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Une accalmie preccaire s'observe dans la localité de KABASHA et ses environs, situés au Sud-Est du térritoire Beni, dans la province du Nord-Kivu, ou l‘armée avait pourtant annoncé samedi dernier, en fin de journée avoir repris le contrôle de la localité de Kabasha, à 24 kilomètres au sud de la ville de Beni, après avoir utilisé des armes lourdes contre des miliciens d’un groupe Maï-Maï non identifié. Des combats ont repris dimanche, dans les après-midi. « Les combats ont repris à Kabasha (dimanche) depuis 15H30 (13H30 GMT) contre des Maï-Maï, dont l’appartenance ethnique n’est toujours pas connue. Nous avons dépêché des troupes en renfort sur place« , a déclaré à l’AFP le lieutenant Jules Tshikudi, l’un des porte-parole de l’armée dans cette région, sans préciser le bilan. « Comme hier (samedi), ce sont les Maï-Maï qui ont attaqué nos positions« , alors qu' »un calme apparent » avait régné toute la nuit à Kabasha qui était sous contrôle de l’armée, a-t-il ajouté, indiquant que « certains évadés de la prison de Kangwayi (de Beni) ont été appréhendés, combattant aux côtés des Maï-Maï » :

Samedi, une patrouille de la mission de l’ONU en RDC (Monusco) qui se rendait à Kabasha a été « la cible d’une embuscade tendue par des présumés Maï-Maï« , a déclaré dimanche à l’AFP le capitaine Adil Asserhir, l’un des porte-parole des Casques bleus en RDC. « Dans les échanges des tirs, trois Casques bleus ont été blessés et au moins cinq présumés Maï-Maï ont été tués« , a indiqué l’officier, la patrouille a pu également « récupérer » des armes et des effets militaires, a-t-il dit. La majorité des habitants de Kabasha ont quitté les lieux depuis samedi pour éviter d’être pris pour cibles par les belligérants. Plus de 900 détenus s’étaient évadés après une attaque de la prison centrale de Beni par des inconnus armés. Plusieurs dizaines des membres présumés d’une rébellion musulmane ougandaise (ADF) étaient incarcérés à la prison de Kangwayi ainsi que plusieurs personnes présentées comme des miliciens Maï-Maï. Des évadés de Beni parmi les assaillants qui ont attaqué et blessé des C...

Affrontements entre les miliciens NDUMA Défense of Congo et les mai mai MEZEMBE, le lundi 19 juin dans la localité de MABAMBI en territoire de Lubero, province du Nord-Kivu, à l’Ouest de la ville de Butembo, en République Démocratique du Congo le jeudi 19 juin 2017, selon une source de Veranda Mutsanga. L’œil vigilant de la Véranda Mutsanga, a été alertée d’un affrontement qui continue jusqu’en ce moment (14h47’) de ce 19juin 2017 entre les miliciens mai mai MAZEMBE et le NDUMA de Mr CHEKA. L’opinion continue a retenir que le NDUMA de CHEKA serait à la solde du Rwanda et les MAZEMBE serait une émanation naturelle des enfants du terroir qui veulent se défendre contre la barbarie Rwandaise sur le sol de nos ancêtres, c’est pourquoi l’ennemi qui a et qui es entrain de créer ses branches des mai mai fait tout pour écraser cette résistance non encore affectée et non corrompue par les ennemis de notre pays ! La population doit rester tres vigilants par rapports à ce qui passe actuellement dans cette partie de la RDC ( Beni-Lubero ) L’œil vigilant de la Véranda Mutsanga :

La majorité des habitants de Kabasha ont quitté les lieux depuis samedi pour éviter d'être pris pour cibles par les belligérants. Plus de 900 détenus s'étaient évadés après une attaque de la prison centrale de Beni par des inconnus armés. Plusieurs dizaines des membres présumés d'une rébellion musulmane ougandaise (ADF) étaient incarcérés à la prison de Kangwayi ainsi que plusieurs personnes présentées comme des miliciens Maï-Maï. La ville et le territoire de Beni font l'objet depuis octobre 2014 d'une série de massacres attribués aux Ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), qui ont causé la mort de plusieurs des personnes. Les Maï-Maï sont des groupes "d'autodéfense" constitués sur une base essentiellement ethnique. Pendant la deuxième guerre du Congo (1998-2003), nombre de ces groupes ont été armés par le pouvoir pour combattre les envahisseurs ougandais et rwandais. Certains n’ont jamais désarmé. Des combats intenses ont repris dimanche...

DÉCLARATION DE LA SOCIÉTÉ CIVILE SUR LA DÉGRADATION DE LA SITUATION SECURITAIRE DANS LES TERRITOIRES DE LUBERO ET DE BENI ET DANS LES VILLES DE BENI ET DE BUTEMBO, VERS L' EST DELA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO, PRONVINCE DU NORD-KIVU : Réunie à Butembo en date du samedi 17 juin 2017, la Société Civile des villes de Butembo et Beni et des territoires de Beni et Lubero met en alerte l’opinion publique tant nationale qu’internationale sur la dégradation de la situation socio-sécuritaire dans les territoires de Beni-Lubero et dans les villes de Butembo et de Beni. Il est à retenir, en date du 11 juin 2017 à 15h30’, 936 détenus et prisonniers se sont évadés de la prison centrale de Kangbayi dont la majorité sont des criminelles de haut chemin. Des militaires, des policiers, des rebelles de l’ADF Nalu, des Maimai, et des civiles aguerries dans la criminalité bourreaux de la population sont Désormais libres et constituent un danger pour la quiétude sociale. Ainsi, le silence de l’Etat congolais serait coupable :

La population civile de Beni et de Butembo craint qu’il y ait la régénérescence des massacres suite à cette évasion. La Société Civile regrette encore une fois du rendez vous raté dans le rétablissement du droit de vérité, du droit de justice et de la réparation des préjudices causées aux victimes des massacres de Beni. En réaction, le gouverneur de la province du Nord-Kivu à la même date a décrété un couvre feu sur l’étendue des villes de Beni et de Butembo et du territoire de Beni. Malgré ce couvre feu , nous sommes iniquités que la situation, va de mal en pis. Nous enregistrons : les attaques répétitives des localités situées sur l’axe Butembo-Beni précisement à Mukulia, Kabasha, Kalunguta, respectivement en date du 14, 15, 16, et 17 juin 2017 causant ainsi le déplacement massif des populations, les coupures intempestives du trafic routier et des pertes en vies humaines, etc. Pendant les patrouilles, certains éléments de la police et des FARDC se livrent impunément aux arrestati...

AU NORD-KIVU : les deux employés du Comité international de la croix-rouge (CICR) enlevés il y a une semaine dans l'est de la République démocratique du Congo ont été libérés jeudi, 15 juin 2017, del' année courant, a annoncé le CICR dans un communiqué. Les deux employés faisaient partie d'une équipe du CICR qui assurait le suivi d'une distribution d'aide humanitaire en faveur de 5.000 familles en détresse dans une zone touchée par des conflits armés. "On a suspendu nos mouvements dans la province du Nord-Kivu jusqu'à nouvel ordre (...) en attendant les garanties de sécurité", a cependant déclaré à l'AFP un porte-parole du CICR. Les enlèvements, notamment de personnels étrangers et congolais d'organisations humanitaires, sont fréquents dans les territoires de Masisi, Lubero, Rutshuru et Walikale dans la province du Nord-Kivu :

"Les deux membres (du CICR) qui avaient été enlevés mercredi 7 juin dans la matinée entre Kirumba et Beni, dans le territoire de Lubero (province du Nord-Kivu), ont été libérés ce jeudi 15 juin dans la matinée", écrit le CICR. La nationalité des deux employés n'a pas été dévoilée. "Nous sommes soulagés du retour de nos collègues et nous nous réjouissons qu’ils aient retrouvé leurs familles. C’est la fin de leur calvaire", a déclaré Christine Cipolla, responsable du CICR en RDC, citée dans le communiqué. "Nous déplorons toutefois vivement cet enlèvement, car ce type d’acte peut mettre en péril le travail des humanitaires", a-t-elle ajouté. L'est de la RDC est déchiré par des conflits depuis plus de vingt ans. Différends groupes armés étrangers et locaux s'y affrontent sur base des différends ethniques et fonciers, la concurrence pour le contrôle des ressources minières de la région et des rivalités entre puissances régionales. Le Secrétair...

Des miliciens Mai-Mai lourdement armés, ont attaqués et pris tôt le matin de ce mercredi 14 juin 2017 le contrôle de la localité de Nyakakoma sur la Côte-Est du lac Edouard en territoire de Rutshuru (Nord-Kivu). «Il s’agit des Mai-Mai chassés de Chondo, Kamuororo, Mulimatsanga qui se sont regroupés pour attaquer Nyakakoma. L’armée les a chassé de Nyamilima, Nyaruangi, Buramba, Kisharo et sont à la recherche de la nourriture après leur débandade. Ils sont vraiment en difficulté parce que l’armée les a coupés de leurs sources d’approvisionnement en nourritures», a dit un pêcheur basé à Nyakakoma. L' événement malheureux, s' est produit dans la province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo, ou des miliciens contrôlent depuis ce matin la localité de Nyakakoma au bord du lac Edouard Des sources dans la région affirment qu’il s’agit des miliciens mis en déroute la semaine dernière par l’armée congolaise (FARDC) à l’issue des opérations menées notamment à Nyamilima, Buramba, et dans la profondeur du Parc des Virunga selon une source sécuritaire dans la Région :

Des miliciens Mai-Mai ont attaqué et pris tôt le matin de ce mercredi 14 juin 2017 le contrôle de la localité de Nyakakoma sur la Côte-Est du lac... L’officier qui n’a pas donné le bilan des accrochages, ajoute qu’un renfort militaire en provenance de Nyamilima “attaque” les miliciens pour reprendre le contrôle de la zone. Le porte-parole de l’opération Sokola 2 au Nord-Kivu indique que les militaires basés à Nyakakoma ont battu en retraite afin de “préserver les vies humaines”. «Depuis 5 heures, la localité de Nyakakoma a été attaquée par l’ennemi qui est en débandade. Nyakakoma est une localité riveraine. L’infanterie a fait son travail et devait laisser la force naval pour qu’elle puisse continuer le travail et c’est ce qui a été fait. Nyakakoma a au moins plus de 14 000 habitats. Donc, la force navale a bien fait d’opérer un repli stratégique pour ne pas permettre que l’ennemi puisse causer beaucoup de morts parmi la population qui se trouvait à Nyakakoma», a déclaré le Major Guil...

Les millitaires congolais FARDC, appuyées par la Force de la Monusco et les gardes de parc de l’Institut national de conservation de la nature (ICCN), ont repris à des groupes armés plusieurs villages au sud du lac Édouard, dans les territoires de Rutshuru et Lubero, au Nord-Kivu, a annoncé ce mardi 13 juin la mission onusienne. « Ces opérations conjointes, menées depuis trois semaines, visent à neutraliser les groupes armés qui sévissent dans cette région, et y commettent toutes sortes d’exactions contre les civils. La Monusco apporte essentiellement un appui technique et logistique aux FARDC, aussi appuyées par les gardes de l’ICCN », ajoute la même source qui précise que dans le territoire de Lubero, les villages Tchondo, Chanika, Birua, Kamuhororo, Kafunzo ont été repris. À ce sujet, le térritoire de Rutshuru situé dans la la province du Nord-Kivu, àl' Est dela République Démocratique du Congo, plusieurs villages et localités sont repris aux mains des miliciens Maï Maï, et autre groupes armés, 8 900 ménages toujours en fuite :

Des pêcheries situées sur la côte ouest du Lac Édouard, notamment Kamandi, Lunyasenge, Vuhoyo, où ces groupes armés ont installé leurs quartiers généraux en vue des activités criminelles, ont aussi été détruits. Cette opération a notamment occasionné la mort de deux cadres du groupe armé Mai-Mai Charles et l’arrestation de douze miliciens. Une vingtaine d’entre eux se sont rendus aux FARDC et à la Monusco, alors que des armes et des munitions ont été récupérées. Georges Katsongo, président de la coordination territoriale de la Société civile, cité par la MONUSCO, estime que plus de 8 900 ménages sont toujours en fuite. Les FARDC, appuyées par la Force de la Monusco et les gardes de parc de l’Institut national de conservation de la nature (ICCN), ont repris à des groupes... L’attaque contre la prison de Beni en ce jour, entrainant la libération de tous les criminels redoutables qui s’y trouvaient, intervient juste un jour après le même genre de phénomène contre la prison de Matete ...

Après la dernière attaque meurtrière contre la prison centrale de KANGBAYI en Ville de Beni dans la partie Est dela République Démocratique du Congo, le président d' une ONGDH-CEPADHO, le Centre d’études pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l’homme (CEPADHO) Omar Kavota accuse la rébellion ougandaise des ADF d’être l’auteure de l’attaque contre la prison de Beni survenue le dimanche 10 juin 2017. Omar Kavota souligne que le mode opératoire de cette attaque prouverait que c’est les ADF qui en sont les auteurs. Attaque de la prison de Beni : Omar Kavota (CEPADHO) accuse les ADF Le président du Le Centre d’études pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l’homme (CEPADHO) Omar Kavota accuse la rébellion ougandaise des ADF... Dassault pyscauses s'observe d' ici et là. en Ville et térritoire de Beni, au conté Est dela République Démocratique du Congo, après l’évasion de dimanche dernier, 11 juin 2017 courant, ou beaucoup de commerces n’ont pas ouvert ce lundi. Donc la ville de Beni s’est réveillée, timidement ce lundi 12 juin 2017 au lendemain de l’attaque de la prison centrale Kangbayi ayant causé l’évasion de la quasi-totalité de :

"La prison de Kangwayi de la ville de Beni a été attaquée par des assaillants dont l'identité n'est pas encore connue. Lors des échanges de tirs entre les forces de l'ordre et les assaillants, nos services ont [comptabilisé] 11 morts dont 8 éléments des forces de l'ordre", a déclaré à la presse le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku. "Pour l'instant, sur 966 prisonniers, il ne reste que 30 détenus dans la prison". Psychose à Beni après l’évasion de dimanche, beaucoup de commerces n’ont pas ouvert ce lundi. La ville de Beni s’est réveillée timidement ce lundi 12 juin 2017 au lendemain de l’attaque de la prison centrale Kangbayi ayant causé l’évasion de la quasi-totalité de... La ville de Beni s’est réveillée timidement ce lundi 12 juin 2017 au lendemain de l’attaque de la prison centrale Kangbayi ayant causé l’évasion de la quasi-totalité de détenus, soit 936 sur 966. «Il y a la psychose. Beaucoup de commerces n’ont pas o...

Neuf cent trente (930) prisonniers sur neuf cent soixante six (966) qu’ hébergeait la prison de Kangbayi, dans la ville de Beni, situé dans l' Est dela République Démocratique du Congo, vers la partie Nord dela province du Nord-Kivu, se sont évadés, au cours d' une attaque des hommes non autrement identifiés en Ville de Beni, en proie d' insécurité grandissante de plus en plus, dépuis 2010, jusqu' en ce jour. L' effet se sont passé, à la belle ce dimanche 11 juin 2017 courant, a rapporté le gouverneur du Nord-Kivu. mais le directeur de la prison de Beni, Tsongo MAKELELE a dit hier sur Kivu1 que 35 détenus ont décidé de rester volontairement car la porte de la prison était béante, ouverte après cette attaque : Julien Paluku, qui a annoncé ces chiffres à la presse, signale que la prison a été attaquée par des personnes non encore identifiées. «En ce moment, il y a 11 morts parmi les assaillants et les policiers commis à la garde de la prison… Sur 966 prisonniers, il n’en reste que 36. Nous ne connaissons pas encore l’identité de ceux qui ont attaqué la prison« , a dit Julien Paluku à la presse à Goma :

La prison de Beni attaquée, et le bilan fait état de 11 morts et 930 évadés, selon une source (Officiel) en Ville de Beni. Neuf cent trente (930) prisonniers sur neuf cent soixante six (966) qu’ hébergeait la prison de Kangbayi, dans la ville de Beni, se sont faits la belle ce dimanche. Des hommes armés non autrement identifiés ont attaqué dimanche 11 juin la prison centrale de Kangbayi de Beni (Nord-Kivu). Selon des sources pénitentiaires, au moins 935 prisonniers se sont évadés. L’armée parle d'un bilan provisoire de huit morts. L'attaque de la prison centrale de Kangbayi de Beni est intervenue, aux environs de 15h30 locales. Selon des sources sécuritaires, un groupe d'assaillants non autrement identifiés a pris d'assaut, cette maison carcérale avant de réussir à libérer plusieurs centaines des prisonniers. Cette attaque intervient trois semaines après celle ayant visé, la prison de Makala, la grande prison de Kinshasa provoquant une évasion massive de détenus, l...

Eliminatoires CAN 2019 : la République Démocratique du Congo, le plus grand pay d' Afrique -Subsaharienne, s’ est' imposé, face au Congo-Brazzaville, avec succès, à Kinshasa dans la soiré du samedi 10 juin 2017 courant ! Ce match entrait dans le cadre de la première journée des éliminatoires de la CAN-Cameroun 2019. Favorite sur le papier, la RDC affrontait le Congo Brazzaville dans ce derby toujours un peu spécial. La dernière grande confrontation entre les deux nations avait eu lieu en Guinée équatoriale lors d’un quart de finale à Bata pendant la CAN 2015. Ce choc qui n’avait pas déçu s’était soldé par une victoire des Léopards (4-2) qui avaient été bousculés en étant menés 2-0 en début de seconde période. La RDC s’est imposée 3-1 face au Congo-Brazzaville au stade des Martyrs de Kinshasa samedi 10 juin pour la première journée des éliminatoires de la CAN 2019. notons aussi que, les joueurs d'entraineur Florent Ibenge ont profités, d’un doublé de Cédric Bakambu alors que les Diables rouges avaient égalisé, en fin de première période. Chancel Mbemba a inscrit le troisième but de la RDCONGO :

Au retour des vestiaires, les Léopards devaient donc se remettre à l’ouvrage. Et c’est à nouveau Cédric Bakambu qui s’illustre avec une frappe puissante qui touche le poteau droit à la 54e minute. Chancel Mbemba a profité d’un cafouillage dans la surface pour inscrire un troisième but, en fin de partie (90e). La RDC s’est imposée 3-1 face au Congo-Brazzaville au stade des Martyrs de Kinshasa la capital dela Rép Dém du Congo, le samedi 10 juin, pour la première journée, des éliminatoires de la CAN 2019. Les hommes de Florent Ibenge ont profités d’un doublé de Cédric Bakambu alors que les Diables rouges avaient égalisé en fin de première période. Chancel Mbemba a inscrit le troisième but de la RDC. Le doublé de Bakambu Cette fois, la RDC n’a pas eu à courir après le score puisque Cédric Bakambu a été le premier à dégainer. Le joueur de Villarreal a profité d’une belle passe en profondeur de Ikoko, à la limite du hors-jeu, pour tromper le gardien adverse à la 20e minute. Depuis le début ...

ÉLIMINATOIRE EN COURS DELA CAN - 2019 AU CAMEROON, A DÉBUTÉ LE VENDREDI 09 JUIN 2017, SUR LE CONTINENT, AFRICAIN : Après un court tour préliminaire, la phase de groupes des éliminatoires pour la Coupe d'Afrique des nations de football (CAN 2019 au Cameroun) débute le week-end du 9 au 11 juin 2017. Au programme, 23 matches, dont de très attendus RD Congo-Congo (groupe G), Côte d'Ivoire-Guinée (H) et Tunisie-Egypte (J). Le Soudan a mal débuté en s'inclinant contre Madagascar (1-3) tandis que la Libye a écrasé les Seychelles (5-1) au Caire lors des deux premières rencontres. Les choses sérieuses commencent en éliminatoires de la CAN 2019, quatre mois seulement après le sacre du Cameroun lors de la Coupe d'Afrique des nations 2017 de football. Quarante-sept pays attaquent en effet la phase de groupes des qualifications ces 9, 10 et 11 juin, alors que le champion d'Afrique et hôte de la prochaine phase finale s'apprête, lui, à disputer la traditionnelle mini-répétitionavant la Coupe du monde qu'on appelle la Coupe des Confédérations. Des équipes d'Afrique centrale sous pression Disputer cette CAN 2019 au Cameroun voisin revêt une importance accrue pour les sélections d'Afrique centrale, à commencer par les deux Congo qui s'affrontent dans le groupe G, ce 10 juin à Kinshasa. Les « Léopards » de RDC s’étaient en effet fixé pour objectif de gagner l'édition 2017 ou 2019 après avoir fini 3e en 2015. Éliminés en quarts de finale de la CAN 2017, ces derniers abordent le derby face aux « Diables rouges » avec beaucoup de pression. Les Congolais de Brazzaville, eux, espèrent retrouver une dynamique après avoir manqué la CAN 2017. Leur dernier match de CAN, en 2015, s'était justement soldé par une défaite 4-2 en quarts, face aux Kinois :

ELIMINATOIRES CAN 2019 : LES MATCHES DE LA PREMIERE JOURNEE Vendredi 9 juin – Soudan – Madagascar : 1-3 Libye – Seychelles : 5-1 Samedi 10 juin – Malawi – Comores, à 12h30 TU à Lilongwe Burundi - Soudan du Sud, à 13h TU à Bujumbura Zambie – Mozambique, à 13h TU à Ndola Botswana – Mauritanie, à 14h TU à Gaborone Niger – Swaziland, à 14h TU Niamey Nigeria - Afrique du Sud, à 16h TU à Uyo Guinée-Bissau – Namibie, à Bissau Burkina Faso – Angola, à 16h TU à Ouagadougou Sierra Leone – Kenya, à 16h30 TU à Freetown Tanzanie – Lesotho, à 17h TU à Mbagala RD Congo – Congo, à 17h TU à Kinshasa Cap Vert – Ouganda, à 17h30 TU à Praia Côte d'Ivoire – Guinée, à 18h TU à Bouaké Mali – Gabon, à 19h TU à Bamako Sénégal – Guinée Equatoriale, à 21h TU à Dakar Dimanche 11 juin – Zimbabwe – Liberia, à 13h TU à Harare République centrafricaine – Rwanda, à 14h TU à Bangui Bénin – Gambie, à 15h TU à Cotonou Ghana – Ethiopie, à Kumasi Algérie – Togo, à 21h TU à Blida Tunisie – Egyp...