rencontre dont l’objectif était de former ces jeunes aux techniques de subversion et de troubles publics. L’ambassade des USA à Kinshasa avait reconnu avoir financé la réunion de la Tshangu où avait également été interpellé le responsable en personne du programme sur la démocratie de la coopération de l’USAID en RDC. Quelques mois plus tard, soit le, des Congolais, acteurs politiques et de la société civile, se retrouveront à l’Île de Gorée, au Sénégal, pour un séminaire officiellement consacré à des échanges sur la démocratie, mais dont l’objet réel ét...

Beni, ville les gens dela MONUSCO de médiat dela place, forme les professionnels des médias au journalisme de paix A l’initiative de la Section de l’information publique de la MONUSCO-Beni, un atelier de formation, sur le “journalisme de paix”, à l’ intention des responsables des organes de presse s’est tenu les jeudi 11 et vendredi 12 mars 2016 à Beni. « Le journalisme de paix en ce jours » pour appréhender comment les hommes des media peuvent contribuer à restaurer la quiétude dans ce milieu en proie à des guerres récurrentes ! C’est en substance l’ambition affichée par les journalistes de Beni. Car si l’initiative de l’organisation de ces assises revient à la Section de l’information publique de la MONUSCO-Beni, le choix de ce thème émane de la presse locale consciente de son poids et du besoin de son implication dans la restauration de la paix. Deux jours durant, autour de thématiques aussi diverses que variées comme : la responsabilité sociale du journaliste ; journalisme d’investigation.

Deux jours durant, autour de thématiques aussi diverses que variées comme : la responsabilité sociale du journaliste ; journalisme d’investigation : importance et danger pour les journalistes en RDC ; traitement de l'information dans les zones de conflit; le rôle de la presse dans la construction de la paix... les participants, une vingtaine, ont débattu ! Les échanges ont été riches, fructueux, quelque fois vifs mais au final, la formation a débouché sur l’engagement fort des média de Beni à faire preuve de responsabilité et à ne pas jeter de "’huile sur le feu"… Les recommandations sorties de cette rencontre ont tourné, pour l’essentiel, autour, entre autres : -‎ du respect scrupuleux du code de bonne conduite du journaliste; -du renforcement de la pratique du journalisme de paix dans le traitement des informations‎ et dans la production des émissions ; -de la culture du sens des responsabilités au sein des organes de presse; -de la restitution de ce...

RDC : la population toujours dans l' entente du grand rendez vous du dialogue prévu, à Kinshasa tout est à savoir sur le nouveau dialogue entre Kabila et l’opposition. Moins de deux ans après les "concertations nationales", le président congolais, Joseph Kabila, se dit ouvert à un nouveau dialogue avec l'opposition. Testez notre application pour faire le point sur les positions et les revendications des diverses formations de l'opposition congolaise. À lire aussi RDC - Félix Tshisekedi : "Je n'irai pas à la mangeoire" En l’état actuel de la Constitution congolaise, Joseph Kabila – élu en 2006 et réélu en 2011 – ne peut pas briguer un nouveau mandat en 2016. Plus l’échéance approche, plus le climat politique devient délétère à Kinshasa. Bien qu’ayant abouti à un gouvernement dit de « cohésion nationale », les « concertations nationales », organisées début septembre 2013entre les représentants de la majorité d’une frange de partis d’opposition et de la société civile, n’ont pas permis d’apaiser les esprits.

À 9 mois de la présidentielle, le débat sur la réforme de la Constitution se résume à une seule question. Joseph Kabila pourra-t-il briguer un troisième mandat ? À la division de la classe politique répond le silence du président. Pour qui circule de jour sur le boulevard du 30-Juin, ruban triomphal de deux fois quatre voies où se croisent SUV dernier cri et autobus urbains flambant neufs importés d’Égypte, l’avenir paraît radieux. Pour qui se perd la nuit tombée dans les embouteillages de la Chine populaire, où les minicars hors d’âge bondés d’humanité s’engluent dans des hordes de piétons trompe-la-mort le long de l’axe menant à l’aéroport de Ndjili, le présent a les couleurs de la souffrance. Entre espoir et misère, ainsi vit Kinshasa, cette capitale-Moloch qui engloutit les hommes et les richesses d’un pays-continent dont elle concentre un septième de la population – soit dix millions d’habitants – sans rien lui rendre en retour. Pour les hommes de pouvoir, tenir Kinshasa suffit,...

Dans les classes politique en ce jours en Rdc, on assiste à une serie d' intoxication entre la majorité et l' opposition, de ne pas pouvoir prendre l’ancrage sociologique sur l’opinion nationale et après avoir échoué de convaincre les impérialistes occidentaux de leur popularité, les radicaux de l’opposition se livrent à présent à une communication clandestine visant à nuire à l’image du pouvoir et mettre les bâtons dans les roues des efforts vers le dialogue puis les élections. Tout communicologue sait que dans le nouveau village planétaire, la communication est devenue l’arme de toute conquête dans tous les domaines et dans toutes ses dimensions. Tel un couteau à double tranchant, cette communication a, cependant, ses revers quant aux objectifs qu’elle poursuit. De toutes les manières, en tant qu’outil de quête ou de conquête d’un objectif, la communication n’a pas à être mise en cause directement. Seul son utilisateur est comptable de ses effets suivant les visées qu’il entend atteindre en communiquant.

Les nuits et les aurores des Kinois et d’autres villes du pays ont aussi été peuplés des tracts d’origine jusque-là inconnue, pendant que, sur Internet, foisonnait la pratique des photoshop ou encore la mutilation de certaines déclarations pour retenir des mots d' intox, et des bouts de phrases qui, rassemblés autrement, donnent un message différent du contexte de son énoncé. Quant à savoir qui est l’auteur de ce genre de communication, il suffit de remonter aux années 2006 et, surtout, 2011 pour constater qu’aujourd’hui comme à ces époques, cette pratique de l’intox a largement été l’apanage des opposants, appuyés en cela par une certaine diaspora congolaise, mais aussi de certaines officines politico-affairistes de l’Occident pour déstabiliser le régime en place afin, au besoin, de le renverser même avant la fin de son mandat. Bref, on assiste, ces derniers, à une tentative d’application des expériences des « printemps » au Maghreb et en Afrique de l’Ouest avec, en appoint, un c...

Organisation des Élections en République Démocratique du Congo : Pour beaucoup de commentateurs à Kinshasa l’annonce faite par la CENI a fini par entamer le peu de crédibilité qui restait encore à la centrale électorale congolaise. Celle-ci a en effet assisté, sans aucune réaction à l’activisme écrasant du ministère de l’intérieur tout au long du mois de juillet au cours duquel le découpage territorial a été effectivement mis en place par les commissions constituées à cet effet. Le ministère de l’intérieur est allé jusqu’à annoncer «ses» dates pour l’élection des gouverneurs, entre fin juillet et début août. Une prérogative qui revient pourtant à la CENI en sa qualité de pouvoir organisateur des élections en République Démocratique du Congo. Le coup de grâce, s’il faut ainsi s’exprimer, est venu de l’annonce, mardi 28 juillet par la CENI, du report de la date de l’élection des gouverneurs une annonce qui intervient au moment où des fuites avaient déjà prévenu que cette option était celle du bureau politique.

La majorité aurait souhaité se donner un peu plus de temps pour évaluer la nouvelle situation, compter ses forces avant d’aller à l’assaut des nouvelles provinces ou de conclure des «deals» avec des partis politiques de la majorité ou de l’opposition soutenant l’option du dialogue. Le mauvais «timing» de l’annonce de la CENI a ainsi, malheureusement, confirmé les critiques de ceux qui ridiculisent une «CENI aux ordres de la majorité». La deuxième conséquence fâcheuse est la confirmation de l’analyse selon laquelle le calendrier électoral de la CENI n’est plus qu’un chiffon. Et que la concentration des élections locales, municipales, urbaines et provinciales, dans la meilleure des hypothèses fin 2015 et, au pire, courant 2016, repousserait ipso facto la présidentielle et les législatives nationales, à la fois faute d’argent et de temps. Une sorte de démonstration par l’absurde. D’autant que la CENI se sera elle-même fait hara-kiri. On peut, déjà, en faire le constat avec l’important r...