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INSTABILITÉ SOCIALE À RÉPÉTITION DELA SITUATION SÉCURITAIRE DANS LA PROVINCE DU NORD-KIVU EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO : Pour JEAN-MARIE RUNIGA, ex-président du M23, le mouvement rebelle qui s’est mué en parti politique ASP « Alliance pour le Salut du Peuple », il n’y aura pas un vrai dialogue qui ne puisse parler des questions sécuritaires de l’Est du pays. JEAN-MARIE RUNIGA considère qu’avant toute élection en RDC et sur les sujets à débattre dans ce 2e dialogue, il y a la question des anciens combattants du M23 qui sont toujours à l’extérieur du pays, la question des FDLR et d’autres groupes armés mais également la diaspora congolaise qui reste une épine dans le processus électoral en RDC. Le président du parti politique Alliance pour le Salut du Peuple ASP, agréé cette année en RDC, Jean-Marie RUNIGA, s’est confié à Magloire PALUKU depuis le Rwanda où il est en exile. Y a-t-il une tribu RWANDOPHONE au Congo ? Pourquoi le gens que nous avions accueilli pacifiquement se comporte depuis la nuit des temps comme « CAUSEUR DES TROUBLES » ???. Pouvez-vous nous dire que BENI-LUBERO où vous TUER LES AUTOCHTONES est plus fertile que RUTSURU ? Pouvez vous nous affirmer que c’est à BENI-LUBERO ou il ya plus des champs pour cultiver ? Connaissant que tous les congolais et étrangers ont droit à vivre partout, mais en respectant le droit de propriété de tout un chacun. (Je ne peux pas aller à Bukavu ou à Kampala et prendre par force la parcelle d’un autochtone ou un national, je dois acquérir la terre conformément à la loi foncière de la RDCongo ou du pays d’accueil comme tous les autres et vivre en paix), partout à Beni, Butembo, Bunia, Kinshasa,…il ya la communauté hutu, tutsi, nyanga, hema,…qui acquièrent les parcelles légalement, vivent, étudient…avec les autochtones sans aucunes contraintes, pourquoi pas vous autres ? POURQUOI VOUS PROVOQUER SOUVENT LA POPULATION AUTOCHTONE EN RECOLTANTS LEURS CULTURES DANS LEURS CHAMPS ? QUELLE ETHNIE PEUT TOLERER UNE TELLE BETISE ? Et quand on veut vous reprocher, vous nous menacer de mort jusqu’à passer à l’exécution ? Maintes personnes pensaient que vous étiez DES IMMORTELLES après le génocide que vous avez effectué sur les tutsis et vos confrères modérés au Rwanda à 1994 et que vous venez d’importer avec vous à Beni, Lubero et Rutsuru sur les peuples autochtones en la recherche par force du milieu de vie, mais hélas !! Vous êtes aussi mortelles comme l DES HUMAINS SONT MORTS A LUHANGA ET DES MOUCHE LES SONT A BENI (Victimisation des Hutu pour avoir la compassion de tous, comme leurs morts (34) paix à leurs âmes sont plus humain que les PLUS DE 2000NANDES ÉGORGÉS, MASSACRÉS, KIDNAPPÉS A BENI). Maint personne se demande depuis quand le LUBERO est devenu HUTU ? Depuis quand le WALIKALE est devenu NANDE ? Si le WALIKALE n'est jamais devenu NANDE mais pourquoi BENI-LUBERO va-t-il devenir RWANDOPHONE ?

Ce dernier temp au N/Kivu, les millitaires Fardc et les Maï Maï se regardent de plus à Bweghera et Vweteta! Les maï-maï ont été visibles la journée de mercredi 7 Décembre 2016 à BWEGHERA et VWETETA, deux localités situées au Sud-Ouest de Butembo en territoire de Lubero. Les habitants de ces deux entités se sont déplacés pour trouver refuge dans des zones supposés sécurisées. Selon notre source, l’arrivée des maï-maï a plongé à la population de BWEGHERA et VWETETA dans une panique générale. Informés de cette situation, les éléments des FARDC ont été déployés dans cette contrée. Et les maï-maï qui étaient sur place ont pris la direction de MUNOLI, affirment nos sources. Personne n’est encore au courant de la motivation qui a poussé les maï-maï dans de se retirer de ces deux villages du territoire de Lubero. Des combats entre NYATURA et groupe mai-mai NDC RENOVE ont été signalés dans les régions de KIKUKU en territoire de RUTSHURU et IHANA dans le WALIKALE. Les NYATURA auraient quitté...

Le nouveau dialogue politique de la dernière chance au sein des acteurs politique en République Démocratique du Congo, en vue avant la fin de la semaine ; La question de la gestion du pays après le 19 décembre, date marquant la fin du mandat présidentiel de Joseph Kabila, divise les deux camps. Les participants au dialogue, boycotté par une importante partie de l’opposition, avaient décidé que le président Kabila puisse rester en fonction et que l’élection du nouveau chef de l’Etat soit organisée en avril 2018. Ce round de négociations directes est l’ultime chance pour apaiser la très vive tension sociale qui s’observe en RDC, née de la non-tenue de la présidentielle dans le délai constitutionnel. Si ces échanges directs, comme les appellent la CENCO, entre les protagonistes de cette crise politique aiguë aboutissent. C’est alors qu’une rencontre historique au sommet entre Kabila et Tshisekedi pourrait se réaliser. (Lire le communiqué CENCO ci-dessous). La Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) annonce pour ce jeudi 8 décembre le début des discussions directes entre les participants au dialogue de la Cité de l'Union africaine et ceux qui n’y ont pas pris part. Les évêques catholiques ont fait savoir mercredi dernier qu’ils attendaient le dépôt des listes nominales des participants à ces travaux. «Du dépôt de ces listes nominales dépendra la suite des travaux», soulignent-ils. Les prélats catholiques font savoir qu’ils ont rencontré mardi dernier des représentants des composantes qui ont participé au dialogue de la Cité de l’Union africaine et celles qui n’y ont pas pris part. Le mercredi, la « journée a été consacrée aux contacts et au travail à l’interne», note un communiqué de la CENCO. Depuis la fin du dialogue le 18 octobre dernier, les évêques ont été chargés par le président Kabila de mener une mission de bons offices auprès des acteurs qui ont pris part à ce dialogue et ceux qui l’ont boycotté pour tenter de trouver un consensus. L'UDPS a boudé le "dialogue national" ayant débouché en octobre sur un accord entre la majorité présidentielle et une frange minoritaire de l'opposition consacrant le renvoi de la présidentielle à une date non fixée et le maintien au pouvoir de M. Kabila au-delà du 20 décembre en contrepartie de la nomination d'un Premier ministre issu de l'opposition. Le "Rassemblement" de l'opposition constitué autour de l'UDPS et une autre plateforme d'opposition formée à l'initiative du Mouvement de libération du Congo ont tous deux rejeté cet accord, exigeant un "véritable dialogue inclusif" dans l'esprit de la résolution du Conseil de sécurité sur le Congo votée en mars. Les négociations de la dernière chance devraient avoir lieu entre deux camps, l'un représentant les signataires de l'accord d'octobre, l'autre ses détracteurs, les évêques continuant leur "mission de bons offices". "On leur a demandé de présenter des listes de 15 personnes" chargée de négocier pour chaque camp, a dit à l'AFP l'abbé Masinganda. Du côté des signataires de l'accord d'octobre, Vital Kamerhe (opposition) et André-Alain Atundu (majorité) ont laissé entendre tous deux que les discussions devraient commencer vers "la fin de la semaine". Un porte-parole de l'UDPS a déclaré pour sa part que son parti avait fait "des concessions majeures" en vue de permettre cette table-ronde. Toutefois, le début de ce nouveau dialogue pourrait être retarder si les parties prenantes que sont notamment le Rassemblement, la Majorité présidentielle, l’opposition pro dialogue et le Front pour le Respect de la constitution, ne déposent pas à temps les listes nominales de leurs délégués respectifs à ce nouveau dialogue. Vital Kamerhe s’est déjà acquitté de cette tâche. On peut aisément penser que la journée de demain sera consacrée à la validation des mandats des délégués et si possible à l’adoption formelle de l’ordre du jour. Les principales familles politiques congolaises devraient se réunir avant la fin de la semaine pour des négociations de la dernière chance en vue d'une solution pacifique à la crise politique qui mine le pays, a-t-on appris mercredi de sources concordantes :

Le président Joséph Kabila reste là ! Et peut être il est aussi, sur les traces des président africains, comme Robert Mogabe, du Zimbabwe, Yoweri Kaguta Museveni, del'Ougand, Pierre Nkurunziza, de Burundi, Dénis Sasoungweso du Congo, Brazza, Ali Bongo Odimba, du Gabon, Paul Bia du Caméroon, et d'autres qui veulent diriger de 5 ans, jusque 40 ans, au pouvoir : À ce niveau d'étude, Kabila Joséph peut encore briguer, un troisième mandat ? Alors que, un groupe d'opposants en République Démocratique du Congo, veulent qu' il partirt le 19 décembre 2016 ! Mais à vraie dire ce n'est la réalité, selon les analystes politique nationaux, et internationaux ! Aujourd' hui, des quéstions se pose au sein des acteurs politique congolais, de part, et d'autres sur le départ ou pas del'actuel président dela République : mais selon Jean Paul Ngahangondi, un membre dela société civile en térritoire de Beni, la Cenco est trop mixte et sans position claire. Les évêques Con...

Un groupe des Maï Maï ont subi de plus la puissance du feu des millitaires Fardc, à Vitsumbi, une cité situé dans la partie Ouest du Lac Édouard, dans la province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo ! Etant donné que les groupes armés sont en train de se multiplier et d’insécuriser cette zone, nous voulons à ce que les FARDC soient plus permanentes dans cette zone pour que les habitants puissent être bien protégés et retourner dans leurs villages». Emile Muhombo un membre dela société civile dela place précise qu’en plus de la menace sécuritaire, les habitants de cette partie de Masisi éprouve d’énormes difficultés humanitaires, notamment le manque de nourriture, des soins médicaux et n’accèdent pas à leurs champs depuis plusieurs mois. Depuis plusieurs mois, les conflits intercommunautaires sont à l’origine de la détérioration de la situation de protection des civils, créant des besoins humanitaires dans les territoires de Lubero, Masisi, Rutshuru et Walikale. Cette situation ne favorise pas des évaluations des besoins humanitaires dans ces zones où les partenaires éprouvent d’énormes difficultés d’accès. UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs: To learn more about OCHA's activities, please visit http://unocha.org/. Selon des sources locales, le conflit entre le chef de ce groupe FDC, Luanda et un de ses adjoints, Tumusifu, qui venait de former une faction dissidente de FDC, avait été l’élément déclencheur de cette violence :

Nord-Kivu : la société civile de Vitsumbi qui nous a informé que, les millitaires Fardc lourdement armés ont mis en déroute un groupe des Maï Maï, après un combat, àl'arme lourde et légère, qui a commencé, vers 4heures locale du mardi, le 06 décembre 2016 ! Pour le moment, c'est l'armée qui contrôle la situation sur les différentes lignes des fronts ! Les forces armées de la RDC(FARDC) ont repris ce mardi 6 décembre dans la matinée le contrôle de la localité de Vitshumbi. Cette cité avait été attaquée quelques heures plus tôt par des Maï-Maï en provenance de Chondo et Chanika. Ces miliciens ont fait leurs entrée à partir du parc national de Virunga et du lac Edouard. Les Forces armées de la RDC basés dans ce coin, en petit nombre ont été obligées, de faire un repli stratégique, après quelques minutes d’affrontements, selon une source millitaire. C’est en ce moment que, les miliciens ont profité, pour investir Vitshumbi. Ces affrontements auraient fait trois morts, dont d...

Beaucoup de mobilisation, au sein des quelques acteurs politique del'opposition, avant, le 19 décembre 2016, pour l’éveil de conscience en République Démocratique du Congo doit désormais être pris en compte. La diversité de la manière dont cette mobilisation jaillit et la spontanéité par laquelle cette campagne embrasse le pays sont des signes manifestes que les esprits sont prêts à affronter toutes sortes d’adversité sur le chemin du changement attendu au 19 décembre prochain. ci-après un schéma que propose la LUCHA à cet effet : La LUCHA lance un appel à la résistance à partir du 19 décembre 2016, énumère la série d’actions citoyennes à entreprendre à cet effet en application de l’article 64 alinéa 1er de la constitution, et publie une liste de 35 principaux prédateurs de la démocratie et des droits de l’Homme en RDC, dont les biens et avoirs doivent être saisis. Au nom de l’Article 64 de la Constitution de la R.D. Congo, chaque congolais devrait faire preuve du patriotisme, et personne ne devrait se soustraire à cet élan général qui doit porter le pays vers une ère nouvelle, celle qui est appelée à s’ouvrir dès le 20 décembre prochain. Il est nécessaire de prouver dès maintenant que la misère, les massacres, l’oppression de tous genres, la corruption, les détournements, le pillage des ressources naturelles et du trésor public, le sacrifice des intérêts des nationaux au profit de l’étranger etc. et ceux qui s’efforcent de les imposer n’auront jamais le dernier mot sur le destin du peuple congolais :

Dans le térritoire de Beni, ont est vers, HUUU après l'annonce du rassemblement territoire de beni de l'_organisationd'une marche le 20_decembre pour demander le depart du president kabila a lui influgeant, un carton noir ! Pour sa part administrateur du Bernard amisi kalonda declare qu'il n'acceptera aucune manifestation, sur son entité car lui il ne pas sous mandat, il appel le rassemblement ala retenue. Dans le même sujet, Joséph Kabila appelle le Rassemblement à lancer un message d’apaisement le 19 décembre 2016 ! C'est à l’issue de l’audience qu’il a accordée ce lundi 5 décembre à la délégation de la CENCO conduite par son président l’archevêque de Kisangani Marcel Utembi, le président en a profité pour demander aux parties et organisations qui prônent la violence de lancer un appel à l’apaisement. Il l’a dit via un communiqué signé par son directeur de cabinet Néhémie Mwilanya. Au Sud du térritoire de Lubero toujours au Nord-Kivu, 19 mai-mai ont été appré...

Àl'Est dela République Démocratique du Congo, population de Butembo et environ traverse une période très difficile, ce dernier temp : Les mois de septembre, octobre et novembre 2016 auront été un véritable calvaire pour les habitants de Butembo et ses environs. En effet, les organisations de la société civile ont enregistré plus de 99 cas de violence sexuelle dont plus de19 en septembre, plus de 43 en octobre et plus de 37 en novembre 2016. Les victimes sont essentiellementdes filles mineures dont l'âge varie entre 12 et 17 ans et quelques fois des femmes majeures. Les faits sont commis la nuit par des hommes en armes à feu ou blanches (machettes) qui, pendant la commission de ces forfaits, se voilent les visages pour ne pas être identifié. Ces assaillants se livrent à l'extorsion de biens de grande valeur comme l'argent, des téléphones, quelques fois des écrans, des ordinateurs, des radios, des habits,... Certains acteurs de la société civile qui essayent de dénoncer ces faits sont victimes de multiples menaces sécuritaires de tous genres. Par ailleurs, les habitants des périphéries de la ville de Butembo, zones où s'effectuent les opérations de ratissage des maï-maï, continuent à décrier le vol des biens par certains éléments FARDC dans les zones d'opérations. Des animaux de la basse cour et le petit bétail (chèvres, moutons, porcs...) ne sont pas épargnés : ils sont emportés par ces militaires incontrôlés qui vont jusqu'à casser les portes des maisons abandonnées par la population fuyant des affrontements entre FARDC et maï-maï. Pendant ce temps, le nombre des déplacés non assistés ne cesse de croître en ville alors que les menaces sécuritaires continuent à peser sur Butembo et ses environs. A cet effet, nous demandons 1) Au parquet et à l'auditorat militaires: d'ouvrir les enquêtes sur ces faits afin d'identifier les auteurs de ces actes qui doivent répondre de leurs actes pour éviter que la population ne rompe le mariage entre civils et militaires; 2) A l'État congolais : de prendre la situation sécuritaire de l'Est au sérieux et d'indemniser les victimes de ces exactions en les remettant dans leurs droits; 3) Aux ONG humanitaires et aux personnes de bonne volontés: de venir en aides des victimes qui vivent dans des conditions très précaires ; 4) A la population : de barrer la route à tout ennemi de la paix en se désolidarisant de tous ceux qui sèment de l'insécurité.

Selon l'ONU, la situation sécuritaire se détériore depuis des mois au Nord-Kivu: dans les territoires de Beni, Lubero, Masisi, Rutshuru et Walikale, les enlèvements de travailleurs humanitaires et de civils et les attaques contre des convois ont augmenté, forçant souvent les organisations humanitaires à retarder l'acheminement de l'aide ou à suspendre ces opérations. Des milliers de civils paient un lourd tribut à la violence. Depuis octobre 2014, Beni et ses environs ont été frappés par une série de meurtres et de violations des droits de l'homme. Dans le sud de Lubero, la semaine dernière, des affrontements armés ont éclaté dans le village de Miriki, faisant 18 morts. Plus de 70.000 personnes ont été déplacées dans le sud de Lubero depuis la mi-novembre 2015. » Quand des organisations humanitaires chevronnées comme MSF décident de quitter une zone pour des raisons de sécurité, cela signifie que la situation est très préoccupante «, a déclaré M. Paulsen. Face à ce c...

Les bandits ont fait parlé encore d'eux, dans l'axe routier, Beni-Kivu au Nord-Kivu le dimanche dernier :

Des hommes lourdement armés, ont tendu une embuscade contre les passagers d' un engin roulant, dans l'avant midi du dimanche 04 décembre 2016, vers 11heures 30" sur axe routier Beni-Kasindi, dans la partie Nord-Est du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo : une embuscade tendue par des hommes armés supposés être des rebelles ougandais des ADF sur l’axe Beni – Kasindi, 80 km à l’est de la ville de Beni (Nord-Kivu). Il faut signaler qu’à la suite de l’état de délabrement avancé des routes dans la partie Nord de la Province empruntant le tronçon Butembo-Beni-Kasindi, long des 80 kms, d'où circulation, qui été bloquée, est redevenue fluide dans l’après-midi sur l’axe Beni – Kasindi, d’après la société civile provinciale. Aucun bilan de ces accrochages n’a été communiqué, mais del'argent des passagers ont été emportés de plus, par les inciviques non autrement identifié, qui courent encore dans la nature . L’embuscade aurait duré plusieurs heures avant l’assaut...

Au Nord-Kivu : un corps sans vie d'un bebe a été retrouvé a Kyamboho sur l'axe Butembo Musienne, dans la partie Est dela République Démocratique du Congo. Le papa du bébé en est l'auteur du crime commis volontairement apres altercation avec sa conquibine qui lui avait remis le bebe. L'homme est en fuite et sa conquibine est arrêté. Dans la même endroit, poursuite de sensibilisation de la campagne bye bye Kabila interdite par le maire adjoint de Butembo où les policiers ont été visible hier dans le coins chauds de la ville. Ce dénient temp un groupe des millitaires Fardc indisplinnés de plus, recoltent les vivres de champ de civils a Bulambo a Beni. Ces derniers exigent les cultivateurs de transporter la nourriture jusqu à leurs logique. Dans la partie Est de Beni-Ville, la police de Bulongo a démantelé un reseau des bandits voleurs à main armés. Les 11 voleurs armés ont été arrêtés, le samedi 03 décembre 2016, par les policiers dela place. Les deplaces de Luhanga, sud du territoire de Lubero vivent dans de conditions difficiles a Kiwanja, territoire de Rutshuru. Ils passent nuit dans l' eglise catholique de Buturande et d'autres dans des salles de classe :

Butembo, la mairie interdit les activités des collectifs Filimbi, LUCHA, Parlements Débout etc... Ces mouvements citoyens avaient prévus, d’organiser, une série d’activités pour rappeler au président de la République Joseph Kabila Kabange qu’il est fin mandat le 19 décembre 2016. Pour cè, ces mouvements ont rendu public un plan d’activités qui devraient être lancées ce samedi 03 décembre 2016 par une prière dans le cadre de la campagne BYE BYE KABILA. Selon le maire de Butembo, cette interdiction, est justifiée par la situation sécuritaire fragile autour de la ville de Butembo et même au sein de la ville. L’activisme des groupes Mai Mai a impacté négativement sur la sécurité de la Ville. Depuis bientôt 2 mois, des cas de vols à mains armées, viol, etc sont rapportés dans la ville et ses environs. Cette interdiction annoncée par les autorités de la ville de Butembo est perçue par les initiateurs des cette activités ainsi que les ONGs des droits humains comme un risque d’entrave aux ...

03 décembre de chaque année, partout dans le monde on célèbre la journée international d'Handicap :

Samedi 3 décembre est la 24e journée dédiée aux personnes vivant avec handicap. Aujourd' hui plusieurs handicapés le sont devenus après leur naissance à cause de la polio ou la rougeole et autres problèmes génétiques. D’autres encore ont connu des accidents au courant de leur vie pourtant nées sans handicap. A cotés des personnes vivant avec handicap qui mendient ou abandonnées, il y a ceux qui sortent de l’ordinaire inventent, créent des écoles ; sont des enseignants, acteur de développement et d’autres veulent même entrer dans la politique comme députés ou ministres. Nous vous proposons le témoignage d’une femme vivant avec handicap assez particulière, HORTENSE MALIRO, qui a créé une école appelée WE ARE THE WOLRD à BENI qui encadre aussi les enfants victimes de la guerre. Elle témoigne avoir réussi grâce à sa famille qui l’a aidée à comprendre sa condition et ce n’est pas un problème de vivre avec handicap. Plusieurs personnes vivant avec handicap chez nous, pour surmonter la s...

Un élève garçon à été tué lors d' une attaque des hommes armés, non autrement identifié, le jeudi dernier, 01 décembre 2016 dans la Chefferie des Walendu-Bindi, au Sud du térritoire d'Irmu, dans la province del'Ituri, vers l'extrême Nord-Est dela République Démocratique du Congo : il étaillet connu, sous le nom de Joël Bonde ! une multitude des gens l'ont accompagnés, dans sa dernière demeure assassiné ce jeudi a 20h heure locale a Munobi, 17 ans, d'âge révolu, et éleve a l'Institut abaka de gety, 5e biochimie, paix à son âme :

Prions pour la paix de notre pays. Précisement chez nous, dans la Chefferie des Walendu-Bindi, au Sud du térritoire d'Irumu, dans la province del'Ituri : dépuis des années, c'est sont des miliciens fils du milieu refractés, très cruels, sans aucune et moindre morale qui tuent ses frères, soeurs et parents pour des interets ignobles. Dans la soiré du jeudi 01 décembre 2016, vers 20heures locale, un élève del'Institut ABAKA de gety Mission, a été tué par un groupe des hommes armés jusqu'au dent. Après leurs forfait, ils se sont, volatilisés, dans la nature ! Dans le même régistre, à partir de Boga chez les Hema, on nous informe que, beaucoup d' eleveures ont décidés de récupérés leurs armes individuelle qui été cachés dernièrement, dans la brousse, pour cause, de contrer, les actes des pillages des bétails en répétion, dela part d'un groupe des milices du FRPI, selon une source dela société civile dela place, à lui, d'ajouter que, cette action vise pour ...

Bonne nouvel pour les familles de 7 habitants civile qui ont été enlevés, lors d'une nouvel incursion des rébélles du groupe Adf-Nalu, dernierèment, à Kainama, dans la partie Nord-Est du térritoire de Beni, en République Démocratique du Congo : selon une source dela RTM Oicha, qui vient de nous informé, dans son édition du journal de 19heures locale, en précisant que, les Adf ont libéres, sans condition nos frères qui étaient en captivité dépuis le lundi dernier le 27 novembre 2016, voilà, pendant la journée du jeudi 01 décembre, ils ont été rélachés ! Selon une source dela société civile dela place, tout ces gens, ont déclarés que, ils n'ont pas été torturés, pas de fouetage, ni de ligotage ! À lui d'ajouté que, tout les otages étaient en bonne santé, lors de rétours dans leurs localité Kainama ! Mais, malheuresement le chef de cette entité a perdu, son vie, àl'hôpital de Tchabi, suite à des blessures causé, par des balles tirés, par ce même groupe des rébélles ce jours là, ou six villages ont été attaqués simultanément par les ADF avec le pillage systématique d'un centre de santé de Kainama ! Les villages ciblés été notamment, Kainama, Kakuka, Manzati, Bango, Kpele et Kingamuviri, en Groupement Banande-Kainama, dans le Secteur de Beni-Mbau, au Nord-Est du Territoire de Beni. Selon les informations recueillies par le CEPADHO, les terroristes de l’ADF ont perpétré ces attaques à partir de 17h30 le soir de lundi 27 novembre courant, ou, ils ont opérés pendant environs 2 heures. Leurs cible principale était le Centre de santé de Kainama qu’ils devaient dépouiller de tout son stock en médicament. En effet, le Centre de santé de Kainama venait d’être approvisionné par la Zone de Santé d’Oicha. C’est juste après déchargement des stocks en médicaments reçus que les terroristes ont attaqué. Visiblement, ils suivaient tout le mouvement en rapport avec l’itinéraire de cet approvisionnement. Au cours de leur incursion, les ADF ont pillés de fond à comble le Centre de santé de Kainama : tous les médicaments ont été emportés, les équipements et les matelas de malades. Quant au bilan humain, nos sources parlent de 3 ADF tués lors des affrontements ainsi qu’un militaire-FARDCtombé sous les balles de l’ennemi au Centre de santé de Kainama où il était commis à la garde. Toute analyse faite, les ADF ont attaqué simultanément les 6 villages pour déconcerter les FARDC et couper la voie à tout éventuel renfort vers Kainama afin que le pillage du Centre de santé se passe paisiblement: une opération réussie par les rebelles. Pour le moment, la psychose règne dans les villages visités par les terroristes. Nombreux habitants de ces villages ont fuit massivement en destination de Boga et Tsabi dans le Territoire voisin d’Irumu, en province de l’Ituri. Un soldat des Forces armées de la RDC (FARDC) a été abattu et un autre blessé, la nuit dernière au cours d’une attaque des présumés rebelles ADF dans la localité de Kainama, située à 90 km de la ville de Beni (Nord-Kivu). Des sources de la société civile dans la région de Beni, ont rapportes que, les militaires ont tués trois assaillants, et récupéré une arme au terme de cette attaque selon une source dela Radiookapi. Avant l’intervention de l’armée, ces rebelles ougandais ont attaqué un centre de santé de Kainama, où ils ont emporté des médicaments, du matériel médical et les matelas avant de s’enfuir. Les militaires auraient ensuite poursuivi ces rebelles. Selon les mêmes sources, ces présumés ADF ont également attaqué les villages Bango, Manjati, Kakuka, Kingamuvuri et Kwele, voisins à Kainama. Les mêmes sources rapportent qu’un habitant de l’un des villages attaqués est porté disparu. Les habitants ont fui vers Tchabi et Boga dans la province voisine de l’Ituri. Cette nouvelle incursion des présumés ADF intervient le jour où l’administrateur du territoire de Beni, Amisi Kalonda, a débuté la campagne de sensibilisationcontre l’enrôlement des jeunes dans les groupes armés. Il a sillonné plusieurs villages et localités de Beni pour impliquer les notables, les leaders des confessions religieuses et plusieurs associations dans cette campagne. Depuis quelques jours, des groupes armés s’attaquent aux positions de l’armée et de la police dans cette région.

La présence des ADF-NALU dans la région de Beni, constitue un danger pour les populations riveraines, Voilà autant de menaces, autant de déstabilisationet autant d’agitation qui réduit les pauvres paysans autochtones à des déplacés perpétuels, sans aucune chance de trouver le moindre temps d’organiser les activités concourant à leurs subsistance. Cependant, face à toutes ces catastrophes, aucune mobilisation ne se dessine ni au niveau national ni dans la sphère internationale,pouvant rassurer d’un souci ou effort à organiser la protection des civils innocents ni à diligenter une enquête dans le sens de dénicher ces « mains sales » en œuvre et les mettre définitivement hors d’état de nuire. Malgré l’opération militaire »Sokola 1 » en cours, lancée contre ces éléments armés par les FARDC, ils continuent de multiplier des attaques et exactions contre des populations civiles. Face à cet état des choses, les populations locales appellent à cor et à cri le renforcement des unités des forces...