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'New Year 2017 ! Bye Bye 2016' s Eve Comet' et plus: Trois Flybys se lancent au large de 2017 Nouvel An : La «Comète du Nouvel An» qui traverse le ciel en décembre n'est pas le seul visiteur d'au-delà qui sonne dans la nouvelle année dans le quartier de la Terre. Mercredi (28 décembre), Jet Propulsion Laboratory de la NASA a tweetéune vidéo sur la comète 45P / Honda-Mrkos-Pajdušáková, qui a été de plus en plus plus important dans le ciel depuis décembre 15. Le réveillon du Nouvel An, la comète sera visible à travers une télescope ou des jumelles près du croissant de lune, arborant une tête bleuâtre-vert et mince, la queue en forme d' éventail, les chercheurs de la NASA ont dit ! La mission NEOWISE de la NASA a détecté une comète définitive qui passera par la Terre dans la première semaine de 2017, ainsi qu'un second objet céleste, qui pourrait être soit une comète ou un astéroïde, qui passera également par :

Dites adieu à 2016 dans le style cosmique en regardant pour voir le #NewYearsEve #cometle 31 Décembre pic.twitter.com/3xaehGj0IQ- NASA JPL (@NASAJPL) Décembre 28, 2016 La première comète de la nouvelle année, appelé C / 2016 U1 NEOWISE, a été détectée par la mission de NEOWISE dela NASAen Octobre et sera probablement visible de l' hémisphère nord de la Terre au cours de la première semaine de 2017. "Il se déplace plus au sud chaque jour, et il atteindra son point le plus proche du soleil, à l'intérieur de l'orbite de Mercure, le 14 janvier, avant de retourner à l'extérieur du système solaire pour une orbite de milliers d'années , "responsables de la NASA dans un communiqué. Bien que les observateurs de sky qui utilisent une «bonne paire de jumelles» aient la chance de repérer C / 2016 U1 NEOWISE au passage de la Terre, la visibilité dépend beaucoup de la luminosité imprévisible de la comète, Paul Chodas, directeur du Centre d'études d'objets p...

Localité de MATIBA situé en térritoire de Beni, a été attaqués de nouveau, par les rébélles des Adf-Nalu, pendant, la journée du vendredi, 30 décembre, d'où, ils continuent, à tués les pauvres citoyens, dépuis des années, dans cette partie dela provincee du Nord-Kivu : dans un autre chapitre d'information, cinq morts sont enregistrés, dans une attaque contre l'armée, dans l'est dela République Démocratique du Congo, en proie des massacres, vols, incendies, et des déplacement massif dela population, victimes de plus en plus, à répétion dépuis des années :

Trois morts, et un autre personne porté disparu, encore, une fois de plus, tout cela porte les signatures des Adf-Nalu : c'est le bilan, d'une nouvel attaque d'un groupe des rébélles étrangers, des Islamistes Radicaux, à MATIBA, un village situé, dans la partie #Est d' Oicha, chef lieu du térritoire de BENI, victime des massacres en cours, dépuis, octobre 2014 : selon la Radio Moto Oicha qui est notre source, qui nous a informé, en disant que, les trois victimes de nouveau carnage étaient, au nombre de quatres tous, les habitants de Mbau, qui se sont rendu, dans leurs champs, pour récotés des vivres, et non vivres! Mais par mal chance, ils ont été décapités, sauvagement, àla machettes, dans la journée du vendredi 30 décembre 2016 ! Dans la même journée du vendredi, les trois corps ont été ramènés à Mbau ! Et un autre groupe des habitants sont parti, àla récherche d'un autre personne qui serait, toujours en captivité, aux mains des inciviques qui endeullent de plus...

Le gouverneur de province du Nord-Kivu, Julien Paluku a, dans une conférence de presse clôturant l’année 2016, lancé une interpellation commune à toutes les couches sociopolitiques au vue de la situation peu reluisante qui a caractérisé cette province au cours de l’année 2016 partant de la détérioration du tissu socioéconomique. Le tableau peu luisant du Nord-Kivu en 2016 interpelle tout les Congolais, selon Julien Paluku. Il s’agit d’une autopsie générale centrée sur la situation sécuritaire, politique et économique ayant prévalue dans sa juridiction durant l’année finissante qu’a faite le Chef de l’Exécutif au Nord-Kivu qui, à cette occasion, a fustigé la résurgence des groupes armés, pour la plupart, œuvre d’une certaine classe d’opportunistes :

Il a ainsi avisé que « tout ce tableau sombre et noir nous interpelle » et doit susciter dans le chef de tout un chacun le sens du patriotisme au vu du virage que venait de prendre la RDC avant d’en appeler à une introspection au cours de l’année 2017 en vue de savoir les causes profondes de cette situation qui a freiné l’élan de reconstruction du Nord-Kivu. Abordant la question de l’heure marquée par les discutions entre les signataires de l’Accord de la Cité de l’Union africaine et les membres du Rassemblement, le Gouverneur Julien Paluku a encouragé la Conférence des Évêques du Congo (CENCO) surtout qu’en son temps, au début de cette année finissante, il était le Premier à prôner la voix du dialogue. « Il s’agit de la seule voix de ne pas conduire les Congolais droit au mur ». Le respect de la Constitution dans toutes ses dispositions, le cap vers les élections dispensées de tout germe de conflit et l’alternance au pouvoir voulue par toutes les parties, telles sont les orientation...

Encore des morts au conté des habitants civils, dans le térritoire de Lubero, dans le matin du vendredi 30 décembre 2016 ! Des miliciens Maï-Maï Mazembe ont fait une incursion tôt ce vendredi 30 décembre 2016 à Kasando s’attaquant à une position de l’armée congolaise (FARDC) dans la province du Nord-Kivu, vers l'Est dela République Démocratique du Congo :

Des miliciens Maï-Maï Mazembe ont fait une incursion tôt ce vendredi 30 décembre 2016 à Kasando s’attaquant à une position de l’armée congolaise (FARDC) dans la province du Nord-Kivu. Kasando est un quartier situé sur une colline entre la cité de Kirumba et celle de Kaina, à plus ou moins 80 kilomètres au Sud du territoire de Lubero. «Les Maï-Maï Mazembe ont attaqué l’état-major des militaires de 3401 régiment à Kasando, c’est près de Kirumba. Mais l’armée a repoussé cette attaque. Présentement, la situation est calme. Comme l’attaque a eu lieu très tôt, les habitants sont restés terrés dans leurs maisons. Seuls ceux qui habitent dans des localités éloignés de Kasando ont pu sortir», a témoigné un habitant de Kasando au téléphone d’ACTUALITE.CD. L’armée donne un bilan provisoire quatre personnes tuées dont un militaire et trois miliciens et plusieurs blessés. Pour sa part, Julien Paluku, gouverneur du Nord-Kivu, donne un bilan de cinq morts dont trois miliciens, deux militaires et q...

Au moins 5 otages enlevés dernièrement par des rébélles du groupe ADF-NALU, ont été libérés par les millitaires Fardc lors d'un combat, entre les soldats loyalistes, et ce même rébélles, dans la journée du mercredi 28 décembre 2016, dans la partie Nord-Ouest du térritoire de Beni, vers l'Est dela République Démocratique du Congo d'où, l'armée congolaise (FARDC) a annoncé, à travers l’opération Sokola 1, la libération d’au moins cinq otages des mains des rebelles ougandais ADF dans le territoire de Beni (Nord-Kivu), selon Mac Azukay, le porte parole d'opération Sukula 1 :

«Trois otages dont deux femmes libérés mercredi 28 décembre par les Fardc des griffes des Adf qui avaient tué nos compatriotes près de Samboko et Ngahunde (Province de l’Ituri) sont arrivés ce matin à Eringeti. D’autres otages ont préféré regagner leur milieu naturel», indique le porte-parole de l’armée. Le capitaine Mak Hazukay annonce la publication imminente du bilan des otages libérés des mains des ADF à Beni au cours de l’année 2016 «Je vais mettre à la disposition du public les statistiques des personnes libérées par l’armée. Nous avons également pris des dispositions en cette période de fin d’année. Samboko et d’autres localités attaquées l’autre fois étaient pourtant sécurisées mais l’ennemi a débordé vers la province voisine de l’Ituri» L’opération Sokola 1 dit également établi une étroite collaboration avec les unités de l’armée opérant en Ituri en vue d’étouffer la progression des ADF dans la forêt. L’armée congolaise (FARDC) annonce, à travers l’opération Sokola 1, la li...

Nouveaux massacres des civils sont signalé, encore une fois, dans plusieurs villages, au Sud du térritoire d'Irumu, précisement, àl'Ouest dela localité d'Eringeti, en République Démocratique du Congo, province del'Ituri, selon un membre dela société civile locale contacté, par votre rédaction, dans la journée du mercredi 28 décembre del'année en cours ! Selon la même source, ces actes des crimes contre l'humanité, en cours dans cette endroit, porte les signatures des inciviques des rébélles Islamistes radicaux étrangers, toujours présent, dans le térritoire de Beni, à partir du quel, ils mènent des attaques meurtrière, contre les habitants civils de part, et d'autres, dépuis année, 2014 :

Les rébélles étrangers des Adf-Nalu, attaqués de nouveau, plusieurs localités de Samboko, au conté Sud-Ouest dela province del'Ituri, tout près de la partie Nord-Ouest du térritoire de Beni, selon, le chef d'antenne d'une ONG, la CRDH SAMBOKO monsieur MUPANDA +243851068890 . L'événement malheureux s'est, déroulé, dans la nuit du mardi au mercredi 28 décembre 2016. Bilan provisoire fait état de trois civils massacrés, àl' armes blanche ! Au dernière nouvel nous avons apris que, la population vivant dans ce village, sont en débandade généralisee ! La plus part d'entre eux, sont entrain de quitter Samboko pour cause d y ne pas être victimes des carnages en cours dans la région de Beni, en proie d'insécurité grandissante d'où plus de milles personnes ont perdu leurs vie dépuis octobre 2014, à ce jours. Dernièrement, au moins 49 civils ont été tués au Nord-Kivu pendant le weekend de Noël. Dans le territoire de Beni (nord de la province), un massacre imp...

Dans la partie Est dela République Démocratique du Congo, en ce jour, la Ville de Goma volcanique, entre résignation et révolte. Près de quinze ans après la grande éruption du volcan Nyiragongo et quatre ans après l’offensive de la rébellion du M23, Goma continue de panser ses plaies. Entre résilience et reconstruction à deux vitesses, la grande ville de l’Est de la République démocratique du Congo reste en ébullition. Reportage de Mehdi Meddeb et Maxime Souville :

Goma la ruche continue à tournoyer au pied de ses volcans, Nyiaragongo et Nyiamulagira, situés à 20 km à peine. Tout le monde reste sur ses gardes, de Maman Cheka, la casseuse de pierres, à Ruhara, le tshukudeur (conducteur de grande trottinette congolaise), en passant par les milliers d’employés des ONG et de la Mission de l’ ONUpour la stabilisation de la RDC (MONUSCO), dont le centre de la mission est situé à Goma. La menace des volcans, dont l’activité connaît un regain d’activité ces derniers temps, paraît secondaire ces derniers temps. Car le 19 décembre, Goma et le pays, la RDC, plongeront dans l’inconnu. D’un côté les volcans, de l’autre le lac Kivu. Aujourd’hui, une paix fragile, hier, la guerre et les rébellions. Goma compose avec ces pôles extrêmes. Aujourd’hui en pleine reconstruction, la grande ville du Nord-Kivu, à l'est de la République démocratique du Congo (RDC), est en ébullition permanente, vivant sous des menaces multiples : éruptions volcaniques, explosion d...

Un calme de douleur s'observe au sein des habitants civils à Nyanzale, une localité situé dans la province du Nord-Kivu, àl'Est dela République Démocratique du Congo, après l’incursion meurtrière des mai-mai qui a causé, une dizaine de morts le jour de Noel Nyanzale est une localité de la chefferie de Bwito en Territoire de Rutshuru au Nord-Kivu. "Les victimes sont toutes hutu. Il y a une fillette de huit ans, un père de famille, le reste sont des femmes", s'est contenté de détailler à l'AFP M. Mahano. "Les maï-maï Mazembe [milice nande] et leurs alliés sont venus attaquer Nyanzale dimanche matin. L'armée est intervenue pour rétablir l'ordre", a déclaré le porte-parole local de l'armée, le major Guillaume Djike, selon qui les combats se sont déroulés entre 05H00 et 07H00 du matin. Six miliciens Mazembe ont été tués, a-t-il ajouté. Nyanzale est une localité peuplée majoritairement de Hutu. Au total, au moins 35 civils ont été tués au Nord-Kivu pendant le weekend de Noël. Dans le territoire de Beni (nord de la province), un massacre imputé par les autorités à une rébellion ougandaise musulmane a fait au moins 22 morts à Eringeti et dans ses environs. L'antagonisme entre communautés hutu et nande est exacerbé depuis plus d'un an par une série d'attaques de villages par des milices de chaque camp dans une zone couvrant les confins des territoires de Rutshuru, Lubero et Masisi, dans le centre du Nord-Kivu. Les Hutu, rwandophones, sont largement tenus pour des étrangers par les communautés se considérant comme "autochtones" dans cette région, comme les Nande ou les Hunde. Cette querelle sur la "nationalité" se superpose à des conflits fonciers liés à une migration vers le nord de cultivateurs hutu contraints d'abandonner leur terre du Sud de la province pour des raisons économiques liées au prix du foncier ou sous la pression de grands propriétaires :

La fois passé à KATAMNGA-MBALALA après que des mai-mai ont institué un impôt mensuel Disons d’emblée que les habitants de KATANGA-MBALALA et environs ont passé la fête de Noël sous un climat de timidité. Ils sont frustrés par la présence des miliciens maï-maï depuis environ un mois.Ces citoyens du territoire de Lubero au Nord-Kivu craignent que les hostilités entre ces miliciens et les combattants FDLR rébondissent. En effet, des combattants FDLR avaient dernièrement été repoussés dans la forêt après leur défaite sur les collines de SENGA. Pour asseoir leur suprématie, les maï-maï ont institué un payement obligatoire d’un impôt mensuel. Il s’élève à mille francs congolais. Déjà tous les habitants de VUYINGA et KATANGA ont payé chacun sa somme le vendredi 23 décembre pour le compte du mois de décembre 2016. Notre informateur sur place a indiqué qu’un timbre est remis à celui qui a payé. Pour le moment, il est difficile de prédire le sort des contrevenants car les faiseurs de la loi on...

Les tueries et barbares en cours perpétrées, à répétition, contre les civils dans le térritoire de Beni àl'Est dela République Démocratique du Congo, ont commencé depuis la fin octobre 2014. Le bilan actuel s’élève à plus de mille de morts au conté des habitants civils qui sont les victimes de plus en plus. Les ONG de défense des droits del'home exhortent le gouvernement de la RDC, à intensifier ses efforts pour protéger les civils, enquêter sur ces violations graves du droit international et garantir que les auteurs de violations et d’abus soient traduits en justice « , a-t-elle ajouté. DECLARATION SUR LES MASSACRES PERPETRES PAR LES PRESUMES ADF/NALU DU 17 AU 26/12/2016 L’Organisation de défense des droits de l’homme CRDH, constate avec regret que la situation sécuritaire de Beni Territoire continue à se détériorer d’avantage malgré la session de la Zone Opérationnelle en deux. Pratiquement cette session ne contribue à rien pour faire face à l’ennemi car l’armée Congolaise continue à jouer sur terrain à la défensive qu’à l’offensive, une stratégie qui a prouvé plusieurs défaillances dans cette opération Sokola 1. C’est dans cette optique que, l’axe Oïcha-Eringeti fait face à des multiples incursions des rebelles traditionnellesde la zone qui tuent impuissamment la population civile abandonnée à son triste sort par le gouvernement à travers ses services spécialisés qui semble oublier son rôle traditionnel. Les cas ci-dessous ont été observés dans moins d’une semaine : A BUNAKE : le 17/12/2016, deux personnes ont été tué par machette alors qu’ils se rendaient aux champs ; MANZAMAPINI environs 3 Km de l’Est d’Eringeti centre : le 24/12/2016, 10 personnes ont été tué par machette et balle, 1 personne blessée par balle et 8 autres portées disparues; NTOMBI environs 7 Km de May Moya centre à l’Ouest, dans la nuit du 24 au 25/12/2016, 12 personnes ont été tué par machette et balle, 1 personne blessée par un métal ; OÏCHA : Le 25/12/2016, Incursion de présumés ADF-NALU aux environs de 16 h 30 minutes ; un mort par crise cardiaque ; MAY MOYA : le 26/12/2016, une personne tuée par balle lorsqu’il se rendait au champ. Vu les cas énumérés ci-haut : Nous exigeons au gouvernement de la RDC à travers ces services spécialisés de prendre les choses au sérieux et surtout à l’armée de changer sa technique de défense que nous ne cessons de déplorer son inefficacité sur terrain ; A la population de rester vigilante et de suivre de très près la situation. Fait à Oïcha, Le 26 /12/2016 Pour l’ONGDH/Convention pour le Respect des Droits Humains, Coordination Nationale à Oïcha. =Maître PALUKU NGAHANGONDI Jean Paul= Pour la VSV, aussi, ces tueries constituent des actes terroristes frisant le crime de guerre et crime contre l’humanité relevant de la compétence de la Cour Pénale Internationale (CPI). A en croire l’Ongdh, de tels massacres à répétition considérés comme des actes terroristes, devraient mobiliser le sommet des Etats et amener la communauté internationale à s’impliquer effectivement afin de prendre des mesures contraignantes contre leurs auteurs et commanditaires.

Massacres à répétition dans la région de Beni/Nord-Kivu : Le gouvernement et la communauté internationale appelés à plus d’engagement ! Cet appel émane de la VSV qui constate que ces attaques bénéficieraient d’une certaine complicité interne et externe Dans un communiqué daté du lundi 15 août 2016, la Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV), une organisation non gouvernementale de défense et de promotion des droits de l’homme en RDC, se dit choquée et consternée par le énième massacre dont la population de Béni, au Nord Kivu, a fait l’objet samedi 13 août 2016 de la part des hommes assimilés aux rebelles ougandais d’ADF/NALU. Face aux massacres à répétition dont est victime la population, l’Ongdh en appelle au gouvernement de la RDC et à la communauté internationale à plus d’engagement pour sécuriser cette population meurtrie de Beni et ses environs. La VSV recommande aux autorités congolaises de faire montre de plus d’engagement et de détermination en prenant à tous les ...

Après le dernier nouveau carnages dans la région de Beni : le bilan revu à la hausse (25 morts) :

Ce bilan est revu à la hausse, contrairement aux neuf morts annoncés samedi 24 décembre, indique l’administrateur du territoire de Beni Amisi Kalonda. Mais il précise que ce bilan reste provisoire. L’administrate ur du territoire de Beni invite les populations vivant dans les villages non couverts par l’armée à les quitter. Ces populations « sont priées de se rendre dans des villages protégés par des positions des FARDC », indique-t-il. Réagissant à cette nouvelle tuerie, le président de la société civile de Beni-ville, Gilbert Kambale se dit consterné : «C’est vraiment la consternation. Nous passons cette fête de noël dans le deuil. Nous sommes dans une situation difficile et on se demande comment les élections vont se passer au moment où les gens sont en train d’être tués et d’autres en train de fuir leurs villages». Le capitaine Mack Azukayi, porte-parole des opérations Sokola I, confirme l’information de ce massacre. Il renseigne qu’au cours des poursuites des assaillants,...